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mercredi 6 février 2013

Répression du sit-in des travailleurs de l'Erenav : Le MAK condamne la violence policière

Répression du sit-in des travailleurs de l'Erenav : Le MAK condamne la violence policière

06/02/2013 - 17:10

VGAYET (SIWEL) — Dans un communiqué rendu public, le Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie, (MAK) condamne la répression des travailleurs de l'entreprise de réparation navale de Vgayet, par les forces de répression du régime algérien.


Les travailleurs ont été victimes d'une répression féroce. PH/DR
Les travailleurs ont été victimes d'une répression féroce. PH/DR
Le MAK, par la voie de son président M. Bouaziz Ait Chebib souligne que « le régime raciste d'Alger redouble de férocité face à la contestation sociale. Après l'interdiction des marches du MAK », il passe à « un autre pallier de la répression qui consiste à violer le droit de grève qui est pourtant garanti par la pseudo-constitution algérienne ».

« Face à des ouvriers, rappelle le MAK, de l’Entreprise de réparation navale de Vgayet, munis de leur détermination à faire valoir leurs droits bafoués par la direction de leur entreprise, les services de répression ont recouru à une répression sauvage pour museler toute action de protestation ».

« Ces ouvriers, en grève depuis 2 mois, ont été tabassés devant leur unité par les policiers afin de les empêcher d'observer un sit-in de protestation devant le siège de la wilaya », estime le MAK.

« Les libertés syndicales et le droit de grève sont bafoués au vu et au su de tout le monde par un régime totalitaire qui a érigé l'injustice, la corruption et la violence étatique comme mode de gestion depuis l'indépendance », constate, par ailleurs, le MAK, qui condamne cette « politique répressive et oppressive » et apporte son soutien aux travailleurs de l’entreprise de réparation navale ( Erenav) de Vgayet qui revendiquent la réintégration de leurs syndicalistes licenciés injustement par la direction pour avoir encadré une marche de protestation et la titularisation des travailleurs contractuels qui travaillent depuis plusieurs années au niveau de cette unité.

« Désormais, l'avènement d'un Etat Kabyle est plus qu'urgent pour prémunir la Kabylie et son peuple contre les exactions du régime », souligne encore le communiqué .

aai
06 1710 FEV 13

Citations diverses

Citations

Pour y voir plus clair sur les sentiers tortueux de notre libération.
 

