Algérie : le gouvernement s’oppose à l’ouverture d’un Centre culturel français en Kabylie
09/12/2012 - 12:56
TIZI-OUZOU (SIWEL) — Après avoir lancé les travaux de construction d’un Centre culturel français à Tizi-Ouzou, le gouvernement algérien s’oppose à l’ouverture du centre, évoquant, des raisons sécuritaire.
Selon TSA, « le gouvernement algérien a informé, il y a quelques jours, les autorités françaises de sa décision de ne pas autoriser l’ouverture de l’établissement (CCF NDLR) actuellement en projet », à Tizi-Ouzou. « Alger, ajoute TSA, évoque notamment des raisons de sécurité pour justifier sa décision ». Le centre, pour rappel, a été fermé durant les années 90 pour des raisons sécuritaires.
Le site d’informations rappelle que les groupes armés infestant la région de Kabylie ne ciblent que très rarement le centre-ville. Il faut ajouter que plusieurs centaines de milliers de militaires, de policiers et d’autres agents de services quadrillent la région depuis plusieurs années, mais sans pour autant, venir à bout de quelques groupuscules terroristes.
Le site ajoute que les autorités françaises avaient étudiées, au préalable, l’aspect sécuritaire de la région avant même d’engager les travaux de construction du siège qui devait accueillir le centre.
A souligner que la grande moitié des étudiants inscrits au CCF d’Alger et dans d’autres wilayas sont issus de Kabylie.
Par ce geste, le pouvoir algérien confirme sa volonté de maintenir la Kabylie sous une chape de plomb pour mieux la réprimer. Cette volonté vise à couper tout lien de la Kabylie au monde extérieur.
A ajouter que le Centre culturel français est présent à Tlemcen, Oran, Alger, Annaba et Constantine.
aai/ tsa
SIWEL 09 1256 DEC12
Le site d’informations rappelle que les groupes armés infestant la région de Kabylie ne ciblent que très rarement le centre-ville. Il faut ajouter que plusieurs centaines de milliers de militaires, de policiers et d’autres agents de services quadrillent la région depuis plusieurs années, mais sans pour autant, venir à bout de quelques groupuscules terroristes.
Le site ajoute que les autorités françaises avaient étudiées, au préalable, l’aspect sécuritaire de la région avant même d’engager les travaux de construction du siège qui devait accueillir le centre.
A souligner que la grande moitié des étudiants inscrits au CCF d’Alger et dans d’autres wilayas sont issus de Kabylie.
Par ce geste, le pouvoir algérien confirme sa volonté de maintenir la Kabylie sous une chape de plomb pour mieux la réprimer. Cette volonté vise à couper tout lien de la Kabylie au monde extérieur.
A ajouter que le Centre culturel français est présent à Tlemcen, Oran, Alger, Annaba et Constantine.
aai/ tsa
SIWEL 09 1256 DEC12
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire