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samedi 18 mai 2013

Avec les Touaregs de l'Azawad | Mediapart

Avec les Touaregs de l'Azawad

Ferhat Bouda est un photographe kabyle installé à Francfort, en Allemagne. Il s’attache à documenter tous les aspects de la culture berbère. En septembre 2011, à Djerba, ilrencontre des Touaregs et décide de partager un temps leur vie. Lorsque qu'il fut prêt à partir, au début de l'année 2012, la guerre était déclenchée dans l’Azawad, cette région désertique appelée aussi Nord-Mali. Il y est « rentré par le nord-est de la Mauritanie,raconte-t-il au site TamazghaÀ la frontière, j’étais pris en charge par des combattants du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad) et je suis parti avec eux jusqu’à leur base. Là-bas j’ai rencontré d’autres soldats, des responsables du MNLA et des prisonniers maliens.» C'est le quotidien des combattants du MNLA qu'il nous propose dans ces images rares d'un conflit qui désormais touche la France.
  • Ferhat Bouda est exposé au festival ImageSingulières, du 8 au 26 mai à Sète. Voirici.
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Mots-Clés

01
Février 2012, à Hassi el Beidh. Beaucoup de civils ont quitté les zones de combat mais certaines familles préfèrent rester au Nord-Mali. 
02
Février 2012, région de Tombouctou. Combattants du MNLA dans la base d'opération militaire de Léré.
03
Février 2012, région de Tombouctou. Le drapeau de L'Azawad flotte sur les terres libérées.
04
Février 2012, dans la région de TombouctouA gauche: Mana, 17 ans, n'a jamais été à l'école et ne parle que le berbère. Le seul espoir, pour les jeunes touaregs, est d'obtenir l'indépendance. A droite : Un combattant du MNLA, déserteur de l'armée malienne. Dès le début de l'insurrection de 2012, plusieurs centaines de militaires touaregs ont déserté l'armée malienne pour rejoindre le MNLA.
05
Février 2012, région de Tombouctou. Combattant du MNLA avec une mitrailleuse.
06
Février 2012, région de Tombouctou. Tôt le matin, un combattant dort par terre.
07
Février 2012, région de Tombouctou. Grâce à leurconnaissance du terrain, les Touaregs peuvent utiliser tous les moyens pour se déplacer et se renseigner.
08
Février 2012, Hassi el Beidh. Il faut rouler plusieurs heures pour trouver des puits permettant de s'approvisionner en eau. 
09
Juin 2012. Gibo, le plus grand camp de réfugiés maliens au Burkina-Faso.
10
Juin 2012, à Ouagadougou. A gauche : Une famille touareg dans un camp de réfugiés. A droite : Aucune organisation humanitaire n'est présente au Burkina Faso. Pour aider les familles de réfugiés qui arrivent chaque jour, les seules autorités locales de Ouagadougou ne peuvent faire face.
11
Juin 2012, dans un camp de réfugiés à Ouagadougou. Les enfants sont les premiers à souffrir de la malnutrition et du manque d'hygiène.
12
Juin 2012, dans un camp de réfugiés à Ouagadougou. En période faste, les enfants reçoivent une portion de riz par jour. Ce jour-là, il y a des pâtes. Ils attendent avec impatience, c'est tellement rare.
13
Juin 2012, nord-est du Mali. Des enfants partent chercher de l'eau à Boulegassi.
14
Juin 2012, à Gao. Une scène de rue avant que le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) ne pourchasse le MNLA.
15
Juin 2012, à Gao. Des enfants au bord du fleuve Niger. Durant cette période, le MNLA célèbre l'investiture de son nouveau président du conseil de transition, Bilal ag Cherif.
16
Juin 2012, à Gao. Au bord du fleuve Niger.
17
Juin 2012, nord-est du Mali. De passage par le poste du MNLA à Boulegassi.
18
Juin 2012, nord-est du Mali. Des combattants du MNLA prennent le contrôle de la poste de Boulegassi.
19
Juin 2012, à Gao. Mana avait été photographié en février dans la région de Tombouctou avant la libération de l'Azawad (Photo 4). On le retrouve en juin dans l'aéroport de Gao.
20
Juin 2012, à Gao. Mohamed était dans l'armée libyenne. Il a rejoint le MNLA avant la chute de Kadhafi.
21
Juin 2012, à Gao. Jeunes combattants du MNLA devant la prison de Gao, où plusieurs touaregs ont été torturés à mort.
  • Pour voir le blog de Ferhat Bouda avec ses archives photos, cliquer ici

Un général-major algérien se confesse sous le sceau de l’anonymat | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie


