http://makkabylie.blogspot.fr/
- 
- 
NEWS : - *14 FEVRIER 2015* EN PREPARATION D'UN NOUVEL ALBUM, ALORS SI JE M'ISOLE C'EST POUR UNE BONNE CAUSE. SOYEZ PATIENT J'Y TRAVAILLE POUR LE PLAISIR DE VOS ...Il y a 14 ans
- 
- 
- 
- 
samedi 17 novembre 2012
La mémoire de Farid Ali honorée | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie
Inauguration d’une stèle à  Ikhelfoune dans la commune de Bounouh ( Tizi Ouzou)   
La mémoire de Farid Ali honorée
De Tizi-Ouzou, Saïd Tissegouine
 
                  Dans son discours, le président  du MAK a su cerner et placer dans sa véritable dimension la  personnalité de l’auteur « Aymma Sver Ourtsrou ». « Farid Ali, dira à  titre de préambule M. Bouaziz Aït-Chebib, est le précurseur de la  chanson algérienne en général, kabyle en particulier ». 
         17/11/2012 - 20:09 mis a jour le 17/11/2012 - 20:04 par        Saïd Tissegouine        
  Il y a eu grande foule ce matin au village Ikhelfoune, dans la  commune de Bounouh (Tizi-Ouzou). Le motif de ce grand rassemblement  populaire est d’une importance incontestable. En effet, l’événement a  porté sur l’inauguration de la stèle érigée à la mémoire de Farid Ali,  célèbre chansonnier kabyle et auteurs de nombreux chants patriotiques et  antiennes bien kabyles.Parmi les personnalités présentes à ce rendez-vous que d’aucuns qualifient de mémorable, figurent naturellement la famille militante et patriotique du Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK), à sa tête M. Bouaziz Aït-Chebib, la mère du Rebelle, na Aldjia, le chanteur Rachid Alioui, rentré spécialement de France pour assister à cette manifestation, le représentant de l’association « Tagmat » de Lyon, appelé Dallil et tant d’autres personnalités de différents horizons. Le geste inaugural de la plaque d’épitaphe a été exécuté par na Aldjia. A cette occasion, la mère du Rebelle prononcera un petit discours de circonstance. L’autre volet de la cérémonie inaugurale a été traduit par une succession de prises de parole. Dans son discours, le président du MAK a su cerner et placer dans sa véritable dimension la personnalité de l’auteur « Aymma Sver Ourtsrou ».
« Farid Ali, dira à titre de préambule M. Bouaziz Aït-Chebib, est le précurseur de la chanson algérienne en général, kabyle en particulier ». L’assistance, nombreuse et attentionnée entend ensuite de la bouche du président du MAK que « Ferhat et Lounès Maoub intellectuellement et artistiquement le pur produit de son école (feu Farid Ali ndlr) et sont, par conséquent, les continuateurs de son œuvre ». « Imma Azizen ourtsrou qui est une chanson indissociable avec la lutte pour la liberté, explique encore l’orateur, est connue même au-delà des frontières algériennes et cela bien avant Avava Inouva ».
Dans son témoignage, le président du MAK met encore en avant l’implication active de Farid Ali dans le combat libérateur de l’Algérie vis-à-vis de la France et pour l’émancipation de l’identité berbère après l’indépendance du pays. « Du PPA- MTLD jusqu’à l’Académie Berbère en passant par le FLN, Farid Ali a toujours été un militant incorruptible et intraitable sur la question intraitable. D’ailleurs, c’est le premier chanteur à avoir intégré le mot « Amazigh » dans l’un de ses chants », explique M. Bouaziz Aït-Chebib avant de conclure : « Même si l’Algérie indépendante fait tout pour l’effacer de la mémoire dite « nationale », Farid Ali demeure et restera à jamais dans la mémoire du peuple kabyle comme un exemple, une référence et une inspiration pour les générations futures.
La fin de la manifestation fut marquée par l’appel du comité du village à l’adresse de Dallil et H’cène Chirifi pour faire le dépôt d’une gerbe de fleurs sur le tombeau marbré de celui qui passa toute sa vie à chérir la terre de ses ancêtres et connu sous le nom de Farid Ali.
Saïd Tissegouine
Azawad : combats entre les touaregs du MNLA et les islamistes du MUJAO
Azawad : combats entre les touaregs du MNLA et les islamistes du MUJAO
16/11/2012 - 19:08
GAO (SIWEL) — La rébellion touareg du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) a lancé, ce vendredi matin, une offensive armée pour reprendre la région de Gao aux islamistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), alliés à al-Qaïda.
 
