Exclusif / Les jeunes révolutionnaires kabyles (JRK) : « tout ce qui trahira l’intérêt de la Kabylie ne peut prétendre être de nous »
03/08/2012 - 13:41
Siwel a reçu un mail émanant de « JRK », les Jeunes Révolutionnaires Kabyles. Ne sachant pas quelle réalité cette organisation avait, nous nous sommes abstenus d'en dire un mot, avant les vérifications d'usage.
Nos recherches ayant été fructueuses, nous vous livrons l'interview de l'un de ses membres qui, bien sûr, tient à garder l'anonymat pour des raisons de sécurité évidentes.
Nous avons compris qu’aujourd’hui nous avons des atouts en main. JRK. PH/DR
Siwel : Etant donné le caractère anonyme de votre organisation, certains peuvent penser que c’est une création du DRS ?
JRK : Nos concitoyens ont absolument raison d’être vigilants. Connaissant les méthodes et le caractère criminels du régime d’Alger, nous ne pouvons que nous réjouir du reflexe de notre peuple, le DRS sera bien sûr tenté de nous infiltrer, mais cela fait dix ans que nous étudions ses pratique d’où le caractère anonyme de notre organisation. L'anonymat est le moyen que nous avons choisi pour l'empêcher de s'introduire dans notre organisation et d'y semer la zizanie.
Comment feraient les Kabyles pour savoir qu’un communiqué émane de vous et non de quelqu'un d'autre ?
Tout ce qui trahira l’intérêt de la Kabylie ne peut prétendre être de nous, tout ce qui rompt notre serment doit être considéré par notre peuple comme une tentative de détournement de notre organisation. Les choses sont simples, dans l’intérêt de notre peuple nous avons le devoir de leur dire les choses de façon claire pour qu’il n y ait aucune place pour l’ambigüité.
Quelle est votre position par apport au mouvement pour l’autonomie de la Kabylie et le GPK ?
Ecoutez, vous voyez à peu près l’âge de chacun de nous, ceci pour dire que nous sommes les enfants du Printemps noir, nous avons vu nos camarades se faire assassiner et nous avions à cette époque fait le serment de ne jamais pardonner à leurs bourreaux. Et pour nous, personne n’a le droit de le faire tant que justice ne sera pas rendue. En voyant le GPK déposer plainte à la Cour pénale internationale, nous avons compris qu’aujourd’hui nous avons des atouts en main. Nous pouvons agir seuls ou avec d'autres.
La situation internationale nous est favorable, nous appelons le MAK et le GPK comme nous appelons le FFS et le RCD, ainsi que tous les comités de villages, les Ârchs à nous soutenir. Il faut rompre avec la traditionnelle méthode qui consiste à balayer ce qui nous a précédés pour tout recommencer de zéro. Nous avons décidé de travailler avec tous les enfants de la Kabylie qui s’engagent à la libération de notre Mère-patrie.
Mais pour ceux qui ont sali leur honneur, nous avons décidé de leur donner une chance de le laver. C’est à partir de maintenant qu’ils doivent faire attention, car personne n’a le droit de jouer avec le destin de notre nation. A eux d’assumer leur choix.
Vous voulez dire que les Ârchs ont trahi ?
Non, les Ârchs ont fait ce qu’ils ont pu, ils ont tout de même le mérite d’avoir évité un massacre à huis clos à la Kabylie, mais les assassins d’Alger ont engagé des moyens énormes pour en dérouter certains, d’où notre décision d’agir dans la clandestinité.
Êtes-vous une organisation para militaire ?
Nous ne répondrons pas à cette question.