Mohand Aarab Bessaoud
in Histoire de l'Académie berbère :
  • J'ai cherché des compagnons de lutte et je n'ai trouvé que des conseillers, très souvent mauvais, ou des chefs.
  • Le bureau (de l'Académie, ndlr) était donc au grand complet sans que mon travail en fût allégé pour autant. Car et vous l'avez sans doute deviné, cette demoiselle et ces messieurs étaient des prête-noms et non des militants. Ils venaient au local quand je les y invitais pour les tenir au courant du résultat de nos activités et enregistrer leurs avis ou leurs ordres. Car parfois ils m'ordonnaient de faire telle ou telle chose, ces braves gens.
  • Il ne voulait pas en effet se contenter d'une notoriété rampante, il désirait, sans quitter sa pharmacie, que le monde berbère vit en lui le sauveur suprême. Et à l'instar de Rahmani il revendiqua la création de notre association. Cela ne me dérangeait nullement, car je devinais que la route serait longue, et que l'important pour nous était de réussir.
  • Je croyais l'avoir convaincu, mais je dus vite déchanter car il est de ces hommes qui monnayeraient volontiers le destin de leur peuple contre la parution de leur photo dans un journal.
  • Il (Hocine Ait-Ahmed, ndlr) m'a toujours fait penser à ces républicains espagnols qui ont eu la patience d'écrire pendant 40 ans sur les murs des capitales européennes "A bas Franco" pendant que le caudillo coulait des jours heureux.
  • Car j'étais outré de voir que même à Paris notre langue était traquée d'autant qu'elle l'était lors des réunions de l'Amicale, les cadres et les militants de celle-ci -presque tous des Kabyles- ne devant s'exprimer au cours de leurs réunions qu'en arabe "notre langue nationale". Même au consulat l'arabe était exigé, ce qui amenait ceux des nôtres qui ne pratiquaient pas cet idiome à se faire traiter d'"anglais" comme si être anglais pour ces charabiens signifiait la déchéance. Terrible, isn'it ?
  • "Mohand Aarav, me dit-il (Nacef Mohamed, ndlr), quel malheur pour toi de ne pas être juif, car si tu étais mobilisé pour Israël comme tu l'es pour nous, nul doute que tu roulerais sur l'or. Je suis fermement convaincu pour ma part qu'aucun Berbère, surtout parmi les vivants, ne pourra faire ce que tu accomplis pour nous".
  • Ce fut d'ailleurs à mon ami Khelil Saïd, qui m'exprimait un jour son admiration pour l'action que je menais, que je fis quelques temps auparavant cette prédiction : "Je suis sûr Saïd que viendra le jour où d'aucuns affirmeront sans scrupule que je n'ai rien fait ou presque tandis que d'autres diront que me suis enrichi au détriment de la cause berbère". Et voilà que la chose arrivait bien plus tôt que je l'avais prévu..." Les hommes nobles ne cherchent jamais à déprécier un autre homme noble. Au contraire ils lui rendent l'hommage qui lui est dû, même s'il n'est pas de leur bord.
  • Car la France est de tous les pays du monde celui qui nous est le plus hostile. Avec elle en effet nos isafen sont devenus des oueds, nos idurar des djebel, nos At et nos U des ben ou beni. Comme le dit si bien le grand Ould Slimane Salem "la France nous a béni".
  • Oui, n'oublions pas que faute de nous asservir pour toujours, la France a manoeuvré pour nous priver d'une totale liberté. Vous ne voulez pas être français ? Eh bien ! vous serez des arabes. Charybde ou Scylla, la peste ou le choléra. Aux Berbères de leur démontrer qu'ils veulent et peuvent échapper à l'une et l'autre de ces malédictions.
  • Il (Salem Ould Slimane, ndlr) s'attardait rarement avec nous, n'aimant pas discuter des choses qui "doivent se comprendre d'instinct". A un Kabyle qui lui demanda un jour de lui expliquer les objectifs d'Agraw Imazighen, il répondit : "Ce n'est pas à moi de te faire connaître ta mère".
  • Quand les autorités françaises ordonnèrent mon arrestation, Ould Slimane m'écrivit sur une moitié de feuille de papier : "Ne regrette rien, tu as réussi à réveiller les Berbères". Je te salue, Salem at Slimane, noble fils de la Berbérie, et je salue à travers toi tous les jeunes garçons et filles qui ont rendu possibles les événements de juin 77 et d'avril 80, sans compter ceux qui surviendront encore.
  • Malade, sans le sou, soumis aux attaques de mes ennemis et de ceux qui devaient être mes alliés, je devins irritable, coléreux même. Mais cela me rendit plus fort, plus déterminé, convaincu que si j'abandonnais c'en serait fini à jamais du problème berbère.  Car je ne vis personne capable, ni par son expérience ni par ses convictions de prendre ma place. J'étais condamné à devenir plus patient, plus résilient ; en un mot plus fort.