             Combattants Touaregs du MNLA (PH/DR)      
       « Des combats ont éclaté vendredi matin près d'Ansongo (localité  située entre Gao et Ménaka) entre combattants du MNLA et du Mujao dans  le cadre d'une offensive visant à récupérer la région de Gao », tombée  aux mains du Mujao fin juin, a affirmé Moussa Ag Assarid, membre du  Conseil transitoire de l'État de l'Azawad (CTEA), chargé de  l'information.       
Ibrahim Ag Assaleh, membre d'une délégation du MNLA qui se trouve actuellement à Ouagadougou, a affirmé que le MNLA avait tué 13 combattants du Mujao et a blessé 17. Côté MNLA, on déplore neuf blessés, dont un grave, a-t-il dit.
Dans la journée, pendant le déroulement des combats, des messages circulaient sur les réseaux sociaux invitant à garder secrets les détails : « Nous demandons aux internautes Azawadiens de ne rien publier, ni communiquer comme Infos des évènements actuellement en cours dans l'Azawad... Merci de votre compréhension. » avait ainsi publié sur son profil Facebbok, Mossa Ag Attaher, le coordinateur de l’action diplomatique du Conseil de Transition de l'Etat de l'Azawad (CTEA) en Europe,
La recommandation vient d'être levée ce soir : « Bonsoir chers camarades de lutte!
Les combats ont cessé et vous pouvez à présent partager à volonte les infos que vous souhaitez partager avec le public.
Je vous remercie tous d'avoir respecté la consigne de confidentialité des positions de nos troupes tout au long de cette journée qui a été marquée par une victoire du MNLA sur tous les théâtres des opérations contre les hordes terroristes du MUJAO.
La lutte continue! », indique Mossa Ag Attaher.
wbw
SIWEL 161908 NOV 12
Ibrahim Ag Assaleh, membre d'une délégation du MNLA qui se trouve actuellement à Ouagadougou, a affirmé que le MNLA avait tué 13 combattants du Mujao et a blessé 17. Côté MNLA, on déplore neuf blessés, dont un grave, a-t-il dit.
Dans la journée, pendant le déroulement des combats, des messages circulaient sur les réseaux sociaux invitant à garder secrets les détails : « Nous demandons aux internautes Azawadiens de ne rien publier, ni communiquer comme Infos des évènements actuellement en cours dans l'Azawad... Merci de votre compréhension. » avait ainsi publié sur son profil Facebbok, Mossa Ag Attaher, le coordinateur de l’action diplomatique du Conseil de Transition de l'Etat de l'Azawad (CTEA) en Europe,
La recommandation vient d'être levée ce soir : « Bonsoir chers camarades de lutte!
Les combats ont cessé et vous pouvez à présent partager à volonte les infos que vous souhaitez partager avec le public.
Je vous remercie tous d'avoir respecté la consigne de confidentialité des positions de nos troupes tout au long de cette journée qui a été marquée par une victoire du MNLA sur tous les théâtres des opérations contre les hordes terroristes du MUJAO.
La lutte continue! », indique Mossa Ag Attaher.
wbw
SIWEL 161908 NOV 12
Azawad : le MNLA dénonce la désinformation orchestrée par l'AFP
Azawad : le MNLA dénonce la désinformation orchestrée par l'AFP
17/11/2012 - 10:33
PARIS (SIWEL) — Mossa Ag Attaher, Coordinateur de l’Action diplomatique du MNLA/CTEA en Europe, dénonce la désinformation orchestrée par l'AFP. Le MNLA qui a fait subir de lourdes pertes au groupe terroriste du MUJAO est faussement présenté par l'Agence de Presse Française comme ayant été défait par le MUJAO, traduisant ainsi sa volonté de minimiser les actions du MNLA après l'avoir condamné au silence médiatique.
Le MNLA a tendu, hier, une embuscade aux terroristes du Mujao et a fait plusieurs morts dans leurs rangs. Cette opération a été menée dans le cadre d'une offensive visant à récupérer les régions occupées par les hordes terroristes comme annoncé par le MNLA, il y a de cela quelques jours par la voix du responsable à l'information du MNLA/CTEA, Moussa Ag Assarid.
Cependant, l'Agence de Presse Française, reprise par l'ensemble des médias français, à l'exception de RFI, « en attendant qu'ils changent bien sûr de journalistes » souligne Mossa Ag Attaher, détourne l'information et fait état, au contraire, de lourdes pertes dans les rangs du MNLA.
Mossa Ag Attaher, Coordinateur de l’Action diplomatique du MNLA/CTEA en Europe, a réagit à la manipulation scandaleuse de l'information par certains médias français, principalement l'AFP, reprise en boucle par France 24 et, curieuse coïncidence, par la version qatari d'Aldjazira.
Rappelons que dés le début du déclenchement des opérations militaires du MNLA, en vue de reconquérir le territoire de l'Azawad, légué en 1958 à Bamako par l'administration coloniale française, certains médias français, et en particulier l'AFP, se sont tracé comme ligne de conduite une désinformation insidieuse qui présentait d'abord les touaregs du MNLA comme des islamoterroristes puis comme un groupe insignifiant ne méritant aucune couverture médiatique à l'inverse des groupes terroristes du MUJAO, d'Ansar Dine et de l'AQMI dont ils assurent, dans les faits, la promotion médiatique.
Nous reproduisons la déclaration du MNLA dans son intégralité.
« La version de France 24 et de l'AFP (reprise par l'ensemble des médias français à l’exception de RFI en attendant qu'ils changent bien sûr de journalistes) des combats qui nous ont opposé hier aux hordes terroristes est honteuse!
Nous savons la tendance partisane qui habite l'AFP qui fait et défait l'opinion en la manipulant et va jusqu'à inverser les victoires du MNLA en les attribuant aux hordes terroristes, contre qui la communauté internationale est censée être en guerre.
Visiblement cette manipulation de l'information ne vise qu'à légitimer la hasardeuse intervention militaire dont apparemment ils ne maîtrisent ni les enjeux, ni les conséquences !
Pour parvenir à leurs fins, sont-ils prêts à faire sur un média public français les éloges de ceux qui détiennent leurs otages, violent, détruisent le patrimoine de l'humanité et pire encore?
Nous rappelons que le correspondant de l'AFP à Bamako constitue le meilleur attaché de presse du terrorisme international au détriment des combats démocratiques et légitimes comme celui du MNLA!
La lutte du MNLA et ses victoires vont continuer et s’enchaîner que certains médias français le veuillent ou pas!
Vive le MNLA
Vive l’Azawad libre et indépendant
La lutte continue
Mossa Ag Attaher
Coordinateur de l’Action diplomatique du MNLA/CTEA en Europe »
zp,
SIWEL 171033 NOV 12
Algérie : les militants du MAK sensibilisent les kabyles d’Alger contre les élections
Algérie : les militants du MAK sensibilisent les kabyles d’Alger contre les élections
17/11/2012 - 13:52
ALGER (SIWEL) — Le désintérêt vis à vis de la prochaine mascarade électorale se confirme du jour en jour. Et c'est dans ce contexte que les militants du MAK d'Alger sensibilisent la communauté kabyle de la capitale pour rejeter la prochaine mascarade électorale qu’organise le pouvoir algérien.
       C'est le cas à la cité  « Puits des Zouaves » à Bouzarèah, sur les  hauteurs d’Alger, qui s'est réveillée sur des tags: MAK-GPK, ULAC LVOT.  « Nous sommes des militants Kabyles et nous retournerons chez nous en  Kabylie une fois l’autonomie acquise », a annoncé pour Siwel un des  animateurs du MAK d’Alger.        
« Ici, a-t-il ajouté, les Kabyles sont conscients de leur situation. Ils n’attendent que l’autonomie pour revenir chez eux, dans la terre de leurs aïeux ». Le président du MAK salue le courage et l'engagement des militants d'Alger, qui ont affirmé l'attachement de la communauté kabyle à leur Kabylie et leur Kabylité, leur première patrie.
aai
SIWEL171352 NOV 12
                           
« Ici, a-t-il ajouté, les Kabyles sont conscients de leur situation. Ils n’attendent que l’autonomie pour revenir chez eux, dans la terre de leurs aïeux ». Le président du MAK salue le courage et l'engagement des militants d'Alger, qui ont affirmé l'attachement de la communauté kabyle à leur Kabylie et leur Kabylité, leur première patrie.
aai
SIWEL171352 NOV 12
Ulzuz n At Waâvan : un marché traditionnel dans un esprit autonomiste
Ulzuz n At Waâvan : un marché traditionnel dans un esprit autonomiste
17/11/2012 - 14:08
AT WAÂVAN (SIWEL) — Le marché traditionnel des produits des femmes, du village d’Ait Ouabane, vient de lancer sa première édition d’automne, hier, vendredi. Les organisateurs de cette manifestation, n’ont pas manqué de rendre un vibrant hommage, à la femme d’Ath-Waâvan, la principale productrice de la richesse au village.
Les produits agricoles et artisanaux exposés, ont suscité un réel engouement, parmi les invités conviés à cet événement. D’ailleurs, cette première édition, a suscitée l’affluence d’un large public, venu des régions limitrophes et des autres localités de Tizi-Wezzu, comme : Michelet, Ivudraren, At yahia, Vughni et Yatafen… C’est dans une ambiance de fête et sur les chants des femmes (Urar n lxalat), les chansons de Ferhat Mehenni, Matoub Lwennas, Idir, que le coût d’envoi de cette première édition a été donné. "C’est une activité de revalorisation du patrimoine villageois", nous dira l’un des organisateurs de l’événement avant d’ajouter : "Ulzuz n At Waâvan, œuvre pour l’encouragement de la participation de la femme à la vie économique du village, comme c’est le cas aujourd’hui. C’est une initiative portée par la conviction que le peuple Kabyle, peut construire un avenir meilleur, s’il développe ses potentialités et ses atouts". D’ailleurs, des associations culturelles, sociales et écologistes, ont été conviées au rendez-vous. Il est utile de souligner, que le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK), a été représenté par son président Bouaziz Ait Chebib, qui a été invité par les organisateurs pour prendre part à cette action. Le président du MAK a été chaleureusement et fraternellement accueilli. Il a été sollicité par des dizaines de militants, de sympathisants et des représentants associatifs, pour expliquer la démarche politique de sa formation autonomiste, ainsi que de la position du MAK et s’étalera sur le rejet catégorique de la prochaine mascarade électorale et des actions de l’ANAVAD, le Gouvernement Provisoire Kabyle (GPK). M. Bouaziz Ait Chebib avait rappelé la position honorable prise par le MAK, lors des intempéries de l’hiver dernier, où une délégation de la formation autonomiste s’est déplacée dans ce village historique pour venir en aide à la population locale, comme il a eu une longue discussion avec ses interlocuteurs, qui l’ont sollicité pour débattre sur plusieurs sujets de l’actualité. Il a été salué d’ailleurs, pour sa disponibilité et sa sociabilité. Le président du MAK, dira que "Le village d’At Waâvan s’est à nouveau illustré par son esprit d’innovation. Ce village est connu depuis longtemps pour son sens de l’organisation et surtout son respect du statut de la femme. Ulzuz n At Waâvan, cette initiative qui doit se généraliser et s’élargir à toute la Kabylie, démontre que le peuple Kabyle a banni la culture de l’assistanat, instaurée par le régime d’Alger pour mieux contrôler la population, au profit de l’effort et du travail. Ces deux valeurs ancestrales sont un bon exemple à suivre pour édifier un avenir de solidarité, de liberté et de dignité et ce loin du chantage de l’État dit Algérien". Il est à noter que les autorités locales n’ont apporté aucune contribution à la réussite de cette manifestation, qui a vu le jour grâce à la mobilisation et la solidarité des citoyennes et citoyens du village. Soulignons que quelques candidats aux élections locales, étaient présents durant la manifestation, pour récolter certainement quelques voix. Le climat général a été marqué par le désintérêt total vis-à-vis cette mascarade électorale, d’ailleurs la journaliste de l’APS, dépêchée sur place, a essayée vainement, de manipuler les organisateurs contre le cachet autonomiste que revêt le village d’Ulzuz n At Waâvan. aaa/tamurt SIWEL 171408 NOV 12
Le pouvoir algérien monnaye sa survie
Le pouvoir algérien monnaye sa survie au péril de la souveraineté
 
