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mercredi 10 octobre 2012

Le Président du GPK le 16 octobre à 20 h sur les ondes de radio Idfm | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie


Le président de l’Anavad sera l’invité de Michel Léger, mardi 16 octobre 2012, de 20h à 22h sur radio Idfm dont la fréquence fm est 98.0.
10/10/2012 - 16:02 mis a jour le 10/10/2012 - 19:22 par Redaction tamurt
A la veille du rassemblement du 17 octobre sur le Pont Saint Michel de 16 à 18h pour ne plus permettre l’instrumentalisation de la mémoire des victimes de 1961 à Paris, M. Ferhat Mehenni reviendra sur les questions brûlantes du moment (Kabylie, Algérie, Azawad, voyage en Israël, Côte d’Ivoire...)
Pour rappel, le Gouvernement Provisoire de Kabylie (GPK) a appelé, pour rendre hommage à toutes les victimes de la tragédie du 17 octobre 1961, à tenir un rassemblement le 17 octobre prochain à la Seine, sur les lieux du crime, de 16 à 18 heures sur le pont Saint Michel plus exactement. « Le devoir de mémoire nous impose d’honorer leur sacrifice et leur restituer leur véritable identité.
L’Anavad indique dans son appel que « le 17 octobre 1961 à Paris, les Kabyles avaient bravé des lois d’exception au prix de leur vie. Des centaines de personnes ont été arrêtées, ligotées, jetées dans la Seine ».
Rédaction Tamurt

100 km à pied pour revendiquer leurs droits | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie


Les anciens rappelés du service national marcheront de Tizi Wezu vers Alger
La ville de Tizi Wezu est choisie par les anciens rappelés du service national comme point de départ d’une marche vers Alger. Cette action de protestation aura lieu lundi prochain. En plus des anciens rappelés de la Kabylie, qui sont d’ailleurs fort nombreux, d’autres anciens rappelés viendront d’autres régions. Ils vont, donc, selon un communiqué rendu public, marcher plus de 100 km à pied, dans l’espoir de sensibiliser le pouvoir central d’Alger à prendre en charge leurs revendications.
10/10/2012 - 22:53 mis a jour le 10/10/2012 - 19:48 par Izem Irath
Tizi-Wezzu, Tamurt.info : Un pouvoir qu’ils ont pourtant sauvé de la menace terroriste durant la décennie noire. Le nombre des anciens rappelés dépasse les 300 000 jeunes mobilisés pour lutter contre le terrorisme islamiste.
La plupart sont de la région de Kabylie. Certains entres eux ont été blessés et interdits même de soins dans les hôpitaux militaires. D’autres ont perdu leur poste d’emplois. Ceux qui ont perdu leur vie ne sont jamais reconnus comme victimes et n’ont aucun statut. Par contre, les terroristes qui ont fait plus de 300 000 victimes jouissent de droits et d’un statut reconnu par l’état dans le cadre de la loi sur la charte et la réconciliation nationale de Bouteflika, comme s’ ils étaient les « victimes ».
A titre d’exemple, un terroriste qui a passé plus d’une dizaine d’années dans les maquis et qui a tué des civils et des éléments de services de sécurité n’a qu’à déposer les armes et à signer un simple procès verbal pour jouir d’un statut reconnu par l’Etat et des indemnités. Les jeunes qui sont rappelés à la fleure d’âge sont reniés par l’Etat.
Les anciens rappelés ont décidé de prendre les choses en main et réclament leurs droits les plus élémentaires. Une plate-forme de revendications de 11 points a été déposée au ministère de la défense récemment. Ils réclament essentiellement un vrai statut et des indemnisations, la priorité dans l’accès à l’emploi, du moment que une bonne partie d’entres eux ont perdu leur postes alors qu’ils étaient mobilisés, une reconnaissance effective par les hautes autorités, l’accès aux soins pour les blessés, etc.
Izem Irath pour Tamurt.info