in FFS, Espoir et trahison
  • Jamais un arabe n'a cédé le pouvoir autrement que par la force (Ibn Khaldoun cité par M.A. Bessaoud)
  • Artisans incontestables de l'unité et de l'indépendance de l'Algérie, les vrais Berbères se refusent à la renonciation de leur passé et de leur avenir. Qu'auraient-ils d'ailleurs à gagner en se faisant naturaliser arabes ? Rien d'autre que la fourberie, le mensonge, l'effronterie… Merci ! Même nos mendiants ne se  ressemblent pas. Un mendiant kabyle demande l'aumône les yeux baissés. Allah inoub et il s'en va. Tandis que le mendiant arabe, morbleu ! Il est si collant, si insistant qu'il ne manque jamais de se faire rabrouer par ceux qu'il sollicite.
  • Au temps  où nous étions dans les maquis, "réalités têtues" signifiait que le berbère n'est pas une langue et que se dire kabyle c'était faire du régionalisme, donc oeuvrer contre l'unité nationale. Puisque cet homme (Aït Ahmed, ndlr) n'était pas kabyle - encore moins berbère- qu'était-il donc ? La réponse c'est Mahjoubi Aherdane, le Berbère et berbériste marocain bien connu, qui nous la donne : "En 1962, m'a-t-il dit, j'ai exhorté Aït Ahmed à lutter avec moi pour sauver notre identité. Sa réponse me claqua au visage comme un fouet ("Ne revenez plus me voir, moi je suis arabe")"
  • Mais nous nous sommes refusés à entrer dans la famille française qui nous offrait d'indéniables avantages matériels. Devrions-nous donc accepter que notre pays soit arabe avec tous les inconvénients et toutes les tares que cela entraîne ?
  • La différence entre l’arabe et le Kabyle est si patente en toutes choses qu’elle ne peut échapper à aucun de nos visiteurs. Elle est aussi apparente aux Egyptiens qu’aux Russes ou aux Yougoslaves tout comme elle n’a pas échappé aux Français qui nous connaissent bien. Un juge de paix français alla, sur recommandation de Maître Hachemi Cherif, rendre visite à Boumediene et ses adjoints dont le PC se trouvait alors à Oujda.
    - Messieurs, y a-t-il parmi vous un Kabyle ? demanda le juge.
    - Non, pourquoi ?
    - C’est une question de confiance. Au revoir messieurs.
    Comme l’on voudrait connaître les raisons qui poussent Mohammedi Saïd à vouloir nous arabiser. Je désirerais, dans ce but, poser cette question  à ce Saint Augustin de l’islam : «Puisque de l’avis unanime, y compris le vôtre, le Kabyle a plus de personnalité que l’arabe, pourquoi vous obstinez-vous à vouloir arabiser les Kabyles et non à kabyliser les arabes ?»
    Viendrait-il à l’idée d'un homme sain d’esprit de vouloir transformer un rosier en ronce ? Indubitablement l’Algérie tire un immense avantage de la présence des Kabyles. Il eût même fallu les inventer s’ils n’existaient pas.
     

Faites-nous parvenir les citations que vous jugerez instructives ! email : kabylien000@gmail.com

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Kalila oua Dimna traduite en Tamazight - La Dépêche de Kabylie

Par L.Beddar | Il ya 20 minutes | 1 lecture(s)

Littérature L’ouvrage de Boualem Senouci est sur le marché

Kalila oua Dimna traduite en Tamazight

La palette de la littérature Kabyle s’est enrichie d’un nouvel ouvrage.
L’écrivain Kabyle Boualem Senouci  vient de publier « Kalila d Dimna » aux éditons Thira. Un livre de contes indous qu’il a traduit  en kabyle. Il expliquera sa démarche en disant : « C’est en lisant et relisant plusieurs fois le livre original « Kalila oua Dimna » et les fables de Jean de La Fontaine que j’ai constaté une certaine ressemblance. J’ai découvert qu’environ 14 fables ont été reproduites par de La Fontaine dans ses différents ouvrages, comme ‘’La laitière et le pot de lait’’ ». Boualem Senouci est né le 24 septembre 1951. Il a vécu à Takrietz, une commune de la wilaya de Béjaïa, a fait ses premiers pas dans la poésie au début des années 1970 en lisant tout ce qui est contes et poèmes. Il s’implique dans toutes les luttes pour la reconnaissance de la langue et culture Amazighes en activant dans un mouvement culturel, un combat qui ne s’arrêtera jamais pour lui puisqu’il le continue par la plume. Il passe à l’écriture en 2003 en faisant publier une vingtaine de fables de de La Fontaine qu’il a traduites du français vers la langue Tamazight avec le concours du haut commissariat à l’Amazighité. Commença alors pour lui une brillante carrière d’écrivain traducteur en Tamazight. Dans sa lancée, en 2009, le poète Boualem Senouci éditera en France chez les éditions SEFRABER un livre de poésie bilingue (Français et Kabyle) intitulé TINQQISIN dont les fables sont tirées des œuvres de de la fontaine dont il est un grand admirateur. Un livre qui a eu beaucoup de succès en outre mer et qui sera réédité cette année,  information donnée par l’auteur. Boualem Sénouci a aussi une autre vocation, celle de compositeur de chansons.  Il a composé la quasi-totalité des chansons de feu Cheikh El-Mehdi, un enfant de son patelin.  Comme grand rendez-vous culturel, le poète Boualem Senouci présentera son dernier livre en se produisant au théâtre régional de Béjaïa le 16 février courant dans le cadre du café littéraire. Pour la promotion de son dernier OPUS il compte organiser une vente dédicace le même jour.
L.Beddar