        
            Mots clés : 
                
                    
                        
                            Bouteflika, 
                        
                            Pouvoir, 
                        
                            Algerie, 
                        
                            Crise, 
                        
                            MNLA, 
                        
                            Ansar Eddine, 
                        
                            Nord-Mali
                        
                    
                
            
        
    
    
        
            
                
                    Par Le Matin  DZ 
                    
                
             |
        
        Il y a 20 heures 53 minutes | 
        3698 lecture(s)
        
          
           | Réactions (1)
             
        
    
Le 
pouvoir algérien, pris en tenaille entre les rivalités sino-américaines 
pour le contrôle des richesses de l’Afrique, n’a d’autres choix que de 
se soumettre au plus fort ou disparaître. Éclairée par l’imposture et 
l’opportunisme de Bouteflika, sa stratégie se réduit à monnayer la 
survie du système au péril de la souveraineté nationale.
 Bouteflika.
          
                                         Bouteflika.
                                       
         
Pendant les moments chauds du "printemps arabe",
 lorsque l’impérialisme occidental avait réussi à monter une opération 
militaire pour chasser le régime tyrannique de Kadhafi et s’emparer de 
ses richesses, le pouvoir algérien misait tout son espoir à ce moment-là
 sur un mince veto anti-occidental et à sa tête la Chine pour empêcher 
une opération similaire contre lui. Car la similitude en tyrannie entre 
ces deux pays aurait justifié suffisamment aux yeux de l’opinion 
mondiale une telle aventure. C’était d’ailleurs sous cette pression, que
 le pouvoir algérien, pris de panique, avait annoncé des réformes tous 
azimuts, d’abord pour gagner du temps et ensuite négocier sa survie avec
 toutes les parties concernées, aussi bien à l’intérieur qu’à 
l’extérieur. Il lui a fallu réévaluer la redistribution de la rente à 
l’intérieur pour acheter la paix civile et faire des concessions 
considérables aux puissances impérialistes américano-européennes et à 
leurs vassaux du conseil de coopération du Golfe principalement le Qatar
 et l’Arabie Saoudite. Les concessions faites aux forces impérialistes, 
renforcées dans leur position par la réussite de l’opération libyenne, 
ont encouragé ces dernières à les retourner en chantage permanent contre
 le pouvoir algérien, l’obligeant à des concessions de plus en plus 
importantes en échange de sa survie. L’évidente issue qui se profile 
pour la crise syrienne, - qui se dirige inévitablement en défaveur du 
régime de Damas, malgré le véto anti-occidental qui n’a pas empêché les 
forces impérialistes à soutenir la rébellion financièrement, 
politiquement et militairement pour inverser le rapport de forces au 
profit de la révolution - est venue lui rappeler que son sort est scellé
 et n’avait d’autres choix que de se soumettre ou disparaître. Sa 
soumission se traduit par un bradage intempestif des richesses de 
l’Algérie, aussi bien au profit des puissances impérialistes, qu’à leurs
 vassaux arabes en des contrats économiques très faiblement négociés et 
des concessions considérables à l’islam politique. Auquel il faut 
ajouter le récent élargissement de terroristes détenus dans ses geôles, 
au profit de l’idéologie wahhabite envahissante et menaçante 
qu’instrumentalise l’impérialisme américain.
Avec l’entrée en scène de la crise 
malienne, qui met au grand jour les rivalités sino-américaines pour le 
contrôle des richesses de l’Afrique, s’ouvre un nouveau chapitre des 
pressions sans relâche des forces impérialistes sur le pouvoir algérien,
 qui sont venues cette fois se resserrer contre lui par le front sud. Le
 mettant en demeure de collaborer à leur stratégie sous peine de le 
menacer directement, par la déstabilisation du pays avec en perspective 
sa partition et la disqualification de son autorité.
Alerté par la percée spectaculaire de la
 Chine en Afrique pour la convoitise de ses richesses depuis une 
décennie, et l’affaiblissement de l’emprise néocoloniale européenne sur 
le continent, l’Empire américain n’a pas attendu la crise malienne pour 
manifester ses visées coloniales dans cette région qui regorge de 
richesses. Devant la crise structurelle qui affecte son modèle libéral, 
entré dans une phase terminale, l’Afrique devient un continent de 
prédation de première importance. Son objectif principal pour assurer sa
 survie sera dès lors de contrer la progression de la Chine pour le 
contrôle des richesses de l’Afrique et généralement pour le contrôle de 
toutes les ressources de la planète. C’est dans la perspective de cette 
Grande guerre Chine-Etats Unis, dont l’enjeu est la gouvernance de la 
planète, que les Américains avaient pris l’initiative d’implanter 
l’Africom en Afrique.
C’est en 2006, que les États-unis ont 
décidé de quadriller l’Afrique par un dispositif militaire sous 
l’appellation de l’Africom, afin de recoloniser le continent. Notamment,
 par l’implantation de bases militaires plus ou moins secrètes sur 
l’ensemble du continent. Le Mali est apparu dans ce cadre une cible 
privilégiée, où l’Africom a entamé son implantation par des programmes 
de formation au profit de près de 6 000 soldats de l’armée malienne. En 
parallèle, et sous couvert d’une opération dénommée "Creek Sand",
 des militaires et des entrepreneurs américains ont investi le Mali pour
 des missions de renseignements. En 2009, l’armée américaine avait 
envisagé l’intégration dans l’armée malienne de commandos américains et 
le survol du territoire par des avions de surveillance. Aujourd’hui, 
avec la crise malienne, l’intervention de la CEDEAO au Mali apparaît 
comme une implantation directe au grand jour d’une présence militaire 
américaine camouflée derrière des armées locales acquises au préalable à
 leur cause. Avec la présence militaire américaine au Mali, l’accès aux 
richesses naturelles, notamment l’uranium, devient facile à contrôler 
directement et de donner une profondeur stratégique à leur action 
colonisatrice, dans un premier temps en Afrique de l’Ouest et par la 
suite sur tout le continent. Par cette action, l’obstruction à la 
progression de la Chine dans la région devient facilement maîtrisable, 
en même temps que d’empêcher toute volonté des peuples africains de 
résister à l’ordre impérialiste américain.
Par ailleurs, au nord Mali, des unités 
d’élite ont été investies dans des actions secrètes, officiellement sous
 couvert de poursuite des groupes terroristes, qui sont probablement 
encore présentes à ce jour. La lutte contre le terrorisme, inaugurée par
 Bush en tant que lutte de l’"Axe du Bien" contre l’"Axe du Mal"
 (représenté par le terrorisme islamiste radical), devient l’argument 
rhétorique pour justifier la nouvelle offensive de la guerre 
impérialiste américaine. C’est avec la collaboration des Saoudiens et 
des Qataris, que cette justification s’est matérialisée et est devenue 
possible. Notamment par la favorisation de l’émergence, de la 
consolidation et du soutien aux groupes terroristes au nord Mali pour 
servir les intérêts des Occidentaux et particulièrement ceux des 
Américains. Car, l’Islam radical, globalement confondu par le terme 
«terrorisme», se prête aisément à conditionner l’opinion pour mieux 
