Selon des sources dignes de foi Kamel Chetti a été victime d’un complot ourdi dans les milieux policiers hostiles au MAK .ces derniers auraient prétexté un mobile fallacieux « délit de fuite » ce, pour justifier publiquement son interpellation dans un Chick-post de la Police à Tizi Ouzou, sous motif qu’il aurait télescopé un véhicule en amont de son voyage. A-t-il été filé et suivi par des barbouzes du régime ?
Des questionnements sont posés par bon nombre d’observateurs de la scène politique en Kabylie sur cette interpellation pour « conduite en état d’ivresse » au départ et transformée illico presto une fois au Commissariat de Police de Tizi Ouzou en autre « délit » à savoir « la non-obtempération à la police » pour la prise de sang afin de déterminer le taux d’alcoolémie dans le sang de Kamel Chetti. Pis encore, ce dernier aurait déclaré qu’il n’avait pas confiance en les hôpitaux algériens, fait-on croire du coté de la police, alors que le président de la république Algérienne et ses ministres l'on prouvé en se soignant à l'étranger.
La succession des chefs d’inculpation sans fondements juridiques relève beaucoup plus du domaine politique puisque toutes les versions présentées par la Police ne sont pas prouvées d’autant plus que la Police pouvait bel et bien contraindre K.Chetti à une prise de sang et apporter la preuve de la partie plaignante qui aurait déposée la plainte contre lui hors aucune partie plaignante n’a actionné ou déposé auprès de la police une plainte contre Kamel Chetti et aucune analyse du sang n’a été annexée au dossier de K.Chetti devant la Justice.
Un autre délit a été évoqué par la Police et la Justice pour son inculpation lors de sa comparution devant le Tribunal de Tizi Ouzou, cette fois-ci c’est carrément le « délit de fuite » auquel les services de la Police ont voulu faire recours mais en vain du fait que K Chetti s'est arrêté devant un barrage où il avait été embarqué ;d’autant plus que l’Avocat de Chetti n’a omis de montrer et démontrer arguments.et preuves à l’appui que le mensonge n’est pas valeur de vérité.
Ce dépit de toutes les subtilités du Droit pour lequel le Juge du tribunal de Tizi Ouzou l’a condamné contre tout bon sens à six mois de prison ferme au mépris de toutes les règles d’impartialité d’une Justice qui, plus est, obéie qu’aux ordres des ses maitres.
Cela démontre, si besoin, que les ordres de monter tout le dossier fallacieux contre Chetti auraient été donnés pour des considérations de son appartenance au MAK nous confie une source proche du Parquet qui a requit l’anonymat.
Le Pouvoir a-t-il décidé de passer à une autre forme de répression contre les militants du MAK pour leur appartenance et ce, après la démonstration populaire réussie du 20 avril dernier ? Le MAK reste un Mouvement pacifique, de valeurs démocratiques et laïques alors pourquoi le Pouvoir laisse faire les hors-la-loi de tous bords et emprisonne les militants de conviction démocratique et de conscience laïque ?
L’instrumentalisation de la justice et l'implication infondée des militants dans des affaires de droit commun pour justifier la répression ne nous décourageront pas dans notre combat pour décider de nous mêmes. Bien au contraire, cet acharnement et cet aveuglement nous confortent dans la justesse de notre lutte.
Selon des sources dignes de foi Kamel Chetti a été victime d’un complot ourdi dans les milieux policiers hostiles au MAK .ces derniers auraient prétexté un mobile fallacieux « délit de fuite » ce, pour justifier publiquement son interpellation dans un Chick-post de la Police à Tizi Ouzou, sous motif qu’il aurait télescopé un véhicule en amont de son voyage. A-t-il été filé et suivi par des barbouzes du régime ?
Des questionnements sont posés par bon nombre d’observateurs de la scène politique en Kabylie sur cette interpellation pour « conduite en état d’ivresse » au départ et transformée illico presto une fois au Commissariat de Police de Tizi Ouzou en autre « délit » à savoir « la non-obtempération à la police » pour la prise de sang afin de déterminer le taux d’alcoolémie dans le sang de Kamel Chetti. Pis encore, ce dernier aurait déclaré qu’il n’avait pas confiance en les hôpitaux algériens, fait-on croire du coté de la police, alors que le président de la république Algérienne et ses ministres l'on prouvé en se soignant à l'étranger.
