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vendredi 26 septembre 2014

Détruire la Kabylie par l’insécurité | Tamurt.info

Ferhat Mehenni : Réflexion autour de l’exécution d’Hervé Gourdel
«Bouteflika est arrivé au pouvoir avec la ferme intention de détruire la Kabylie. Dès sa première campagne électorale (1999), il déclara à Tizi-ouzou : « je suis venu dégonfler votre ballon de baudruche ! ». A sa deuxième campagne (2004), il cria à Vgayet (Bougie) où il fut accueilli avec des jets de pierres : « Kabyles ! De loin je vous voyais des géants, mais de près vous n’êtes que des nains ! ».
26/09/2014 - 14:07 mis a jour le 26/09/2014 - 13:55 parFerhat Mehenni, Président du Gouvernement Provisoire Kabyle
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« Bouteflika est arrivé au pouvoir avec la ferme intention de détruire la Kabylie. Dès sa première campagne électorale (1999), il déclara à Tizi-ouzou : « je suis venu dégonfler votre ballon de baudruche ! ». A sa deuxième campagne (2004), il cria à Vgayet (Bougie) où il fut accueilli avec des jets de pierres : « Kabyles ! De loin je vous voyais des géants, mais de près vous n’êtes que des nains ! ». »
Autour du kidnapping et de la décapitation d’Hervé Gourdel
Le kidnapping d’Hervé Gourdel, suivi de son assassinat par un groupe islamiste armé ayant fait allégeance à l’Etat Islamique au Moyen Orient, soulève à juste titre une grande indignation à travers le monde. Les Kabyles en sont à la fois horrifiés et révoltés. Ils sont profondément choqués d’apprendre le sort tragique réservé à ce malheureux citoyen français, mais ils sont particulièrement en colère que cet ignoble crime soit commis sur leur territoire. Ils s’en sentent salis, comme s’ils en étaient coupables !
Les médias internationaux, particulièrement les médias français, les accablent en présentant la Kabylie comme le fief d’AQMI et de l’islamisme. C’est pour rendre justice au peuple kabyle que je me sens en devoir de défendre son honneur, en apportant ici mon éclairage personnel sur ce que sont la Kabylie, le terrorisme islamiste et le pouvoir algérien.
Bien sûr, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Dans un monde où l’information est d’abord émotionnelle, face à des images manipulées et présentées, pour certaines, sous un angle plutôt qu’un autre, peut créer la confusion chez bon nombre de gens. Aussi, je tenterai humblement de rétablir un certain nombre de vérités, quitte à ce que, compte-tenu de ce qui précède, mon écrit paraisse dérisoire et donquichottesque. Accuser la Kabylie d’être le fief de l’islamisme ou d’avoir de la sympathie pour cette idéologie fasciste et ses adeptes est si gros et si grave que cela appelle une mise au point en direction de l’opinion internationale.
1-) La Kabylie est laïque et anti-islamiste
Pour avoir investi dans sa quête de liberté et de reconnaissance de son identité, durant les trente années de dictature arabo-islamiste du FLN, la Kabylie, fer de lance du berbérisme, n’a jamais été gagnée par le raz de marée islamiste algérien. Toutes les élections pluralistes qui se sont déroulées depuis 1990 sont là pour le prouver. Les islamistes y essuient toujours des échecs.
La Kabylie est laïque depuis des siècles. Sa laïcité n’est ni le fait d’une décision violente à la turque, ni d’une loi à la française. Non ! Elle est simplement culturelle et répondait au besoin de liberté de chaque individu et de chaque village, mais aussi à la nécessaire solidarité entre tous ses enfants. Bien que la majorité des Kabyles soit de confession musulmane, elle demeure non pratiquante et cultive la tolérance et le respect de toutes les croyances. C’est le seul peuple qui, en Algérie et à travers le monde dit musulman, pour défendre sa liberté de conscience, ait organisé des déjeuners publics pendant les journées du ramadan (étés 2013 et 2014).