faire accepter une intervention militaire. L’intérêt partagé des 
Américains, des Saoudiens et des Qataris dans cette collaboration réside
 naturellement dans leur projet d’islamisation de l’Afrique de l’Ouest, 
sur le modèle de l’islamisation du Maghreb et de l’Égypte post "printemps arabe",
 pour faire barrage à toute possibilité de démocratisation des sociétés 
africaines et de l’émancipation de leurs peuples. L'hypothèse de la 
poursuite d'un soutien militaire et financier par le Qatar des groupes 
terroristes du Mujao, Aqmi et Ansar Eddine dans l’Azawad, dans une 
stratégie de double jeu, est largement attestée par des témoins présents
 sur place. C’est ainsi que plusieurs témoignages attestent que la 
présence d’ONG qataries au nord Mali et au Niger (le Croissant-Rouge et 
Charity Qatarie) opèrent dans cette zone sans coordination et sans 
actions communes avec les autres ONG sur le terrain. Cette information a
 été confirmée, y compris par un humanitaire du CICR (Comité 
international de la Croix-Rouge) qui coordonne pourtant l’aide d’urgence
 dans les zones de conflits. Le sentiment du comportement suspect des 
ONG qataries est largement partagé par la quasi-totalité des 
intervenants humanitaires dans le nord Mali, qui se plaignent du manque 
de concertation en amont avec les autres ONG. L’attitude du Qatar 
interroge y compris chez les Nigériens, qui s’étonnent aussi du 
fonctionnement des ONG qataries, qui travaillent dans leur coin, sans 
coopération et sans transparence. À noter que l’aide alimentaire rentre 
au nord du Mali via le Niger, par la route. Les humanitaires sont tous 
d’accord sur le fait, que le rôle exact des Qataris depuis qu’ils sont 
arrivés au nord Mali, c’est bien d’aider les groupes terroristes 
financièrement et logistiquement et que leur action humanitaire n’est 
qu’une couverture pour un soutien moins avouable à ces groupes 
terroristes. Au point que certains y voient une démarche plus politique 
qu’humanitaire. Plus flagrant encore est que certains ont constaté 
qu’ils plantent un drapeau dans des endroits stratégiques, ce qui 
pourrait être déterminant lors d’une intervention militaire. Un acteur 
économique nigérien avait lui aussi relevé des investissements qataris 
suspects au Niger, qui ne sont que de grossières manipulations par des 
opérations de clientélisation de personnes peu recommandables et qui 
sont loin de faire du développement. Des témoins rapportent que des 
avions affrétés par le Qatar atterrissent ces derniers mois dans le nord
 du Mali et la nuit seulement, avec à leurs bords des cargaisons 
suspectes. Il s’agit sûrement d’armement destiné aux groupes 
terroristes, malgré les démentis officiels du Qatar et des services 
secrets français, qui n’ont pas réussi à lever le doute des autorités de
 Bamako, tenues à l’écart des réelles intentions occidentales.
Tous les "vis cachées" de cette
 crise sont là ! préparer une intervention militaire avec une CEDEAO 
moribonde, en même temps consolider l’ennemi et poursuivre les 
négociations avec lui. Pour d’une part, permettre l’enlisement du 
conflit, pour appeler en renfort l’armée américaine et justifier sa 
présence sur le sol malien, et, d’autre part, dans la négociation, le 
mettre en confiance pour revenir sur la scène politique après le 
conflit. Armer la partie adverse, l’armée malienne, et lui dissimuler 
les véritables intentions de la coalition, venue faussement la délivrer 
de bandes terroristes qui occupent plus que la moitié de son territoire !
 De toute évidence, les gagnants ne peuvent être que ceux qui manœuvrent
 derrière les coulisses. Et derrière les coulisses, en plus des 
Occidentaux avec à leur tête les Américains et le nouvel impérialisme 
wahhabite, on trouve le pouvoir algérien, qui manœuvre quant à lui, pour
 le seul but de sauvegarder son hégémonie sur son peuple au péril de sa 
souveraineté nationale. Cet objectif ne pourra être atteint que par 
l’abandon du principe de non-ingérence dans les affaires internes 
d’États souverains et sa soumission au projet impérialiste américain par
 la caution de l’intervention militaire au Mali. Car, jusqu'à ce jour, 
l’Algérie a refusé toute intervention militaire hors de ses frontières. 
Si depuis l’indépendance, cette position était surtout liée à un 
principe de non-ingérence dans les affaires intérieures de pays 
souverains, depuis l’avènement du "printemps arabe", elle fût 
surtout motivée par la crainte de se voir elle-même l’objet d’une 
intervention militaire coalisée, motivée par les mêmes conditions qui 
ont prévalu dans les pays concernés par ce "printemps arabe". 
Sa non-reconnaissance de la nouvelle coalition de l’opposition syrienne 
est stratégique comme cela s’est passé pour le CNT libyen pour ensuite 
le reconnaître après coup. Toutes ces manœuvres de soutien et de 
négociations avec les groupes terroristes, arrangent en fin de compte 
toutes les parties en conflit au détriment des populations locales. 
L’objectif consiste à recycler les groupes terroristes les plus 
accommodants et à éliminer les récalcitrants. Instaurer des régimes 
islamistes dans toute l’Afrique de l’Ouest, contrôlés par l’impérialisme
 américain, pour faire barrage aux véritables forces démocratiques de 
ces pays, pour rendre leur inféodation facile. Car, les régimes 
islamistes sont généralement plus maniables et plus perméables à la 
corruption. 
C’est la mission qui a été confiée à 
l’Algérie. Les négociations entamées par Bouteflika avec Ansar Eddine 
semblent de toute évidence avoir été imposées par les Américains, pour 
amener les groupes terroristes à coopérer pour les associer, en échange,
 au nouveau pouvoir qui se dessine au Mali après la résolution de la 
crise. Toutefois en fixant comme objectif l’abandon formel de 
l’application de la Charia par les groupes terroristes, sans pour autant
 abandonner le projet d’instauration d’un État islamique dans une future
 association de ces groupes terroristes au gouvernement du Mali, 
maquillé sous forme de reddition. Seule condition pour faire barrage à 
toute émergence d’une coalition démocratique et en écartant le MNLA 
(laïc) d’un éventuel retour sur la scène politique. Ce qui vient d’être 
confirmé par le groupe Ansar Eddine, promettant d’abandonner son projet 
d’application stricte de la Charia et le refus du Parlement européen 
d’auditionner le MNLA. Pourtant, le MNLA est le seul groupe à avoir un 
véritable ancrage dans la population locale et dont l’idéologie est 
véritablement démocratique et respectueuse des droits de l’homme. 
L’attitude du Parlement européen s’affiche ainsi en contradiction totale
 avec le principe de la politique européenne de voisinage (PEV), qui 
repose sur la promotion de la démocratie et des droits de l’homme. 
L’Algérie devait en prime mettre à disposition des forces américaines un
 pont aérien à partir des aéroports de Tamanrasset et de Reggane et un 
appui logistique à la future force africaine d’intervention dans le nord
 du Mali. En toute conscience, le pouvoir algérien cautionne de fait 
cette grossière manipulation de la politique impérialiste américaine en 
Afrique, pour sauvegarder son pouvoir au détriment de la souveraineté 
nationale.
Entre sa grande prédisposition à 
l’imposture, dans la peau d’un Janus qui se joue de la crédulité de la 
grande masse du peuple par le mensonge et le discours populiste, et son 
opportunisme, à s’attirer la sympathie de forces antagoniques pour 
dissiper toute menace sur le système despotique qui l’emploie, les 
