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lundi 19 novembre 2012

Algérie : le chef terroriste Cheikh Abdelnacer tué en Kabylie


Algérie : le chef terroriste Cheikh Abdelnacer tué en Kabylie

18/11/2012 - 14:20

VGAYET (SIWEL) — Un des trois terroristes tués récemment par l’Armée algérienne à Vgayet serait le responsable d’Aqmi en Kabylie.


L'AQMI bénéficie, malgré tout, de la timide réaction des services de sécutité en Kabylie. PH/DR
L'AQMI bénéficie, malgré tout, de la timide réaction des services de sécutité en Kabylie. PH/DR
L’information vient d’être confirmée pour Siwel par une source hospitalière à l’hôpital Khelil Amrane de la ville des Hammadites. Selon cette source, l’un des trois terroristes tués par l’ANP serait Makhfi Rabah, alias Cheikh Abdelnacer. Ce tristement célèbre serait le chef d’Aqmi en Kabylie. Il a été tué avec deux autres de ses acolytes.

Selon la même source, ce terroriste d’Aqmi, originaire de Boumerdes, a fait ses premières preuves avec les groupes armés aux cotés de Abdelmalek Droukdel, l’émir national d’Aqmi, avant d’être désigné chef terroriste en Kabylie.


A signaler que l’opération menée par l’armée algérienne ne visait pas cet élément.


aai

SIWEL 181420 NOV 12

Algérie : la police enquête à Alger sur les activités des militants autonomistes kabyles

Algérie : la police enquête à Alger sur les activités des militants autonomistes kabyles

19/11/2012 - 12:29

ALGER (SIWEL) — Les tags réalisés par des militants autonomistes kabyles à Alger ont suscité de l’inquiétude chez les services de sécurité algériens, qui ont lancé, aussitôt l’information rendue publique, une enquête.


Grande panique chez les services de répression algériens. PH/DR
Grande panique chez les services de répression algériens. PH/DR
L’information concernant cette enquête des services de répression algériens a été rendue publique aussi bien par des citoyens de la cité « Puits des Zouaves » à Bouzarèah, que par des titres de presse algérien réputés proches des services de sécurité.

Ces sources précisent que depuis le début de la campagne électorale, plusieurs jeunes kabyles d’Alger font objet de surveillance de la part des policiers. « La police ne veut pas avoir affaire à des militants autonomistes en plein cœur d’Alger », souligne un des résidents de la cité.


Il a ajouté que « nous sommes déterminés à mener le combat de la Kabylie même ici à Alger pour dire que les Kabyles résidents en dehors de la Kabylie adhérent à l’idée d’un statut particulier pour la région ».


Concernant cette enquête des services de sécurité, ces militants estiment que « ça sera un cou)p d’épée dans l’eau », é »tant donné que « les vrais enjeux résident ailleurs « et que le pouvoir « ne pourra jamais faire taire un mouvement aussi fort que le MAK et le GPK ».


Ces militants ont tenu, en fin de discussion à rendre un vibrant hommage à M. Ferhat Mehenni, président du GPK.




Les tags réalisés par les militants autonomistes à Alger. PH/Siwel
Les tags réalisés par les militants autonomistes à Alger. PH/Siwel

Algérie: les gardes communaux reviennent à la charge

Algérie: les gardes communaux reviennent à la charge

19/11/2012 - 17:28

BOUIRA (SIWEL) — Les gardes communaux reviennent à la charge dans la lutte pour la reconnaissance de leurs droits et décident de saisir les instances internationales afin de poursuivre « les personnes et les instances en charge du dossier de la garde communale ». Contrairement aux terroristes « repentis», contre lesquels l'Etat avaient mobilisés les gardes communaux , ces derniers sont niés dans leurs sacrifices et leurs droits à l'indémnisation pour avoir assuré la sécurité des citoyens.


Algérie: les gardes communaux reviennent à la charge
Le mouvement des gardes communaux a décidé de porter plainte contre « les instances en charge du dossier de la garde communale ». L’annonce a été rendue publique dans les colonnes du quotidien algérien El Watan par le porte-parole de la coordination nationale des gardes communaux, M. Lahlou Aliouat.

Selon El watan, M. Lahlou Aliouat, qui s’est rendu au bureau régional de Bouira du quotidien algérien a déclaré que son mouvement était «…en contact très avancé avec des organisations humanitaires et des droits de l’homme internationales en vu de prendre en charge cette affaire. » et qu’ils avaient également « chargé un collectif d’avocats ». M Lahlou a indiqué à El Watan que la décision avait été prise le dimanche 18 novembre « en marge de la rencontre qui a regroupé les délégués venus des 36 wilayas du pays à Alger. ». Il a estimé, par ailleurs, que « Le dossier de la garde communale a été géré d’une façon anarchique » et qu’ils « exigeaient une pension dans le cadre des victimes de terrorisme ».