2-) Le Terrorisme islamiste n’est pas kabyle.
Du fait que l’islamisme soit basé sur l’arabo-islamisme, il ne pouvait que rencontrer l’opposition des Kabyles. Les terroristes islamistes, bien qu’il y ait parmi eux de rares recrues locales, sont pour l’essentiel des étrangers à la Kabylie. Ils viennent d’ailleurs.
Le terrorisme islamiste n’a été transféré en Kabylie qu’à partir de 1997, lorsque le pouvoir algérien avait conclu un accord de paix avec l’Armée Islamique du Salut (AIS). Pendant cinq ans de terrorisme ayant ravagé Alger et ses environs (192-1997) la Kabylie faisait figure de pays voisin, paisible et sûr. C’était la Suisse locale. Malgré quelques rares incursions dont notamment furent victimes, Mohand Aouchta, Rabah Stambouli et Nabila Djahnine, le terrorisme islamiste sévissait plutôt ailleurs mais surtout contre des Kabyles qu’il considère comme les seuls à lui être hostiles. Il assassinait à travers toute l’Algérie, mais on enterrait souvent en Kabylie (Tahar Djaout, Rachid Tigziri, Mahfoud Boucebci, Smail Yefsah, Katia Bengana, Hamid Mahiout, ….). Par ailleurs, les Kabyles furent les premiers à s’organiser et à prendre les armes contre le terrorisme islamiste, dès 1995.
3-) Le terrorisme islamiste est en fait l’alibi pour l’occupation militaire de la Kabylie.
Le pouvoir algérien qui, dès son installation en 1963, s’était heurté à l’opposition armée de la Kabylie, n’a eu de cesse d’échafauder des plans pour humilier celle-ci et la dépersonnaliser, casser chez elle toute idée de séparatisme par la répression et l’arabisation. Etrangement, c’est en Kabylie qui était relativement épargnée par le terrorisme islamiste, que l’armée va le plus se déployer, pour ne plus la quitter.
L’accord signé entre le pouvoir et l’AIS en 1997 avait besoin d’un bouc-émissaire : leur ennemi commun, la Kabylie qui refusait de s’arabiser et d’accepter un Etat arabo-islamique. Mais l’idée de la fin du terrorisme posait aussi problème au régime algérien. En l’absence d’actes terroristes, comment justifier la présence de l’armée en Kabylie ? Il y a eu donc conspiration contre elle. Les terroristes sont autorisés à se venger contre les Kabyles comme ils le veulent, et l’armée est chargée de leur y garantir la liberté d’action et l’impunité. Ce sont les barrages militaires qui servent à ce jour de protecteurs de la libre circulation de ces nervis. Ce sont ces derniers qui viennent de revendiquer la décapitation d’un homme qui ne leur avait rien fait.
4-) Bouteflika n’a qu’un objectif : Détruire la Kabylie par l’insécurité
Bouteflika est arrivé au pouvoir avec la ferme intention de détruire la Kabylie. Dès sa première campagne électorale (1999), il déclara à Tizi-ouzou : « je suis venu dégonfler votre ballon de baudruche ! ». A sa deuxième campagne (2004), il cria à Vgayet (Bougie) où il fut accueilli avec des jets de pierres : « Kabyles ! De loin je vous voyais des géants, mais de près vous n’êtes que des nains ! ». A son troisième mandat, il humilia la Kabylie à travers le fils d’un valeureux écrivain kabyle. Le malheureux manœuvré, était chargé d’honorer Bouteflika dans les rues de Tizi-ouzou en allant lui mettre sur les épaule, un burnous local, symbole de l’honneur chez les Kabyles. Bouteflika qui se délecta du spectacle faisait semblant de l’ignorer totalement.