Mali : l’express de Bamako publie la liste des membres du MNLA " à abattre "

Mali : l’express de Bamako publie la liste des membres du MNLA " à abattre "

05/02/2013 - 15:21

BAMAKO (SIWEL) — L’express de Bamako, un journal malien, a publié la liste des membres du MNLA à abattre. L’article appelant au meurtre des membres du MNLA a été repris par un autre journal malien en ligne (maliweb.net) où il est clairement mentionné que « Mort ou vif, chaque membre de cette organisation machiavélique tué ou arrêté est une bénédiction pour la Nation », et l'on s'étonne que le MNLA "s'entête" à vouloir sortir la tête de l'eau et à préserver autant qu’il le peut la vie de tout un peuple, quand bien même il aurait la planète entière contre lui.


Les membres du Conseil transitoire de l'Etat de l'Azawad (CTEA) à Gao le 07 juin 2012 (PH/DR)
Les membres du Conseil transitoire de l'Etat de l'Azawad (CTEA) à Gao le 07 juin 2012 (PH/DR)
Cet article illustre parfaitement le vrai visage de la « cohabitation malienne ». C'est ce visage que le Mali officiel oppose, depuis 1960à ce jour au « Nord », c'est-à-dire l’Azawad. Et l'on ose nous dire que la "sécurité des civils" relève d'abord des "autorités maliennes", autant dire que c'est de nouveau la porte ouverte au renouvellement des tragédies. Combien de massacres, d’accords, de combines, de trahisons, de spoliation et d’exil depuis 1960, de « rébellion » en « rébellion », et l'on s'étonne que le MNLA "s'entête" à vouloir sortir la tête de l'eau, à ne plus croire aux beaux discours et à privilégier la preuve par les actes et non par le discours.
Pour ce qui est du MNLA, et plus largement de toutes les "rébellions" touarègues, on ne peut décemment les accuser de massacre ethnique et personne ne les a jamais entendus faire d’appels au meurtre contre une communauté, comme cela se fait régulièrement et ouvertement dans la presse malienne. Les organisations des droits de l'homme et le doit international ont eu des comptes à demander à toutes les parties engagés dans ce conflit à l'exception du MNLA qui n'a commis aucun acte racial ou de vengeance et qui n'a violé aucune loi puisque le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes est "théoriquement" reconnu et protégé par les institutions internationales. Plus personne n'est suffisamment naïf au point de croire que les lois sont établies pour être respectées mais il n’st pas besoin non plus de beaucoup réfléchir pour comprendre le combat d’un peuple qui refuse de se se laisser livrer à son bourreau.

Pour montrer à la face du monde la « réalité malienne » et garder trace du vrai visage de la fraternité malienne depuis 1960, l’intégralité de l'article a été copiée dans le cas où il y aurait quelques « tardives censures » à cet édifiant article déjà visité par 4673 lecteurs assidus.

4673 personnes ont été appelées, en toute transparence, à venger « la mémoire des militaires égorgés, la grandeur de la République et la dignité et l’honneur du peuple Malien » avec comme devise : « Mort ou vif, chaque membre de cette organisation machiavélique tué ou arrêté est une bénédiction pour la Nation ». Qui dit mieux ? les commentaires de certains lecteurs sont à la hauteur et parfois surpassent même l’article.

nbb,
SIWEL 051521 FEV 13

Article publié dans "L’express de Bamako" et repris par "maliweb.net " dont voici le lien :

Ci-dessous l’article :
La liste des membres du MNLA : Des traitres à abattre pour la République
4 fév 2013 Rubrique: Nation, Nord-Mali
Mise à jour: 13:27 GMT, Bamako, 55 réactions

C’est dans un communiqué comique que les traitres de la République ont procédé à la nomination des membres officiels du Mouvement National pour la Libération de l’Azawad (MNLA). Ces hommes et ces femmes constituent les véritables criminels qui ont lancé les toutes premières attaques contre l’Etat Malien en exécutant des militaires maliens a Aguelhok, Tessalit et les autres localités du Mali occupées par leurs soins.