manœuvres politiciennes de Bouteflika mènent l’Algérie droit à sa perte.
 Le pouvoir occulte algérien, après avoir investi pendant trois 
mandatures sa confiance en Bouteflika, pour le sauver d’un naufrage 
inévitable, ne trouve toujours pas de remplaçant à lui succéder pour les
 présidentielles de 2014. Il est du devoir des patriotes au sein de 
l’armée et du DRS, s’il en existe, de mettre fin à l’imposture et à 
l’opportunisme de cet aventuriste narcissique qui agit pour une gloire, 
qu’il sait chimérique, en monnayant au profit d’une junte despotique la 
survie du système au péril de la souveraineté nationale. Le danger qui 
guette aujourd’hui l’Algérie, c’est aussi l’opportunisme qui s’étend 
dangereusement à la société civile et aux partis politiques. Une presse "libre et indépendante"
 impuissante à s’exprimer, se contentant de survivre dans ce chaos en se
 réservant le droit à sa part de la rente contre son silence complice. 
Des organisations de la nébuleuse de l’ex-FIS et des partis politiques 
islamistes déjà existants ou nouvellement constitués sont financées sans
 compter par l’impérialisme Wahhabite, représentant de l’impérialisme 
Occidentalo-Américain pour le Moyen-Orient et l’Afrique. Les militants 
de la société civile ou de partis politiques et le peu de presse libre 
qui résistent et tentent tant bien que mal de motiver les consciences à 
agir, se comptent en nombre insignifiant devant la gravité de la menace 
qui guette la souveraineté nationale. Jeudi 15 novembre une poignée de 
manifestants ont protesté contre le soutien de l’Algérie à 
l’intervention militaire au Mali, qui s’est soldée par l’arrestation des
 manifestants sans ménagement. Ils maintiennent néanmoins la mèche de la
 résistance à la dictature et à l’impérialisme occidental allumée par sa
 faible lueur, malgré un harcèlement et une répression permanente de la 
part des forces de sécurité, comme unique réponse que leur réserve un 
pouvoir despotique et hégémonique, dans l’exercice de leur devoir de 
citoyens.
Youcef Benzatat
Le pouvoir algérien monnaye sa survie au péril de la souveraineté | Débats
Le pouvoir algérien monnaye sa survie au péril de la souveraineté
                       Mots clés :                                                                                             Bouteflika,                                                       Pouvoir,                                                       Algerie,                                                       Crise,                                                       MNLA,                                                       Ansar Eddine,                                                       Nord-Mali                                                                                     
                                                           Par Le Matin  DZ                                                     |                  Il y a 20 heures 53 minutes |          3698 lecture(s)                                | Réactions (1)                            
Le  pouvoir algérien, pris en tenaille entre les rivalités sino-américaines  pour le contrôle des richesses de l’Afrique, n’a d’autres choix que de  se soumettre au plus fort ou disparaître. Éclairée par l’imposture et  l’opportunisme de Bouteflika, sa stratégie se réduit à monnayer la  survie du système au péril de la souveraineté nationale.
 Bouteflika.
                                                     Bouteflika.                                                  Pendant les moments chauds du "printemps arabe",  lorsque l’impérialisme occidental avait réussi à monter une opération  militaire pour chasser le régime tyrannique de Kadhafi et s’emparer de  ses richesses, le pouvoir algérien misait tout son espoir à ce moment-là  sur un mince veto anti-occidental et à sa tête la Chine pour empêcher  une opération similaire contre lui. Car la similitude en tyrannie entre  ces deux pays aurait justifié suffisamment aux yeux de l’opinion  mondiale une telle aventure. C’était d’ailleurs sous cette pression, que  le pouvoir algérien, pris de panique, avait annoncé des réformes tous  azimuts, d’abord pour gagner du temps et ensuite négocier sa survie avec  toutes les parties concernées, aussi bien à l’intérieur qu’à  l’extérieur. Il lui a fallu réévaluer la redistribution de la rente à  l’intérieur pour acheter la paix civile et faire des concessions  considérables aux puissances impérialistes américano-européennes et à  leurs vassaux du conseil de coopération du Golfe principalement le Qatar  et l’Arabie Saoudite. Les concessions faites aux forces impérialistes,  renforcées dans leur position par la réussite de l’opération libyenne,  ont encouragé ces dernières à les retourner en chantage permanent contre  le pouvoir algérien, l’obligeant à des concessions de plus en plus  importantes en échange de sa survie. L’évidente issue qui se profile  pour la crise syrienne, - qui se dirige inévitablement en défaveur du  régime de Damas, malgré le véto anti-occidental qui n’a pas empêché les  forces impérialistes à soutenir la rébellion financièrement,  politiquement et militairement pour inverser le rapport de forces au  profit de la révolution - est venue lui rappeler que son sort est scellé  et n’avait d’autres choix que de se soumettre ou disparaître. Sa  soumission se traduit par un bradage intempestif des richesses de  l’Algérie, aussi bien au profit des puissances impérialistes, qu’à leurs  vassaux arabes en des contrats économiques très faiblement négociés et  des concessions considérables à l’islam politique. Auquel il faut  ajouter le récent élargissement de terroristes détenus dans ses geôles,  au profit de l’idéologie wahhabite envahissante et menaçante  qu’instrumentalise l’impérialisme américain.
Avec l’entrée en scène de la crise  malienne, qui met au grand jour les rivalités sino-américaines pour le  contrôle des richesses de l’Afrique, s’ouvre un nouveau chapitre des  pressions sans relâche des forces impérialistes sur le pouvoir algérien,  qui sont venues cette fois se resserrer contre lui par le front sud. Le  mettant en demeure de collaborer à leur stratégie sous peine de le  menacer directement, par la déstabilisation du pays avec en perspective  sa partition et la disqualification de son autorité.
Alerté par la percée spectaculaire de la  Chine en Afrique pour la convoitise de ses richesses depuis une  décennie, et l’affaiblissement de l’emprise néocoloniale européenne sur  le continent, l’Empire américain n’a pas attendu la crise malienne pour  manifester ses visées coloniales dans cette région qui regorge de  richesses. Devant la crise structurelle qui affecte son modèle libéral,  entré dans une phase terminale, l’Afrique devient un continent de  prédation de première importance. Son objectif principal pour assurer sa  survie sera dès lors de contrer la progression de la Chine pour le  contrôle des richesses de l’Afrique et généralement pour le contrôle de  toutes les ressources de la planète. C’est dans la perspective de cette  Grande guerre Chine-Etats Unis, dont l’enjeu est la gouvernance de la  planète, que les Américains avaient pris l’initiative d’implanter  l’Africom en Afrique.