En effet, le pouvoir algérien a dissout le corps de sécurité des gardes communaux qui avaient affronté le terrorisme islamique de l’AIS, puis du GIA (devenu depuis, GSPC puis AQMI) durant la décennie noire ; c’est à dire au plus fort du terrorisme sanglant qu’ont fait subir les islamistes aux civiles algériens et qui s’est soldé par plus de 200 000 victimes.


Le Mouvement citoyens reproche au gouvernement algérien de ne pas avoir respecté ses engagements. El Watan rapporte que « des membres de la coordination nationale de la garde communale, reprochent aux pouvoirs publics de ne pas avoir « répondu favorablement à leurs points de revendications soulevées dans le passé concernant notamment la prise en charge sérieuse des familles des éléments victimes de terrorisme, le cas également des agents licenciés et plusieurs problèmes liés essentiellement au devenir des agents qui n’ont pas rejoints les entreprises publiques et le corps de l’armée nationale, comme il a été décidé par les pouvoirs publics à leur tête le ministère de l’intérieur ».


Toujours selon El Watan, « M Lahlou rapporte que des milliers d’agents, désarmés par les services de sécurités se retrouvent sans emploi, bien que l’Etat s’était engagé à leur procurer des postes de travail dans les entreprises publiques ».


Le pouvoir algérien, devenu gravement amnésique, ne semble pas se soucier des milliers de citoyens qui ont répondu à l’appel de la création de « groupes d’autodéfense » en1994 dans le but d’asssurer la sécurité des citoyens, sensé être du ressort exclusif des corps de sécurité algériens.


Ces groupes d’autodéfense avaient été tellement efficace qu’en 1996, le régime algérien les a officialisés par un décret portant création de la garde communale. Ces éléments de la garde communale seront systématiquement sollicités par les unités de la police, de la gendarmerie et de l’armée algérienne dans la lutte contre le terrorisme.


Ironie du sort, aujourd’hui ce sont les terroristes qui ont massacré les civils algériens durant plus de 10 ans qui sont indemnisés et protégés par les institutions de l’Etat à travers la loi scélérate de la « concorde civile ».


Ceux qui ont assuré la sécurité des citoyens, 10 années durant sont priés de rentrer bien sagement chez eux sans aucune prise en compte du sacrifice auquel ils ont consenti, tandis que les terroristes que l’on nomme « repentis » sont rentrés chez eux avec la garantie d’une indemnisation, un casier judicaire vierge et l’assurance de ne pas être importunés par les victimes du terrorisme.


zp,

SIWEL 191728 NOV 12

Un pédophile candidat aux élections locales à Tizi Ouzou | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie


Un pédophile candidat aux élections locales à Tizi Ouzou


On aura tout vu avec cette élection qui s’apprête à se tenir le 29 novembre prochain.
Des candidats analphabètes, aux petits maraudeurs qui visent les strapontins de misère, on découvre, le sang glacé dans les veines des profils qui méritent d’être ailleurs que sur une liste électorale, comme celui d’un pédophile.

19/11/2012 - 14:42 mis a jour le 19/11/2012 - 16:36 par La Rédaction

Le scandale est tel que c’est toute cette élection qui ne suscite aucun intérêt qui en prend un sacré coup.
En effet, un candidat sur une liste indépendante à Tizi Ouzou, répondant au nom de B. Ramdane, qui exerce comme fonctionnaire à l’APC de Tizi Ouzou, est nommément accusé par le Réseau Algérien pour la Défense des Droits de l’Enfant, Nada, d’être coupable d’actes de pédophilie commis sur deux enfants, répondants aux initiales Anis B. et Abacha B., issus de familles démunies, et que le monstre soudoyaient par des cadeaux et autres sommes d’argent.
Ces deux enfants sont issus du même village que le pédophile qui, toute honte bue, montre son portrait accroché partout.
Dans une correspondance adressée au ministre algérien de la justice, et dont nous détenons une copie, le réseau Nada qui a reçu les témoignages et les dépositions de nombreux villageois, affirme que l’accusé entrainait ses victimes dans les bois pour assouvir ses instincts sexuels.
Le réseau Nada qui a donc saisi le ministre de la justice et garde des sceaux demande à ce que des mesures soient prises contre cet individu. Cette histoire est d’une extrême gravité. Le profil de ce candidat aux élections locales renseigne sur la descente aux enfers de la chose politique.
Dans une commune du nord, un autre candidat sur une liste FLN a fait de la prison pour trafic de fausse monnaie. Il est en, en plus du fait, qu’il soit un analphabète, classé en pôle position sur cette même liste, au deuxième rang.
La Rédaction