Bouteflika décréta une « concorde nationale » et prit le parti des jeunes terroristes en disant que « si j’avais leur âge, je serais l’un des leurs ! ». Au bout de deux ans de son premier mandat, il organisa la tuerie du « printemps noir » en Kabylie dans laquelle on dénombra près de 150 morts et des milliers de blessés dont 1200 handicapés à vie. C’était l’occasion d’y renforcer l’occupation militaire. Il commença à envoyer des renforts en surnombre. Ils sont depuis 2004, plus de 100 000 hommes stationnés sur place.
Il créa à la présidence, une unité spéciale chargée d’organiser les kidnappings et de semer la terreur en Kabylie. C’est elle qui est à l’origine de l’essentiel des enlèvements de commerçants et autres industriels pour les faire fuir de chez eux.
En septembre 2005, il organisa une parodie de « référendum » pour s’autoamnistier et absoudre de tous leurs crimes politiques, les terroristes islamistes qu’il envoya aussitôt en tant qu’imams en Kabylie. Nombreux sont ceux d’entre eux qui en ont été chassés par les comités de village pour avoir incité à la haine et au meurtre.
5-0) Bouteflika : Détruire la Kabylie par la désinformation.
A ce dernier mandat dans lequel il n’a pas fait la moindre apparition publique, très diminué physiquement, sa volonté demeure de détruire l’image de la Kabylie.
Faute d’avoir réussi à la domestiquer comme il l’escomptait à son arrivée au pouvoir, il y a dix ans, il se promet d’en pervertir l’image.
Le maintien du terrorisme en Kabylie, alors que celui-ci est quasiment inexistant ailleurs, permet de faire passer, auprès des médias internationaux et des chancelleries la thèse suivante :
« Le pouvoir algérien se bat contre le terrorisme islamiste. Il fait de son mieux et il mériterait donc le soutien de l’Occident. Mais comme le terrorisme ne subsiste qu’en Kabylie qui se bat contre ce même pouvoir, ce sont les Kabyles qui seraient, sinon les complices des terroristes islamistes, du moins leurs alliés objectifs, leur rempart contre les assauts des militaires ! » Par conséquent, la Kabylie est à mettre au ban de l’humanité et le pouvoir algérien est à encourager dans sa lutte contre les Kabyles qui l’empêchent d’éradiquer les terroristes ». L’astuce est diabolique, mais elle fait mouche !
Ainsi, de la Kabylie qui était considérée à juste titre comme le bastion de la démocratie et de la laïcité, grâce à l’insécurité que le pouvoir y entretient artificiellement, on en donne de nos jours l’image du « bastion du terrorisme islamiste » et du « fief de l’AQMI ».
On oublie de dire, ou en fait semblant d’ignorer que :
1) Les militaires algériens ne sont nullement entravés dans leur action par les populations kabyles. Ils s’y déploient en toute liberté.
2) Les Kabyles, s’ils ne sont pas d’accords avec le régime fasciste algérien, sont encore plus opposés aux islamistes.
3) La Kabylie n’a pas d’Etat et ne gère aucun des services de sécurité qui sont tous entre les mains d’Alger.
4) Les militaires et les terroristes islamistes sont tous armés, seuls les Kabyles ne le sont pas. Ils ont été désarmés dès le début de l’apparition du phénomène terroriste en 1992-93.
5-1) Bouteflika : détruire la Kabylie par l’infamie.
Avant de quitter le pouvoir, Bouteflika s’est juré de donner le coup de grâce à la réputation de la Kabylie et des Kabyles en en montrant l’image la plus hideuse possible. Depuis la mise sur pied de l’Anavad, le Gouvernement Provisoire Kabyle en exil (01/06/2010), Bouteflika jure de se venger par n’importe quel moyen. Il a donc sorti sa nouvelle tactique. Commettre des atrocités en Kabylie contre des étrangers et en accuser les Kabyles. De cette manière, il pense pouvoir, entre autres, en paralyser l’action diplomatique.