C’est en 2006, que les États-unis ont  décidé de quadriller l’Afrique par un dispositif militaire sous  l’appellation de l’Africom, afin de recoloniser le continent. Notamment,  par l’implantation de bases militaires plus ou moins secrètes sur  l’ensemble du continent. Le Mali est apparu dans ce cadre une cible  privilégiée, où l’Africom a entamé son implantation par des programmes  de formation au profit de près de 6 000 soldats de l’armée malienne. En  parallèle, et sous couvert d’une opération dénommée "Creek Sand",  des militaires et des entrepreneurs américains ont investi le Mali pour  des missions de renseignements. En 2009, l’armée américaine avait  envisagé l’intégration dans l’armée malienne de commandos américains et  le survol du territoire par des avions de surveillance. Aujourd’hui,  avec la crise malienne, l’intervention de la CEDEAO au Mali apparaît  comme une implantation directe au grand jour d’une présence militaire  américaine camouflée derrière des armées locales acquises au préalable à  leur cause. Avec la présence militaire américaine au Mali, l’accès aux  richesses naturelles, notamment l’uranium, devient facile à contrôler  directement et de donner une profondeur stratégique à leur action  colonisatrice, dans un premier temps en Afrique de l’Ouest et par la  suite sur tout le continent. Par cette action, l’obstruction à la  progression de la Chine dans la région devient facilement maîtrisable,  en même temps que d’empêcher toute volonté des peuples africains de  résister à l’ordre impérialiste américain.
Par ailleurs, au nord Mali, des unités  d’élite ont été investies dans des actions secrètes, officiellement sous  couvert de poursuite des groupes terroristes, qui sont probablement  encore présentes à ce jour. La lutte contre le terrorisme, inaugurée par  Bush en tant que lutte de l’"Axe du Bien" contre l’"Axe du Mal"  (représenté par le terrorisme islamiste radical), devient l’argument  rhétorique pour justifier la nouvelle offensive de la guerre  impérialiste américaine. C’est avec la collaboration des Saoudiens et  des Qataris, que cette justification s’est matérialisée et est devenue  possible. Notamment par la favorisation de l’émergence, de la  consolidation et du soutien aux groupes terroristes au nord Mali pour  servir les intérêts des Occidentaux et particulièrement ceux des  Américains. Car, l’Islam radical, globalement confondu par le terme  «terrorisme», se prête aisément à conditionner l’opinion pour mieux  faire accepter une intervention militaire. L’intérêt partagé des  Américains, des Saoudiens et des Qataris dans cette collaboration réside  naturellement dans leur projet d’islamisation de l’Afrique de l’Ouest,  sur le modèle de l’islamisation du Maghreb et de l’Égypte post "printemps arabe",  pour faire barrage à toute possibilité de démocratisation des sociétés  africaines et de l’émancipation de leurs peuples. L'hypothèse de la  poursuite d'un soutien militaire et financier par le Qatar des groupes  terroristes du Mujao, Aqmi et Ansar Eddine dans l’Azawad, dans une  stratégie de double jeu, est largement attestée par des témoins présents  sur place. C’est ainsi que plusieurs témoignages attestent que la  présence d’ONG qataries au nord Mali et au Niger (le Croissant-Rouge et  Charity Qatarie) opèrent dans cette zone sans coordination et sans  actions communes avec les autres ONG sur le terrain. Cette information a  été confirmée, y compris par un humanitaire du CICR (Comité  international de la Croix-Rouge) qui coordonne pourtant l’aide d’urgence  dans les zones de conflits. Le sentiment du comportement suspect des  ONG qataries est largement partagé par la quasi-totalité des  intervenants humanitaires dans le nord Mali, qui se plaignent du manque  de concertation en amont avec les autres ONG. L’attitude du Qatar  interroge y compris chez les Nigériens, qui s’étonnent aussi du  fonctionnement des ONG qataries, qui travaillent dans leur coin, sans  coopération et sans transparence. À noter que l’aide alimentaire rentre  au nord du Mali via le Niger, par la route. Les humanitaires sont tous  d’accord sur le fait, que le rôle exact des Qataris depuis qu’ils sont  arrivés au nord Mali, c’est bien d’aider les groupes terroristes  financièrement et logistiquement et que leur action humanitaire n’est  qu’une couverture pour un soutien moins avouable à ces groupes  terroristes. Au point que certains y voient une démarche plus politique  qu’humanitaire. Plus flagrant encore est que certains ont constaté  qu’ils plantent un drapeau dans des endroits stratégiques, ce qui  pourrait être déterminant lors d’une intervention militaire. Un acteur  économique nigérien avait lui aussi relevé des investissements qataris  suspects au Niger, qui ne sont que de grossières manipulations par des  opérations de clientélisation de personnes peu recommandables et qui  sont loin de faire du développement. Des témoins rapportent que des  avions affrétés par le Qatar atterrissent ces derniers mois dans le nord  du Mali et la nuit seulement, avec à leurs bords des cargaisons  suspectes. Il s’agit sûrement d’armement destiné aux groupes  terroristes, malgré les démentis officiels du Qatar et des services  secrets français, qui n’ont pas réussi à lever le doute des autorités de  Bamako, tenues à l’écart des réelles intentions occidentales.
Tous les "vis cachées" de cette  crise sont là ! préparer une intervention militaire avec une CEDEAO  moribonde, en même temps consolider l’ennemi et poursuivre les  négociations avec lui. Pour d’une part, permettre l’enlisement du  conflit, pour appeler en renfort l’armée américaine et justifier sa  présence sur le sol malien, et, d’autre part, dans la négociation, le  mettre en confiance pour revenir sur la scène politique après le  conflit. Armer la partie adverse, l’armée malienne, et lui dissimuler  les véritables intentions de la coalition, venue faussement la délivrer  de bandes terroristes qui occupent plus que la moitié de son territoire !  De toute évidence, les gagnants ne peuvent être que ceux qui manœuvrent  derrière les coulisses. Et derrière les coulisses, en plus des  Occidentaux avec à leur tête les Américains et le nouvel impérialisme  wahhabite, on trouve le pouvoir algérien, qui manœuvre quant à lui, pour  le seul but de sauvegarder son hégémonie sur son peuple au péril de sa  souveraineté nationale. Cet objectif ne pourra être atteint que par  l’abandon du principe de non-ingérence dans les affaires internes  d’États souverains et sa soumission au projet impérialiste américain par  la caution de l’intervention militaire au Mali. Car, jusqu'à ce jour,  l’Algérie a refusé toute intervention militaire hors de ses frontières.  Si depuis l’indépendance, cette position était surtout liée à un  principe de non-ingérence dans les affaires intérieures de pays  souverains, depuis l’avènement du "printemps arabe", elle fût  surtout motivée par la crainte de se voir elle-même l’objet d’une  intervention militaire coalisée, motivée par les mêmes conditions qui  ont prévalu dans les pays concernés par ce "printemps arabe".  Sa non-reconnaissance de la nouvelle coalition de l’opposition syrienne  est stratégique comme cela s’est passé pour le CNT libyen pour ensuite  le reconnaître après coup. Toutes ces manœuvres de soutien et de  négociations avec les groupes terroristes, arrangent en fin de compte  toutes les parties en conflit au détriment des populations locales.  L’objectif consiste à recycler les groupes terroristes les plus  accommodants et à éliminer les récalcitrants. Instaurer des régimes  islamistes dans toute l’Afrique de l’Ouest, contrôlés par l’impérialisme  américain, pour faire barrage aux véritables forces démocratiques de  ces pays, pour rendre leur inféodation facile. Car, les régimes  islamistes sont généralement plus maniables et plus perméables à la  corruption. 