Reconnaissant avoir, avec ses acolytes, pillé les richesses du pays, un pseudo-membre de la brochette de décideurs algériens a fait des révélations, les concluant par cette phrase : "Je reste anonyme pour le moment. Bientôt paraîtront de nombreux dossiers, avec des détails qui surprendront l’humanité entière. Je regrette mes crimes. Je ne demande même pas pardon, parce que mes crimes sont impardonnables."
18/05/2013 - 21:16 mis a jour le 18/05/2013 - 15:24 parMassidida
Reprise par un site Internet, une confession étrange fait le tour du pays depuis plusieurs semaines. Une lettre signée sous le pseudo de général- major X, fait un tapage en ce moment et pour nos lecteurs, nous avons repris quelques passages qui confirment que l’Algérie a toujours été la propriété privée des décideurs.
Reconnaissant avoir, avec ses acolytes, pillé les richesses du pays, un pseudo-membre de la brochette de décideurs algériens a fait des révélations, les concluant par cette phrase : « Je reste anonyme pour le moment. Bientôt paraîtront de nombreux dossiers, avec des détails qui surprendront l’humanité entière. Je regrette mes crimes. Je ne demande même pas pardon, parce que mes crimes sont impardonnables. De toutes les façons, l’inéluctable est à ma porte. Je dois bientôt comparaître devant le juge suprême. Puisse cette confession plaider pour moi ».
Il enchaînera en conseillant ces mêmes concitoyens qu’il a maltraités des années durant. « Si les Algériens parviennent à se libérer, sans intégrer l’évidence que la cause de leur malheur est bien plus importante que le piètre régime qui les a colonisés, alors ils tomberont de Charybde en Scylla. Il importe, avant de revenir sur les pénibles circonstances qui ont plongé notre pays dans le malheur, qu’ils soient situés dans leur contexte, que les mécanismes qui les meuvent, et qui sont au cœur même de la nature humaine soient mis en lumière. On a souvent tendance, lorsqu’on stigmatise un régime prédateur, de faire comme s’il était la conséquence d’abus, et de dysfonctionnements endogènes. Et pour bien accentuer toute sa monstruosité, on s’évertue à le comparer aux démocraties occidentales. Pour toutes les âmes simples, il n’y a pas photo, comme on dit. D’un côté un régime atroce, une association de malfaiteurs, qui concentre entre ses mains l’ensemble des pouvoirs, qui opprime ses concitoyens et qui les dépouille, qui érige des façades d’Institutions, juste pour faire semblant, et de l’autre, des Etats démocratiques, avec de vraies élections, de vrais élus du peuple, un partage des pouvoirs entre de vraies Institutions, le respect des Droits de l’Homme, une presse libre, et tutti quanti ».
Serait-ce une confession ou tout simplement un coup monté à inclure dans une autre guerre des clans au pouvoir ?
Massidida

Bouaziz Ait-Chebib: «Le MAK s'adresse au peuple kabyle et non à ses fossoyeurs».


Bouaziz Ait-Chebib: «Le MAK s'adresse au peuple kabyle et non à ses fossoyeurs».

18/05/2013 - 14:53

TIZI-OUZOU (SIWEL) — Un pseudo journal, "monjournal.dz", qui se prétend libre alors même qu'il appartient à un officier du DRS toujours en fonction et qui faisait encore récemment les éloges de la nébuleuse du renseignement algérien dans les colonnes d'El Watan, a sollicité un entretien biaisé avec le président du MAK, Bouaziz Ait-Chebib. Ce dernier ayant "poliment" refusé de perdre son temps avec ce "journal", est accusé, dans l'édition d'aujourd'hui du journal en question, de fuir le débat et d'être à cour d'arguments pour défendre son mouvement.


Le MAK s'adresse prioritairement au peuple kabyle et à ses dignes enfants. Tizi-Ouzou, le 20 avril 2013 (Photo SIWEL)
Le MAK s'adresse prioritairement au peuple kabyle et à ses dignes enfants. Tizi-Ouzou, le 20 avril 2013 (Photo SIWEL)
Contrairement au journaliste dont les questions étaient pour le moins tendancieuse, pour ne pas dire insultantes, le président du MAK s'est abstenu de tous propos désobligeant vis à vis du "journaliste" en question et s'est contenté de répondre très exactement : « Monsieur, nous vous remercions de l’intérêt que vous portez au combat du peuple kabyle et de la Kabylie. Nous avons cependant le regret de vous informer que nous n’allons pas répondre à votre interview, notre mouvement n’étant nullement intéressé par un journal appartenant à un officier du DRS , par ailleurs toujours en service. » 

Pour faire court, perdre un minimum de temps et ne pas entrer dans une polémique avec une organisation criminelle qui a anéanti le pays, le MAK informe ce "journal, et pour reprendre ses propos, qu'effectivement "Ouaghzen" existe bel et bien. Il porte aujourd'hui le nom de "RDS" après avoir porté celui de "MALG" au temps où le peuple kabyle mourrait par centaines de milliers pour libérer l'Algérie du colonialisme français pendant que les membres de cette nébuleuse criminelle organisait l'assassinat des dignes enfants de l'Algérie, à l'image de Amirouche donné aux français, ou encore de Abbane et de Krim assassinés de leur propres mains... 

Pour information, le président du MAK réitère son refus d'accorder ne serait-ce qu'une minute de son temps à un journal appartenant à une organisation criminelle qui a orchestré le marasme multidimensionnel de l'Algérie et plus particulièrement de la Kabylie. Il lui a déjà fait trop d'honneur en daignant lui opposer un refus poli, ce qui était déjà de trop au vu du très lourd passif de l'organisation mafieuse et criminelle qui a sollicité cet entretien, contrairement à ce qu'avance le "journal" en question. Quant au journaliste qui a étalé tout son savoir-faire en matière de manipulation de l'opinion publique, après tout, chacun est libre de gagner son pain comme bon lui semble en son âme et conscience, du moins pour ceux qui en sont pourvu. 

Pour rappel, ce même journaliste, Ingrachen Amar en l'occurrence, avait recueilli, le 20 avril dernier, les propos de Hocine Azem, secrétaire national aux relations extérieures du MAK. Ce dernier avait développé tout un argumentaire sur la reconfiguration de l'Afrique du Nord. Mais le journaliste s'est bien abstenu de publier les propos recueillis arguant du fait que la ligne de son journal ne permettait pas d'évoquer la reconfiguration de l'Afrique du Nord, lui préférant sans aucun doute possible le thème du Maghreb Arabe. 

En conclusion, le MAK n'a pas une minute à perdre avec les fossoyeurs de la Kabylie. Le MAK s'adresse prioritairement au peuple kabyle et à ses dignes enfants. 

zp, 
SIWEL 181453 MAI 13