C’est ainsi qu’au mois d’août dernier, un footballeur d’origine camerounaise, Albert Ebossé, sous licence auprès la Jeunesse Sportive de Kabylie, fut assassiné dans les vestiaires du club à Tizi-ouzou. Les services s’étaient chargés de susciter des troubles à la fin d’un match et d’entrainer des jets de pierres des spectateurs sur les responsables de leur club.Ensuite, ce fut facile de présenter le joueur africain comme une victime de ces jets de pierres et non d’un assassinat organisé pour ternir l’image des Kabyles. Toutes les versions inventées par les scénaristes du pouvoir ne sont parvenues jusqu’ici à avoir la moindre concordance avec les faits qui restent têtus.
Aujourd’hui, c’est un Français qu’on fait enlever au cœur-même de la Kabylie, dans des conditions pour le moins suspectes, et qui vient d’être décapité.
Hervé Gourdel n’a-t-il pas été carrément livré par les services algériens à ses ravisseurs ? Nous sommes fondés à nous poser cette question. Une information judiciaire vient d’être ouverte à Paris alors qu’à Alger, il n’en est encore rien. J’espère que les accompagnateurs de l’otage décapité seront entendus par les juges français.
Dans une version des faits, livrée par le site internet du quotidien « Liberté » (mercredi 24 septembre 2014, 9h 50) par Salim Koudil, intitulée : « Enlèvement d’Hervé Gourdel, ce qui s’est réellement passé » on relève cet étrange détail : « les cinq accompagnateurs du Français ont été séquestrés dans la forêt avoisinant Aït Ouabane, durant toute la nuit de dimanche à lundi, avec Hervé Gourdel, avant d’être libérés dans la matinée. “Ils sont arrivés à Tikjda vers 16h30, hier (lundi, ndlr) après une marche à pied de plusieurs heures et se sont directement dirigés vers la caserne militaire.” 
Pour quelqu’un qui connait la Kabylie, on ne peut marcher plus d’une heure sans tomber sur un village. Comment se fait-il que ces accompagnateurs libérés le matin n’aient pu atteindre qu’à 16h la caserne de Tikjda ? Etonnant !
Par ailleurs, toute la presse algérienne fait état d’un déploiement de pas moins de 1500 militaires pour un ratissage sur les lieux de l’enlèvement. Cela n’a permis jusqu’ici ni de sauver la malheureuse victime ni de retrouver sa dépouille, encore moins ses ravisseurs. Comment se fait-il qu’avec tous les moyens modernes dont disposent ces militaires pour la surveillance d’un territoire connu pour être désert comme les hauteurs du Djurdjura, on soit devant un tel échec et aujourd’hui, un tel drame ? On en vient à déduire de deux choses l’une : ou cette armée est incompétente, ce qui est une insulte pour ses plus hauts gradés, ou on la promène au sens littéral du terme, c’est en faire le corps de tous les coups tordus dont le dernier a eu pour conséquence la décapitation d’un homme.
Ce que l’Occident devrait retenir de ce grave précédent est que le régime algérien, qu’il soit incompétent ou comploteur, n’est digne d’aucune confiance. Le soutenir revient à couver son rejeton, le terrorisme islamiste qui, demain va s’infiltrer dans chacune des villes européennes et américaines pour y faire ce qu’il fait aujourd’hui en Kabylie.
La Kabylie meurtrie, souillée par tant d’humiliations, a besoin de son propre Etat pour assurer sa sécurité et celle de son environnement. Seule une Kabylie indépendante est en mesure de garantir sur son territoire, voir au-delà, la sécurité des personnes et des biens dont le voisinage occidental a tant besoin.
Paris le 25/09/2014
Ferhat Mehenni