(Lire la déclaration du JRK)
aai
SIWEL 3 1341 Août12
http://makkabylie.blogspot.fr/
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NEWS : - *14 FEVRIER 2015* EN PREPARATION D'UN NOUVEL ALBUM, ALORS SI JE M'ISOLE C'EST POUR UNE BONNE CAUSE. SOYEZ PATIENT J'Y TRAVAILLE POUR LE PLAISIR DE VOS ...Il y a 14 ans
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vendredi 3 août 2012
Exclusif / Les jeunes révolutionnaires kabyles (JRK) : « tout ce qui trahira l’intérêt de la Kabylie ne peut prétendre être de nous » 03/08/2012 - 13:41 Siwel a reçu un mail émanant de « JRK », les Jeunes Révolutionnaires Kabyles. Ne sachant pas quelle réalité cette organisation avait, nous nous sommes abstenus d'en dire un mot, avant les vérifications d'usage. Nos recherches ayant été fructueuses, nous vous livrons l'interview de l'un de ses membres qui, bien sûr, tient à garder l'anonymat pour des raisons de sécurité évidentes. Nous avons compris qu’aujourd’hui nous avons des atouts en main. JRK. PH/DR Siwel : Etant donné le caractère anonyme de votre organisation, certains peuvent penser que c’est une création du DRS ? JRK : Nos concitoyens ont absolument raison d’être vigilants. Connaissant les méthodes et le caractère criminels du régime d’Alger, nous ne pouvons que nous réjouir du reflexe de notre peuple, le DRS sera bien sûr tenté de nous infiltrer, mais cela fait dix ans que nous étudions ses pratique d’où le caractère anonyme de notre organisation. L'anonymat est le moyen que nous avons choisi pour l'empêcher de s'introduire dans notre organisation et d'y semer la zizanie. Comment feraient les Kabyles pour savoir qu’un communiqué émane de vous et non de quelqu'un d'autre ? Tout ce qui trahira l’intérêt de la Kabylie ne peut prétendre être de nous, tout ce qui rompt notre serment doit être considéré par notre peuple comme une tentative de détournement de notre organisation. Les choses sont simples, dans l’intérêt de notre peuple nous avons le devoir de leur dire les choses de façon claire pour qu’il n y ait aucune place pour l’ambigüité. Quelle est votre position par apport au mouvement pour l’autonomie de la Kabylie et le GPK ? Ecoutez, vous voyez à peu près l’âge de chacun de nous, ceci pour dire que nous sommes les enfants du Printemps noir, nous avons vu nos camarades se faire assassiner et nous avions à cette époque fait le serment de ne jamais pardonner à leurs bourreaux. Et pour nous, personne n’a le droit de le faire tant que justice ne sera pas rendue. En voyant le GPK déposer plainte à la Cour pénale internationale, nous avons compris qu’aujourd’hui nous avons des atouts en main. Nous pouvons agir seuls ou avec d'autres. La situation internationale nous est favorable, nous appelons le MAK et le GPK comme nous appelons le FFS et le RCD, ainsi que tous les comités de villages, les Ârchs à nous soutenir. Il faut rompre avec la traditionnelle méthode qui consiste à balayer ce qui nous a précédés pour tout recommencer de zéro. Nous avons décidé de travailler avec tous les enfants de la Kabylie qui s’engagent à la libération de notre Mère-patrie. Mais pour ceux qui ont sali leur honneur, nous avons décidé de leur donner une chance de le laver. C’est à partir de maintenant qu’ils doivent faire attention, car personne n’a le droit de jouer avec le destin de notre nation. A eux d’assumer leur choix. Vous voulez dire que les Ârchs ont trahi ? Non, les Ârchs ont fait ce qu’ils ont pu, ils ont tout de même le mérite d’avoir évité un massacre à huis clos à la Kabylie, mais les assassins d’Alger ont engagé des moyens énormes pour en dérouter certains, d’où notre décision d’agir dans la clandestinité. Êtes-vous une organisation para militaire ? Nous ne répondrons pas à cette question. (Lire la déclaration du JRK) aai SIWEL 3 1341 Août12
jeudi 2 août 2012
Une organisation dénommée Jeunes Kabyles Révolutionnaires aurait été créée - Le Matin DZ - Les idées et le débat
Une organisation dénommée Jeunes Kabyles Révolutionnaires aurait été créée
Mots clés : Touareg, Kabylie, MAK, autonomie, MNLA, Amazighs, Organisation
Par Le Matin DZ | 01/08/2012 16:54:00 | 7861 lecture(s) | Réactions (24)
"Nous, nous sommes engagés à construire une Kabylie libre, une Kabylie laïque, démocratique, une Kabylie avec son propre Etat, son gouvernement, son parlement, son congrès, ses propres services de sécurité, ses écoles, ses institutions judiciaires, financières et économiques, avec son administration et son état civil. Nous avons fait le serment de bâtir une Kabylie kabyle et universelle, une Kabylie juste et solidaire, une Kabylie moderne et fière de ses racines amazighes, une Kabylie de droit et de respect, une Kabylie qui garantira à ses enfants le droit à la tolérance, le droit à la différence, Le droit au savoir, à la sécurité et au bonheur. Grâce à ses dignes enfants, engagés dans son noble combat, la Kabylie vaincra."
Ainsi se conclut le communiqué de la toute nouvelle organisation dite "Les Jeunes Kabyles Révolutionnaires" et dont le matindz vient de recevoir copie.
Aucune information supplémentaire n'est donnée à propos de cette structure au style enragé, et qui justifie son programme radical par un constat des lieux sans appel. Mais l'on peut dire, sans risque de se tromper, que cette organisation milite pour l'autonomie de la Kabylie. On lit, en effet : "Nous ne voulons pas de leur unité nationale qui nous enchaîne à une entité qui nous renie et qui nous oblige à renoncer à notre existence en tant que peuple. En quelques jours, nous avons vu des salafistes, attaquer une église à Fréha, un commerçant kidnappé puis libéré contre une rançon de 165 millions de centimes à Iwadhiyen, un jeune tabassé par des policiers pour transgression du ramadhan à Ath Dwala, des jeunes militants du MAK harcelés par des gendarmes à Feraoùn après l'installation de leur section, l'appel au meurtre contre Ferhat Mehenni, président du Gouvernement Provisoire Kabyle après sa visite officiel en Israël. Même une procédure de déchéance de sa nationalité a été entamée par le régime antikabyle d'Alger."
Certains passages sont encore plus significatifs et plus intraitables : "Nous ne voulons pas de leur école qui nous arabise et nous islamise, nous ne voulons pas de leurs terroristes, nous ne voulons pas de leurs militaires qui tirent sur nos citoyens et qui brûlent nos ressources pour nous affamer. Nous ne voulons pas de leur drapeau, de leur langue, de leur façon de considérer les religions, nous ne voulons pas de leurs tentacules mafieuses qui compromettent et détourne du juste, les fils de Kabylie. Nous ne voulons pas de leurs fléaux qui exploitent le désarroi de nos concitoyens, nous ne voulons pas des prêches de leurs terroristes repentis qu’ils nous envoient pour pervertir notre jeunesse, nous ne voulons pas de leur justice corrompue, nous ne voulons pas de leurs gendarmes qui assassinent nos enfants. Nous ne voulons pas de leur unité nationale qui nous enchaïne à une entité qui nous renie et qui nous oblige à renoncer à notre existence en tant que peuple."
Les Jeunes Kabyles Révolutionnaires sont impitoyables envers les dirigeants algériens qu'ils qualifient d'"assassins d'Alger" :
"Nous savons qu'ils ont étranglé Abane Ramdane et Krim Belkacem, Nous les avons vu assassiner Matoub Lwenas, exécuter Guermah Massinissa, nous les avons vu tirer à balles réelles sur nos jeunes, mettant à feu et à sang la Kabylie de 2001 à 2003. Les assassins d’Alger nous ont déclarés la guerre, ils ont décidé de nous décimer. Ils ont lancé leur machine à broyer nos repères, à broyer nos valeurs, notre identité, notre culture, leur machine à piéger nos certitudes et à programmer notre disparition. Ils ont avili nos symboles culturels jusqu'à faire d'Aït Menguellet un paria chez ceux qui l'adulaient."
Dépassant la situation en Kabylie, l'organisation se révèle (ou se trahit) comme finement politisée quand elle aborde la situation au Sahel : "Nous avons vu des militaires algériens refouler les blessés Twareg du MNLA à la frontière, tout en accueillant ceux des islamistes d'Ansar Dine et du Mujao. Nous avons vu le gouvernement algérien recevoir des criminels islamistes de ces deux organisations qu'il arme et finance dans l'Azawad pour confisquer l’indépendance des Touaregs arrachée au prix d’énormes sacrifices par le MNLA."
L.M.