La succession des chefs d’inculpation sans fondements juridiques relève beaucoup plus du domaine politique puisque toutes les versions présentées par la Police ne sont pas prouvées d’autant plus que la Police pouvait bel et bien contraindre K.Chetti à une prise de sang et apporter la preuve de la partie plaignante qui aurait déposée la plainte contre lui hors aucune partie plaignante n’a actionné ou déposé auprès de la police une plainte contre Kamel Chetti et aucune analyse du sang n’a été annexée au dossier de K.Chetti devant la Justice.
Un autre délit a été évoqué par la Police et la Justice pour son inculpation lors de sa comparution devant le Tribunal de Tizi Ouzou, cette fois-ci c’est carrément le « délit de fuite » auquel les services de la Police ont voulu faire recours mais en vain du fait que K Chetti s'est arrêté devant un barrage où il avait été embarqué ;d’autant plus que l’Avocat de Chetti n’a omis de montrer et démontrer arguments.et preuves à l’appui que le mensonge n’est pas valeur de vérité.
Ce dépit de toutes les subtilités du Droit pour lequel le Juge du tribunal de Tizi Ouzou l’a condamné contre tout bon sens à six mois de prison ferme au mépris de toutes les règles d’impartialité d’une Justice qui, plus est, obéie qu’aux ordres des ses maitres.
Cela démontre, si besoin, que les ordres de monter tout le dossier fallacieux contre Chetti auraient été donnés pour des considérations de son appartenance au MAK nous confie une source proche du Parquet qui a requit l’anonymat.
Le Pouvoir a-t-il décidé de passer à une autre forme de répression contre les militants du MAK pour leur appartenance et ce, après la démonstration populaire réussie du 20 avril dernier ? Le MAK reste un Mouvement pacifique, de valeurs démocratiques et laïques alors pourquoi le Pouvoir laisse faire les hors-la-loi de tous bords et emprisonne les militants de conviction démocratique et de conscience laïque ?
L’instrumentalisation de la justice et l'implication infondée des militants dans des affaires de droit commun pour justifier la répression ne nous décourageront pas dans notre combat pour décider de nous mêmes. Bien au contraire, cet acharnement et cet aveuglement nous confortent dans la justesse de notre lutte.
Des questionnements sont posés par bon nombre d’observateurs de la scène politique en Kabylie sur cette interpellation pour « conduite en état d’ivresse » au départ et transformée illico presto une fois au Commissariat de Police de Tizi Ouzou en autre « délit » à savoir « la non-obtempération à la police » pour la prise de sang afin de déterminer le taux d’alcoolémie dans le sang de Kamel Chetti. Pis encore, ce dernier aurait déclaré qu’il n’avait pas confiance en les hôpitaux algériens, fait-on croire du coté de la police, alors que le président de la république Algérienne et ses ministres l'on prouvé en se soignant à l'étranger.
La succession des chefs d’inculpation sans fondements juridiques relève beaucoup plus du domaine politique puisque toutes les versions présentées par la Police ne sont pas prouvées d’autant plus que la Police pouvait bel et bien contraindre K.Chetti à une prise de sang et apporter la preuve de la partie plaignante qui aurait déposée la plainte contre lui hors aucune partie plaignante n’a actionné ou déposé auprès de la police une plainte contre Kamel Chetti et aucune analyse du sang n’a été annexée au dossier de K.Chetti devant la Justice.
Un autre délit a été évoqué par la Police et la Justice pour son inculpation lors de sa comparution devant le Tribunal de Tizi Ouzou, cette fois-ci c’est carrément le « délit de fuite » auquel les services de la Police ont voulu faire recours mais en vain du fait que K Chetti s'est arrêté devant un barrage où il avait été embarqué ;d’autant plus que l’Avocat de Chetti n’a omis de montrer et démontrer arguments.et preuves à l’appui que le mensonge n’est pas valeur de vérité.
Ce dépit de toutes les subtilités du Droit pour lequel le Juge du tribunal de Tizi Ouzou l’a condamné contre tout bon sens à six mois de prison ferme au mépris de toutes les règles d’impartialité d’une Justice qui, plus est, obéie qu’aux ordres des ses maitres.