C’est la mission qui a été confiée à  l’Algérie. Les négociations entamées par Bouteflika avec Ansar Eddine  semblent de toute évidence avoir été imposées par les Américains, pour  amener les groupes terroristes à coopérer pour les associer, en échange,  au nouveau pouvoir qui se dessine au Mali après la résolution de la  crise. Toutefois en fixant comme objectif l’abandon formel de  l’application de la Charia par les groupes terroristes, sans pour autant  abandonner le projet d’instauration d’un État islamique dans une future  association de ces groupes terroristes au gouvernement du Mali,  maquillé sous forme de reddition. Seule condition pour faire barrage à  toute émergence d’une coalition démocratique et en écartant le MNLA  (laïc) d’un éventuel retour sur la scène politique. Ce qui vient d’être  confirmé par le groupe Ansar Eddine, promettant d’abandonner son projet  d’application stricte de la Charia et le refus du Parlement européen  d’auditionner le MNLA. Pourtant, le MNLA est le seul groupe à avoir un  véritable ancrage dans la population locale et dont l’idéologie est  véritablement démocratique et respectueuse des droits de l’homme.  L’attitude du Parlement européen s’affiche ainsi en contradiction totale  avec le principe de la politique européenne de voisinage (PEV), qui  repose sur la promotion de la démocratie et des droits de l’homme.  L’Algérie devait en prime mettre à disposition des forces américaines un  pont aérien à partir des aéroports de Tamanrasset et de Reggane et un  appui logistique à la future force africaine d’intervention dans le nord  du Mali. En toute conscience, le pouvoir algérien cautionne de fait  cette grossière manipulation de la politique impérialiste américaine en  Afrique, pour sauvegarder son pouvoir au détriment de la souveraineté  nationale.
Entre sa grande prédisposition à  l’imposture, dans la peau d’un Janus qui se joue de la crédulité de la  grande masse du peuple par le mensonge et le discours populiste, et son  opportunisme, à s’attirer la sympathie de forces antagoniques pour  dissiper toute menace sur le système despotique qui l’emploie, les  manœuvres politiciennes de Bouteflika mènent l’Algérie droit à sa perte.  Le pouvoir occulte algérien, après avoir investi pendant trois  mandatures sa confiance en Bouteflika, pour le sauver d’un naufrage  inévitable, ne trouve toujours pas de remplaçant à lui succéder pour les  présidentielles de 2014. Il est du devoir des patriotes au sein de  l’armée et du DRS, s’il en existe, de mettre fin à l’imposture et à  l’opportunisme de cet aventuriste narcissique qui agit pour une gloire,  qu’il sait chimérique, en monnayant au profit d’une junte despotique la  survie du système au péril de la souveraineté nationale. Le danger qui  guette aujourd’hui l’Algérie, c’est aussi l’opportunisme qui s’étend  dangereusement à la société civile et aux partis politiques. Une presse "libre et indépendante"  impuissante à s’exprimer, se contentant de survivre dans ce chaos en se  réservant le droit à sa part de la rente contre son silence complice.  Des organisations de la nébuleuse de l’ex-FIS et des partis politiques  islamistes déjà existants ou nouvellement constitués sont financées sans  compter par l’impérialisme Wahhabite, représentant de l’impérialisme  Occidentalo-Américain pour le Moyen-Orient et l’Afrique. Les militants  de la société civile ou de partis politiques et le peu de presse libre  qui résistent et tentent tant bien que mal de motiver les consciences à  agir, se comptent en nombre insignifiant devant la gravité de la menace  qui guette la souveraineté nationale. Jeudi 15 novembre une poignée de  manifestants ont protesté contre le soutien de l’Algérie à  l’intervention militaire au Mali, qui s’est soldée par l’arrestation des  manifestants sans ménagement. Ils maintiennent néanmoins la mèche de la  résistance à la dictature et à l’impérialisme occidental allumée par sa  faible lueur, malgré un harcèlement et une répression permanente de la  part des forces de sécurité, comme unique réponse que leur réserve un  pouvoir despotique et hégémonique, dans l’exercice de leur devoir de  citoyens.
Youcef Benzatat
Global Firepower 2012 : 5 pays africains dans le top 55 des armées | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Au classement des cinquante-cinq premières 
armées du monde élaboré par le site Global Firepower, l'Afrique est 
représentée par l'Égypte, l'Afrique du Sud, l'Algérie, la Libye et 
l'Éthiopie.
Le site spécialisé Global Firepower,
 qui étudie les armées conventionnelles (à l'exclusion de l'armement 
nucléaire) en fonction de quarante-cinq critères affinés chaque année, a
 diffusé début novembre son index 2012. Si le classement des cinq 
premières armées du monde ne présente pas de surprises (dans l'ordre : 
États-Unis, Russie, Chine, Inde, Royaume-Uni), la France n'apparaît 
qu'en huitième position, devancée par la Turquie et la Corée du Sud. 
Avec son budget annuel de 16 milliards de dollars, ses 2 000 avions et 
ses quelque 3 000 blindés, Israël dispose de la dixième armée, alors que
 l'Iran (9 milliards de dollars et un millier d'avions) pointe à la 
douzième place.Le Maroc absent
En Afrique, c'est l'armée égyptienne (16e place) qui est considérée comme la plus forte (7 milliards de dollars, 880 appareils, 4 000 blindés), devant la sud-africaine (qui dispose de la deuxième marine de guerre du continent et figure à la 31e place), l'algérienne (38e place avec 6 milliards de dollars, 440 avions et un millier de blindés), la libyenne (39e place pour un budget de 1,5 milliard de dollars) et... l'éthiopienne (44e place). En 2011, le gouvernement d'Addis-Abeba a consacré 450 millions de dollars à la Défense. Curieusement, l'armée marocaine, avec ses 3 milliards de dollars de budget annuel, ses quelque 200 avions et ses 3 000 blindés, ne figure pas dans ce classement des cinquante-cinq premières armées du monde.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Global Firepower 2012 : 5 pays africains dans le top 55 des armées | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Au classement des cinquante-cinq premières  armées du monde élaboré par le site Global Firepower, l'Afrique est  représentée par l'Égypte, l'Afrique du Sud, l'Algérie, la Libye et  l'Éthiopie.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Global Firepower 2012 : 5 pays africains dans le top 55 des armées | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Global Firepower 2012 : 5 pays africains dans le top 55 des armées | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Vidéo : l’enfer des roquettes dans le sud d’Israël depuis 12 ans | Europe Israel - analyses, informations sur Israel, l'Europe et le Moyen-Orient
- Les livres à lire
- Nos vidéos:Décryptage: Gaza - l'envers du décorLa soeur de Mohamed Merah fière de son frère - Enquête exclusive 11 11 2012Les enfants palestiniens manipulés et mis en scène dans les manifestations
- Les actions d’Europe Israël :
- Commentaires récents- Gérard Pierre dans Le Hamas dans le collimateur de Tsahal, par Freddy Eytan
- o'connor dans Israël: Le sud sous le feu des roquettes et désinformation : Israël a besoin de votre aide
- o'connor dans Israël: Le sud sous le feu des roquettes et désinformation : Israël a besoin de votre aide
- BobbyFR94 dans Mensonge du Hamas: recyclage de photos syriennes
- BobbyFR94 dans Israël: Le sud sous le feu des roquettes et désinformation : Israël a besoin de votre aide
 