Pour la mémoire des militaires égorgés, la grandeur de la République et la dignité et l’honneur du peuple Malien, continuons de traquer ces traitres jusqu’au dernier. C’est la seule manière de débarrasser notre pays pour de bon des vermines de leur espèce pour une bonne collaboration avec nos frères et sœurs Touaregs et Arabes de bonne souche.
Mort ou vif, chaque membre de cette organisation machiavélique tué ou arrêté est une bénédiction pour la Nation.

Moussa KONDO


1. Chargé de la Défense et des Relations Militaires : Colonel Mohamed Ag Najim
2. Chargé de la Sécurité Intérieure : Monsieur Sidi Mohamed Ag Saghid
3. Chargé de la Justice : Monsieur Assayid Ben Bella
4. Chargé des Affaires Etrangères : Monsieur Ibrahim Ag Mohamed Assaleh
5. Chargé de l’Administration du Territoire : Monsieur Alla Ag Elmehdi
6. Chargé de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme : Monsieur Mahmoud Ag Aghaly
7. Chargé de l’information et de la Communication : Monsieur Mossa Ag Attaher
8. Chargé de la Santé : Monsieur Abdoul karim Ag Matafa
9. Chargé des Droits de l’Homme : Monsieur Moussa Ag Acharatoumane
10. Chargé de la Prédication et de l’Orientation Islamique: Monsieur Mossa Ag Mohamed
11. Chargé des Anciens Combattants et des Familles des Martyrs : Monsieur Youssouf Ag Acheickh
12. Chargé de l’Energie et des Mines : Monsieur Ahmed Mohamed Ag Aguidy
13. Chargé des Affaires Juridiques : Monsieur Habaye Ag Mohamed
14. Chargé des Finances : Monsieur Altanata Ag Ebalagh
15. Chargée de la Femme, de l’Enfant et de la Famille : Madame Lalla wallet Mohamed
16. Chargé des Transports et des Routes: Monsieur Sidaghmar Ould Ahwaïssine
17. Chargé de l’Elevage et des Ressources Animales : Monsieur Ghabdy Ag Mohamed Ibrahim
18. Chargé de l’Environnement et de la Protection de la Nature : Monsieur Baye Ag Diknane
19. Chargé de la Jeunesse et des Sports: Monsieur Salah Mohamed Ahmed Abba
20. Chargé des télécommunications : Colonel Assalat Ag Haby
21. Chargé de l’Agriculture et des Ressources Piscicoles: Monsieur Abdoulaye Seydou Dicko
22. Chargé des Chefferies Traditionnelles et de l’Autorité Coutumière : Monsieur Mohamed Ousmane Ag Mohamedoune
23. Chargé des Domaines et Biens Publics : Colonel Hassane Ag Fagaga
24. Chargé du Plan et de la Statistique : Monsieur Ambeïry Ag Rhissa
25. Chargé de l’Eau : Monsieur Mohamed Zeyni Aguissa Maïga
26. Chargé du Commerce : Monsieur Akli Iknane Ag Souleymane
27. Chargé de la Cohésion Sociale et de la Réconciliation Nationale : Monsieur Mohamed Ag Intalla
28. Chargée de l’Action Humanitaire et des Réfugiés : Madame Nina Wallet Intalou
29. Chargé de l’Economie : Monsieur Zeïd Ag Kiri
30. Chargé de l’Emploi et de la Formation Professionnelle : Colonel Mohamed Rhissa Ag Mohamed Assaleh
31. Porte-Parole de la Présidence du CTEA: Monsieur Hamma Ag Sidahmad
Article 2 : Le CTEA est l’organe exécutif du MNLA, chargé de la mise en œuvre de la politique intérieure et extérieure de l’Etat de l’Azawad.
Article 3 : En fonction des besoins, le CTEA, peut être élargi à d’autres compétences de l’Azawad pour la prise en charge de certaines préoccupations.
Bilal Ag Acherif, Le Secrétaire Général du MNLA, Président du CTEA


SOURCE: L'Express de Bamako du 4 fév 2013.


Article publié dans "L’express de Bamako", repris par "maliweb.net ".
http://www.maliweb.net/news/la-situation-politique-et-securitaire-au-nord/2013/02/04/article,124676.html http://www.maliweb.net/news/la-situation-politique-et-securitaire-au-nord/2013/02/04/article,124676.html