Cela démontre, si besoin, que les ordres de monter tout le dossier fallacieux contre Chetti auraient été donnés pour des considérations de son appartenance au MAK nous confie une source proche du Parquet qui a requit l’anonymat.
Le Pouvoir a-t-il décidé de passer à une autre forme de répression contre les militants du MAK pour leur appartenance et ce, après la démonstration populaire réussie du 20 avril dernier ? Le MAK reste un Mouvement pacifique, de valeurs démocratiques et laïques alors pourquoi le Pouvoir laisse faire les hors-la-loi de tous bords et emprisonne les militants de conviction démocratique et de conscience laïque ?
L’instrumentalisation de la justice et l'implication infondée des militants dans des affaires de droit commun pour justifier la répression ne nous décourageront pas dans notre combat pour décider de nous mêmes. Bien au contraire, cet acharnement et cet aveuglement nous confortent dans la justesse de notre lutte.
Selon des sources dignes de foi Kamel Chetti a été victime d’un complot ourdi dans les milieux policiers hostiles au MAK .ces derniers auraient prétexté un mobile fallacieux « délit de fuite » ce, pour justifier publiquement son interpellation dans un Chick-post de la Police à Tizi Ouzou, sous motif qu’il aurait télescopé un véhicule en amont de son voyage. A-t-il été filé et suivi par des barbouzes du régime ?
Des questionnements sont posés par bon nombre d’observateurs de la scène politique en Kabylie sur cette interpellation pour « conduite en état d’ivresse » au départ et transformée illico presto une fois au Commissariat de Police de Tizi Ouzou en autre « délit » à savoir « la non-obtempération à la police » pour la prise de sang afin de déterminer le taux d’alcoolémie dans le sang de Kamel Chetti. Pis encore, ce dernier aurait déclaré qu’il n’avait pas confiance en les hôpitaux algériens, fait-on croire du coté de la police, alors que le président de la république Algérienne et ses ministres l'on prouvé en se soignant à l'étranger.
La succession des chefs d’inculpation sans fondements juridiques relève beaucoup plus du domaine politique puisque toutes les versions présentées par la Police ne sont pas prouvées d’autant plus que la Police pouvait bel et bien contraindre K.Chetti à une prise de sang et apporter la preuve de la partie plaignante qui aurait déposée la plainte contre lui hors aucune partie plaignante n’a actionné ou déposé auprès de la police une plainte contre Kamel Chetti et aucune analyse du sang n’a été annexée au dossier de K.Chetti devant la Justice.
Un autre délit a été évoqué par la Police et la Justice pour son inculpation lors de sa comparution devant le Tribunal de Tizi Ouzou, cette fois-ci c’est carrément le « délit de fuite » auquel les services de la Police ont voulu faire recours mais en vain du fait que K Chetti s'est arrêté devant un barrage où il avait été embarqué ;d’autant plus que l’Avocat de Chetti n’a omis de montrer et démontrer arguments.et preuves à l’appui que le mensonge n’est pas valeur de vérité.
Ce dépit de toutes les subtilités du Droit pour lequel le Juge du tribunal de Tizi Ouzou l’a condamné contre tout bon sens à six mois de prison ferme au mépris de toutes les règles d’impartialité d’une Justice qui, plus est, obéie qu’aux ordres des ses maitres.
Cela démontre, si besoin, que les ordres de monter tout le dossier fallacieux contre Chetti auraient été donnés pour des considérations de son appartenance au MAK nous confie une source proche du Parquet qui a requit l’anonymat.
Le Pouvoir a-t-il décidé de passer à une autre forme de répression contre les militants du MAK pour leur appartenance et ce, après la démonstration populaire réussie du 20 avril dernier ? Le MAK reste un Mouvement pacifique, de valeurs démocratiques et laïques alors pourquoi le Pouvoir laisse faire les hors-la-loi de tous bords et emprisonne les militants de conviction démocratique et de conscience laïque ?
L’instrumentalisation de la justice et l'implication infondée des militants dans des affaires de droit commun pour justifier la répression ne nous décourageront pas dans notre combat pour décider de nous mêmes. Bien au contraire, cet acharnement et cet aveuglement nous confortent dans la justesse de notre lutte.