jeudi 25 septembre 2014

Le tueur de Hervé Gourdel a été amnistié par Bouteflika en 1999 · Kabylie Politique

  • > Le tueur de Hervé Gourdel a été amnistié par Bouteflika en 1999

Le tueur de Hervé Gourdel a été amnistié par Bouteflika en 1999

bouteflikaLe chef de l’Etat islamique en Algérie, Gouri Abdelmalek, allias Khaled Abu Selmane était un des bénéficiaires de l’amnistie accordée aux milliers de terroristes par le président algérien Abdelaziz Bouteflika.
Bouteflika avait pour rappel initié en septembre 1999 une politique d’amnistie en faveur de 5000 islamistes emprisonnés et 6000 autres en activité appartenant alors à l’Armée islamique du salut, la branche armée du Front islamique du salut (FIS-dissous).
Khaled Abu Selmane est né en 1977 dans la commune arabophone de Si Mustapha (Boumerdes), à 60 km à l’est d’Alger. Ce sanguinaire est issu d’une famille paysanne dont il est l’aîné. Il avait quitté tôt l’école pour devenir berger.
Arrêté en 1997 et condamné à une peine de 5 ans de prison pour soutien au terrorisme, Khaled Abu Selmane sera libéré par décret amnistiant les islamistes en octobre 1999, juste après le référendum sur la « concorde civile ». Il finit par rejoindre le maquis au début 2000 à l’âge de 23 ans, avec deux de ses fidèles amis, les frères Khelifi, Youcef et Mohamed, dont le second sévit à ce jour. Ils ont été suivis plus tard par plus de 25 jeunes du même village.
Il devient vite l’adjoint de Abdelmalek Droukdel, chef d’AQMI. Ce dernier l’avait désigné en 2005 à la tête de la katiba El Arkam, qui activait dans les localités du sud et du centre de la wilaya de Boumerdès. Cette phalange a été à l’origine de tous les attentats kamikazes commis contre les édifices de sécurité entre 2007 et 2011 ainsi que les assassinats perpétrés contre d’anciens miliciens.
Il s’autoproclame à l’accasion du rapt du français représentant du mouvement Daech en Algérie.
Celui qui serait à l’origine du kidnapping et de l’exécution du touriste français Hervé Gourdel survenue le 24 septembre 2014 était donc un bénéficiaire de la politique du pouvoir algérien. 
L’ancien chef de l’AIS Madani Mezrag a été reçu en mai 2014 d’une manière officielle par Ahmed Ouyahia représentant du chef de l’Etat et ce, pour le consulter et donner sa « vision » sur la prochaine révision constitutionnelle.

KABYLES : j’irai cracher sur vos tombes ! | Néoculture amazighe et actu décalée

KABYLES : j’irai cracher sur vos tombes !

