Vannes : aucun des 50 agresseurs islamistes n’aura de comptes à rendre à l’Etat français !
Les violations de la législation française, de la part des musulmans, sur notre sol, sont devenus tellement nombreuses et quotidiennes qu’il apparaît presque normal que la majorité d’entre elles ne soient pas réprimées. Dans quel autre pays accepterait-on que des croyants, souvent de nationalité étrangère, parfois française, cherchent à importer une religion venue d’ailleurs en imposant des prières publiques, de manière illégale, dans de nombreuses villes de France ? Qui d’autre se permettrait, dans les hôpitaux, de cogner des médecins qui ont le malheur de faire leur travail, en voulant accoucher une patiente ? Quel autre croyant se permettrait, comme en Italie, en situation illégale, de déclencher une émeute parce qu’une bénévole lui a proposé une assiette de sauce bolognaise ?
Les musulmans les plus déterminés à imposer leur modèle ont compris la méthode à utiliser : le harcèlement quotidien, l’intimidation, et la violence. Ils savent qu’ils bénéficient de la protection de la majorité des leaders politiques, de l’ensemble de la gauche, des associations dites anti-racistes, et des journalistes. Ainsi, il apparaît presque incongru de s’indigner de ce qu’aucun des cinquante membres du commando de Vannes, dont certains sont pourtant parfaitement identifiables, n’aura de comptes à rendre à la justice.
Imaginons qu’en France, des intégristes catholiques, soutenus par des skins, attaquent à coups de pierres un rassemblement parlant du droit à l’avortement, en expliquant qu’ils considéraient que c’était une insulte pour leur religion. Naturellement, immédiatement, toute la presse, toute la gauche, une bonne partie de la droite et les médias se seraient emparés de l’affaire, parlant des heures les plus sombres de notre Histoire. Sopo aurait sans doute demandé la dissolution des associations catholiques extrémistes, voire celle du Front national, forcément complice de l’agression !
Là, un colloque qui ne parle que d’immigration se voit agressé par de véritables fascistes religieux et des racailles prêtes à toutes les violences, pour interrompre des assises dont le contenu ne leur plaisait pas. Se croiraient-ils déjà en Tunisie, où leurs semblables font de plus en plus la loi en agressant féministes, laïques et démocrates ? Rêvent-ils de faire subir à tous ceux qui ont l’audace de ne pas être musulmans le sort d’un malheureux converti au catholicisme, qu’une vidéo insoutenable montre se faire égorger, puis décapiter, dans un rituel insoutenable ?
Toujours est-il que dans la France de 2012, ces fascistes se sentent le droit d’attaquer une réunion démocratique à coups de pierres et de bombes lacrymogènes. Fort heureusement, exceptionnellement, ils ont été repoussés, parce que les organisateurs ont une tradition de service d’ordre efficace, et n’ont pas l’habitude de subir sans riposter.
Nous avons pu constater, ce samedi soir, à Vannes, que malgré toute sa bonne volonté, la police nationale n’a plus les effectifs permettant de faire face efficacement à ce genre d’agressions, qui ne pourront que se multiplier. Et comme il semble qu’aucun des cinquante agresseurs ne risquera quoi que ce soit, au niveau juridique, comment ne comprendraient-ils pas le message que les autorités leur envoient : tapez sur les Français qui refusent l’islamisation de leur pays, vous ne risquez rien !
Comme toujours, nos amis journalistes se sont surpassés dans la bassesse et la fausse-information, que Goebbels appelait propagande. Le Télégramme et Ouest-France ont osé présenter les agressés comme les vrais responsables de l’arrivée musclée des musulmans, ne citant jamais le nom de la religion dont se réclamaient les agresseurs ! Une presse digne de ce nom aurait également été intéressée par l’incroyable courage physique d’un membre de Résistance républicaine, par ailleurs bouddhiste, qui, seul, a avancé vers les agresseurs, leur parlant en arabe, et a réussi à calmer les plus excités d’entre eux…
Mais le sommet de l’ignominie est atteint par un journal en ligne appelé « Le Mensuel de Rennes », qui réussit à voir dans ces événements des saluts nazis, montages grossiers à l’appui, de l’extrême droite régionaliste !
En attaquant cette réunion démocratique, les cinquante islamo-racailles de Vannes ont envoyé un message à la France : nous n’acceptons plus votre démocratie et votre laïcité, et nous utiliserons toutes les méthodes pour vous faire taire. En les chargeant, nationalistes, identitaires et républicains leur ont répondu : nous sommes prêts à nous battre pour défendre nos libertés. En se taisant, les autorités ont choisi de regarder ailleurs. En couvrant les agresseurs, et en attaquant les agressés, la presse locale a choisi son camp, et montré sa dhimmitude. Finalement, à quand l’inculpation des organisateurs des Assises bretonnes sur l’immigration, qui ont osé empêcher les sympathiques islamistes de Vannes venir dialoguer pacifiquement avec les intervenants, les poches pleines de bombes lacrymos, matraques et pierres ?
Paul Le Poulpe