-   Articles récents- Manifester contre Israël c’est soutenir le Jihad terroriste, l’Islam radical et attiser l’antisémitisme !
- Vidéo: des chars israéliens se positionnent autour de Gaza
- Cette galaxie islamo-djihadiste qui menace Israël
- Le Hamas dans le collimateur de Tsahal, par Freddy Eytan
- Escalade à Gaza : le Hamas suicide les palestiniens
- Europe Israël et le BNVCA disent NON, aux manifestations antisémites de ce week-end.
- Vidéo : l’enfer des roquettes dans le sud d’Israël depuis 12 ans
- Et si votre ville était la cible du Hamas?
- Ahmed Jabari est désormais un bon terroriste
- Islam: Un culte de la mort obscène, par Adam Harishon
 
- Mots-clefsabbas Antisionisme antisémite Antisémitisme attentat autorité palestinienne boycott Charia désinformation etats-unis europe Fatah flottille France Frères musulmans Gaza hamas Hezbollah iran Islam islamisation islamisme Israël Jihad juif juifs jérusalem liban Mahmoud Abbas moyen-orient musulmans Obama ONU palestine Palestiniens sarkozy shoah sionisme syrie terrorisme Toulouse tsahal UNESCO USA égypte
- Force de Défense d’Israël sur Internet
Vidéo : l’enfer des roquettes dans le sud d’Israël depuis 12 ans
 novembre 16th, 2012
 novembre 16th, 2012  Europe-Israel.org
 Europe-Israel.org  Voici  un aperçu du cauchemar vécu au quotidien par les habitants du sud  d’Israël. Depuis 12 ans, le Hamas et les organisations terroristes ont  tiré plus de 12.000 roquettes sur le sud de l’Etat juif.
Nous rappelons, contrairement à ce qu’affirment certains médias,  mettant sur un pied d’égalité les tirs terroristes du Hamas et les réponses défensives d’Israël que le Hamas EST l’assaillant. L’ONU, qui condamne les 2 camps (selon BFM TV) montre, un nouvelle fois, sa partialité.
En réponse aux tirs incessants de roquettes depuis la bande de Gaza – plus de 1100 cette année,  et plus de 120 depuis samedi  – Tsahal a lancé une opération de grande envergure contre des  infrastructures et des responsables terroristes dans la bande de Gaza.  L’opération, appelée “Pilier de Défense”, a deux objectifs principaux :  protéger les civils israéliens et porter un coup sévère aux infrastructures terroristes dans la bande de Gaza.
A 04h50 - 422 roquettes ont été tirées sur le sud  d’Israël depuis le début de l’opération, portant ainsi à 1190 le nombre  de missiles qui ont frappé le pays cette année
   Au cours des dernières 24 heurs, Tsahal a continué à viser  des dizaines de sites de lancement de roquettes dans le cadre de  l’opération Pilier de Défense portant ainsi un coup sévère aux capacités  de frappe des organisations terroristes dans la bande de Gaza. Par  ailleurs, l’armée de l’Air a ciblé plusieurs groupes terroristes  impliqués dans des tirs de roquettes.
Le but de ces frappes est de porter atteinte à la capacité de  lancement de roquettes des organisations terroristes dans la bande de  Gaza ainsi que de les empêcher de reconstituer ces capacités.
Depuis le début de l’opération, plus de 300 sites terroristes ont été frappés par l’armée de l’Air dans la bande de Gaza.
Ce soir, des soldats de la Marine ont tiré en direction de cibles du Hamas situées sur la côte.
Au cours des derniers jours, plus de 300 roquettes ont été tirées sur  des villes israéliennes, dont une sur Rishon LeTzion, située à 60  kilomètres de la bande de Gaza.
Le Dôme de Fer a intercepté avec succès plus de 130 roquettes tirées en direction d’Israël.
Le Hamas a transformé la bande de Gaza en un avant-poste de l’Iran en  terrorisant les habitants de l’Etat d’Israël et en les forçant à vivre  dans des conditions inacceptables.
Tsahal continuera à cibler des sites utilisés à des fins terroristes contre les citoyens israéliens.
source Tsahal
es roquettes dans le sud d’Israël depuis 12 ans | Europe Israel - analyses, informations sur Israel, l'Europe et le Moyen-Orient
        Voici  un aperçu du cauchemar vécu au quotidien par les habitants du sud  d’Israël. Depuis 12 ans, le Hamas et les organisations terroristes ont  tiré plus de 12.000 roquettes sur le sud de l’Etat juif.
Nous rappelons, contrairement à ce qu’affirment certains médias,  mettant sur un pied d’égalité les tirs terroristes du Hamas et les réponses défensives d’Israël que le Hamas EST l’assaillant. L’ONU, qui condamne les 2 camps (selon BFM TV) montre, un nouvelle fois, sa partialité.
En réponse aux tirs incessants de roquettes depuis la bande de Gaza – plus de 1100 cette année,  et plus de 120 depuis samedi  – Tsahal a lancé une opération de grande envergure contre des  infrastructures et des responsables terroristes dans la bande de Gaza.  L’opération, appelée “Pilier de Défense”, a deux objectifs principaux :  protéger les civils israéliens et porter un coup sévère aux infrastructures terroristes dans la bande de Gaza.
A 04h50 - 422 roquettes ont été tirées sur le sud  d’Israël depuis le début de l’opération, portant ainsi à 1190 le nombre  de missiles qui ont frappé le pays cette année
   Au cours des dernières 24 heurs, Tsahal a continué à viser  des dizaines de sites de lancement de roquettes dans le cadre de  l’opération Pilier de Défense portant ainsi un coup sévère aux capacités  de frappe des organisations terroristes dans la bande de Gaza. Par  ailleurs, l’armée de l’Air a ciblé plusieurs groupes terroristes  impliqués dans des tirs de roquettes.
Le but de ces frappes est de porter atteinte à la capacité de  lancement de roquettes des organisations terroristes dans la bande de  Gaza ainsi que de les empêcher de reconstituer ces capacités.
Depuis le début de l’opération, plus de 300 sites terroristes ont été frappés par l’armée de l’Air dans la bande de Gaza.
Ce soir, des soldats de la Marine ont tiré en direction de cibles du Hamas situées sur la côte.
Au cours des derniers jours, plus de 300 roquettes ont été tirées sur  des villes israéliennes, dont une sur Rishon LeTzion, située à 60  kilomètres de la bande de Gaza.
Le Dôme de Fer a intercepté avec succès plus de 130 roquettes tirées en direction d’Israël.
Le Hamas a transformé la bande de Gaza en un avant-poste de l’Iran en  terrorisant les habitants de l’Etat d’Israël et en les forçant à vivre  dans des conditions inacceptables.
Tsahal continuera à cibler des sites utilisés à des fins terroristes contre les citoyens israéliens.
source Tsahal
es roquettes dans le sud d’Israël depuis 12 ans | Europe Israel - analyses, informations sur Israel, l'Europe et le Moyen-Orient
Inscription à :
Commentaires (Atom)


 
 