KaVous avez deux choix : Soit continuer à vous soumettre aux arabo-musulmans en épousant leur dernière créature apparue sous la forme des "soldats du Califat" et j’irai cracher sur vos tombes, je maudirais vos ancêtres jusqu’à la première génération, je souillerai aussi votre soumission au 1er Novembre 1954 qui a créé ces monstres ; soit vous vous relevez enfin et renouez avec la grandeur d’une Dihya en dénonçant ces traitres qui ont fait prisonnier un cousin en souffrance, cousin parce que le français descend du latin que parlait vos ancêtres, Augustin, Apulée, ils l’avaient même embelli alors que vous n’avez fait que l’appauvrir en adoptant la langue et la religion de l’ennemi qu’il a imposé par le cimeterre (l’animisme, le judaïsme et le christianisme n’ont été imposé par personne, Rome était païenne jusqu’au 4ème siècle).herve-gourdelSi vous choisissez la première solution, si vous choisissez de persister dans la honte et la perfidie, si vous choisissez de vous soumettre à nouveau cela prouvera bien que vous n’êtes rien d’autre que des paillassons, des m….s, du chiendent, incapables dans ce cas de comprendre que vous avez été trompés, que vous vous trompez, volontairement, ce qui est pis bien sûr, alors que l’islam n’a rien à voir avec Jésus comme ces chiens le prétendent, que leur croyance ce n’est rien d’autre qu’un paganisme odieux, vulgaire, haineux, malgré quelques odes (mais quel peuple n’en a pas ?) qui ose se réclamer outre Jésus de Moïse, Abraham alors qu’il n’en est que le parasite diabolique, malin, oui, évidemment, très politique, sûr, capable d’allier des matériaux opposés, de séduire, oui, comme l’était Belzébuth, ou alors Baal, qui a pu faire des choses, certes, mais vos ancêtres ont fait mille fois mieux, alors que l’islam n’est qu’une déviation du judaïsme et du christianisme, un leurre soumettant l’humain qui a été fait libre (Gen, II, 19). Cet islam est une herbe folle qu’il faut arracher jusqu’à la racine si l’on ne veut pas seulement en "couper le gazon". Puis il faut labourer, écraser, écrabouiller, talon à la tête et touiller, touiller pour supprimer les  scorpions qui restent.v
Où sont "les" Kabyles prétendus "Amazigh" ? Les RCD les FFS, où sont-ils ? Où sont tous ceux qui se sont couchés devant Ben Bella et Boumedienne en 1954 et en 1963 ?… Vous qui laissez les zombis venus du 7ème siècle envahir jusqu’à l’Université de Tizi Ouzou qui porte le nom de Mouloud Mammeri, ce qui est non seulement une honte mais une infamie, où êtes-vous ? Allez-vous bon sang ! prendre la route ouverte par les Kurdes, ou allez-vous continuer à baisser la tête, toute juste à être coupée lorsqu’elle ne servira à rien. Kabyles, vous êtes à vomir. Je me vomis donc moi-même puisque je le suis, une énième fois, la première fois quand Aït Hmed a rendu les armes (et j’aurais dû aller le lui dire un jour à St Denis lorsqu’il a osé faire lever la salle pour célébrer ce jour maudit de 1954 qui a été le début du "djihad" comme l’a bien montré le film de Jean-Pierre Lledo), une seconde fois quand ce fut des journalistes dits "algériens" qui furent à la base de la tuerie du commandant Massoud. Ce dernier crime, je crois a été le début du commencement d’un profond rejet de cette arabétisation qui vous éteint, vous êtes sortis de l’Histoire mais vous tentez de vous y maintenir en zombies, partez ! ou alors levez-vous et battez-vous repentez-vous tels ces bataillons perdus du Seigneur des Anneaux qui se rachetèrent et ainsi purent récupérer leurs âmes. Mais avez-vous encore une âme ?…
Par : Lucien SA Oulahbib

Exécution d'un Kabyle par les terroristes islamistes à Ain Zaouia‏ | Tamurt.info

Urgent :
TIZI OUZOU (Tamurt.info) - Un citoyen kabyle, Ahcène Mahmoudi, 36 ans, a été enlevé puis exécuté hier par un groupe islamiste armé près de Draa El Mizan (40 km Sud-ouest de Tizi-ouzou).
25/09/2014 - 16:26 mis a jour le 25/09/2014 - 16:26 parLa Rédaction
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Un citoyen kabyle, Ahcène Mahmoudi, 36 ans, a été enlevé puis exécuté hier par un groupe islamiste armé près de Draa El Mizan (40 km Sud-ouest de Tizi-ouzou).
La victime, originaire du village d’Ain Zaouia, se trouve à la morgue de Tizi-ouzou où les autorités refusent pour le moment à la famille d’identifier le corps.

At Vudrar : trois jeunes kabyles blessés par l'armée algérienne

At Vudrar : trois jeunes kabyles blessés par l'armée algérienne

25/09/2014 - 12:26


TIZI-OUZOU (SIWEL) — Trois jeunes kabyles ont été blessés, mercredi soir, par les militaires algériens près du village At Ɛellawa dans la commune des At Vudrar (Iboudraren), à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Tizi-Wezzu,


Village Ɛellawa, commune des At Vudrar, Kabylie (PH/DR)
Village Ɛellawa, commune des At Vudrar, Kabylie (PH/DR)
Cette énième bavure de l'armée algérienne serait commise aux environs de 22 heures, par des militaires en embuscade près du village At Ɛellawa, connu pour sa fête des cerises, perché aux pieds des majestueux monts du Djurdjura, près de là où avait été enlevé dimanche le ressortissant français Hervé Gourdel, puis exécuté mercredi. 

Les trois blessés, évacués vers l’hôpital de Ain L-Hemmam. qui étaient à bord d’une fourgonnette lorsqu'il ont été atteints, auraient été pris pour des terroristes par les 1 500 à 2 000 militaires algériens déployés dans l’ opération de recherche des ravisseurs. 

Leurs blessures étant légères, leurs jours ne sont pas en danger, d'après une source hospitalière. 

wbw 
SIWEL 251226 SEP 14

Al Qaeda en Kabylie, c'est le régime algérien ! | Tamurt.info

Contribution :
L’exécution d’Hérvé Gourdel, kidnappé dans le Djurdjura peut s’avérer être l’œuvre des services algériens. Quand on sait que 30% des forces armées algériennes sont stationnées sur le territoire kabyle on se demande comment un groupe terroriste a-t-il pu kidnapper, filmer et exécuter un otage français.
25/09/2014 - 15:17 mis a jour le 25/09/2014 - 15:17 parAfraniman Ifettiwjen
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L’exécution d’Hérvé Gourdel, kidnappé dans le Djurdjura peut s’avérer être l’œuvre des services algériens. Quand on sait que 30% des forces armées algériennes sont stationnées sur le territoire kabyle on se demande comment un groupe terroriste a-t-il pu kidnapper, filmer et exécuter un otage français.
Quand on voit le nombre de barrages militaires et le nombre de Kabyles kidnappés ces dernières années, une centaine, on se demande à quoi sert la surmilitarisation de la Kabylie et pourquoi elle favorise l’insécurité au lieu de la combattre ? Pourquoi cette occupation militaire de la Kabylie est-elle un sauf conduit des terroristes, leur protection ? Les services algériens ont-ils fait de la Kabylie un terrain pour leurs opérations clandestines ?
Si nous n’avons pas les moyens pour prouver l’implication des services algériens dans la planification et la gestion de l’insécurité, on peut au moins prouver par défaut que l’Etat algérien est dans l’incapacité de garantir la sécurité des citoyens sur le territoire kabyle.
L’importation et l’implantation du terrorisme sous la bannière du Khalifa islamique connu pour sa barbarie ouvrent-ils la voie à de futures atrocités en Kabylie ? Les services algériens seraient-ils sur le point de planifier des massacres en Kabylie sous couvert de l’Etat Islamique ?
Afraniman Ifettiwjen

Le conflit israélo-arabe, d’un point de vue kabyle | Europe Israel - analyses, informations sur Israel, l'Europe et le Moyen-Orient

Le conflit israélo-arabe, d’un point de vue kabyle


Le conflit israélo-arabe, d’un point de vue kabyle


Voilà une querelle qui ne me concerne pas directement mais qui cause des dommages collatéraux en Afrique du Nord et dans les pays d’immigration.
Israël et la Palestine, voilà un sujet qui fait couler beaucoup d’encre. A priori tout cela est bien lointain. Le Proche-Orient est à plusieurs heures d’avion de l’Afrique du Nord, je ne suis ni juive ni arabe et les conflits sont nombreux qui retiennent mon attention, à commencer par ceux qui frappent le continent africain.

On est indirectement concernés

Les Kabyles ne sont pas arabes, mais ils vivent dans une société régie par l’islam et autour de nous une majorité des Nord africains sont arabophones, ces derniers s’identifient donc systématiquement aux Arabes d’Orient. Même les Français issus de l’immigration marocaine, algérienne et tunisienne s’enflamment pour les intrigues palestiniennes et les bruits de bottes de l’armée israélienne. Il faut ajouter un autre lien, celui de l’arabisme, cette idéologie défendue par les Etats nord africains qui considèrent le « monde arabe » comme un groupe de pays « frères ». Ce modèle a du plomb dans l’aile parce qu’en réalité les pays dits « arabe » ont des intérêts qui dépassent l’idéologie, sauf que presqu’aucun d’eux ne reconnait l’existence de l’Etat d’Israël.

Ce qu’on oublie de dire

Maintenant qu’on a parlé du point de vue arabo-musulman, que dire des Kabyles ? Il existe deux manières très tranchées de voir les choses :
Nombreux sont les propalestiniens pour les mêmes raisons que les arabophones. A mon avis ils ont surtout peur de se démarquer de leur voisin « arabe ». C’est le choix du profil bas, du silence et de la docilité. On pense donc comme nos voisins, comme l’Etat algérien, sinon on va encore se faire taxer de séparatistes.
On trouve d’autres Kabyles assez nombreux qui adoptent le raisonnement inverse, qui rejettent le nationalisme arabe et l’islamisme. En partant du principe qu’un Etat arabo-musulman nous oppresse en nous imposant sa langue et une religion d’Etat toute puissante et une politique d’assassinats ciblés contre les KabylesL’Algérie défend le nationalisme arabe, elle ne reconnaît pas Israël, donc on peut se sentir proche de l’Etat hébreu et de ses habitants.
Voici maintenant mon propre point de vue, je m’arrêterai à quelques considérations :
1. Les Israéliens ont des liens très forts avec nous. Il ne faut pas oublier que 150 000 juifs ont été contraints de quitter l’Algérie vers la France en 1962. Ces gens étaient nos voisins, ils vivaient sous le même climat que nous et on les a chassés, on peut appeler cela de la purification ethnique. Certaines de ces familles sont parties s’installer en Israël. Cela veut dire que dans ce pays il existe des gens qui partagent des liens historiques avec nous.
2. J’ai une admiration pour ce peuple qui s’est retroussé les manches pour construire un Etat sur un petit territoire et qui a réussi là où nombre de ses voisins ont échoué. Israël peut être une chance pour le Proche-Orient, il faudrait juste que ses voisins arrêtent de lui taper dessus pour essayer de nouer des liens économiques avec lui.
3. Je ne nie pas la question palestinienne, il faut un Etat. Je pense même qu’Israël a du souci à se faire. La population palestinienne a une démographie galopante et risque tout simplement d’absorber le peuple hébreu.
4. Je suis frappée par la violence des deux côtés et j’ai une profonde antipathie pour les combattants des deux camps. Israël utilise une force disproportionnée à cause de son angoisse d’être dépassée par une population nombreuse et fanatisée par les islamistes. Les Palestiniens sont pris en étau entre des frontières fermées et des mouvements nationalistes peu recommandables qui font régner la corruption et la terreur. Je ne crois pas à une solution armée, ou alors tout cela finira mal pour tout le monde.
5. L’Etat algérien est mal placé pour soutenir les Palestiniens, lui qui a fait tirer sur des manifestants en Kabylie à plusieurs reprises, notamment en 2001 où la gendarmerie a tué 126 personnes. Plus récemment à Ghardaia, des arabophones se sont mis à agresser et à tuer des berbérophones sous l’œil complaisant de la police. La télévision algérienne ne parle pas de cette violence mais ne manque jamais une occasion de donner des leçons à l’extérieur.
Finalement le conflit israélo-palestinien alimente le nationalisme arabe et l’islamisme. c’est un boulet qui empêche une partie importante des Nord Africains de se pencher sur leurs propres problèmes.
Nadia Mechiche