Mots clés : Touareg, Kabylie, MAK, autonomie, MNLA, Amazighs, Organisation
Par Le Matin DZ | 01/08/2012 16:54:00 | 7861 lecture(s) | Réactions (24)
"Nous, nous sommes engagés à construire une Kabylie libre, une Kabylie laïque, démocratique, une Kabylie avec son propre Etat, son gouvernement, son parlement, son congrès, ses propres services de sécurité, ses écoles, ses institutions judiciaires, financières et économiques, avec son administration et son état civil. Nous avons fait le serment de bâtir une Kabylie kabyle et universelle, une Kabylie juste et solidaire, une Kabylie moderne et fière de ses racines amazighes, une Kabylie de droit et de respect, une Kabylie qui garantira à ses enfants le droit à la tolérance, le droit à la différence, Le droit au savoir, à la sécurité et au bonheur. Grâce à ses dignes enfants, engagés dans son noble combat, la Kabylie vaincra."
Ainsi se conclut le communiqué de la toute nouvelle organisation dite "Les Jeunes Kabyles Révolutionnaires" et dont le matindz vient de recevoir copie.
Aucune information supplémentaire n'est donnée à propos de cette structure au style enragé, et qui justifie son programme radical par un constat des lieux sans appel. Mais l'on peut dire, sans risque de se tromper, que cette organisation milite pour l'autonomie de la Kabylie. On lit, en effet : "Nous ne voulons pas de leur unité nationale qui nous enchaîne à une entité qui nous renie et qui nous oblige à renoncer à notre existence en tant que peuple. En quelques jours, nous avons vu des salafistes, attaquer une église à Fréha, un commerçant kidnappé puis libéré contre une rançon de 165 millions de centimes à Iwadhiyen, un jeune tabassé par des policiers pour transgression du ramadhan à Ath Dwala, des jeunes militants du MAK harcelés par des gendarmes à Feraoùn après l'installation de leur section, l'appel au meurtre contre Ferhat Mehenni, président du Gouvernement Provisoire Kabyle après sa visite officiel en Israël. Même une procédure de déchéance de sa nationalité a été entamée par le régime antikabyle d'Alger."
Certains passages sont encore plus significatifs et plus intraitables : "Nous ne voulons pas de leur école qui nous arabise et nous islamise, nous ne voulons pas de leurs terroristes, nous ne voulons pas de leurs militaires qui tirent sur nos citoyens et qui brûlent nos ressources pour nous affamer. Nous ne voulons pas de leur drapeau, de leur langue, de leur façon de considérer les religions, nous ne voulons pas de leurs tentacules mafieuses qui compromettent et détourne du juste, les fils de Kabylie. Nous ne voulons pas de leurs fléaux qui exploitent le désarroi de nos concitoyens, nous ne voulons pas des prêches de leurs terroristes repentis qu’ils nous envoient pour pervertir notre jeunesse, nous ne voulons pas de leur justice corrompue, nous ne voulons pas de leurs gendarmes qui assassinent nos enfants. Nous ne voulons pas de leur unité nationale qui nous enchaïne à une entité qui nous renie et qui nous oblige à renoncer à notre existence en tant que peuple."
Les Jeunes Kabyles Révolutionnaires sont impitoyables envers les dirigeants algériens qu'ils qualifient d'"assassins d'Alger" :
"Nous savons qu'ils ont étranglé Abane Ramdane et Krim Belkacem, Nous les avons vu assassiner Matoub Lwenas, exécuter Guermah Massinissa, nous les avons vu tirer à balles réelles sur nos jeunes, mettant à feu et à sang la Kabylie de 2001 à 2003. Les assassins d’Alger nous ont déclarés la guerre, ils ont décidé de nous décimer. Ils ont lancé leur machine à broyer nos repères, à broyer nos valeurs, notre identité, notre culture, leur machine à piéger nos certitudes et à programmer notre disparition. Ils ont avili nos symboles culturels jusqu'à faire d'Aït Menguellet un paria chez ceux qui l'adulaient."
Dépassant la situation en Kabylie, l'organisation se révèle (ou se trahit) comme finement politisée quand elle aborde la situation au Sahel : "Nous avons vu des militaires algériens refouler les blessés Twareg du MNLA à la frontière, tout en accueillant ceux des islamistes d'Ansar Dine et du Mujao. Nous avons vu le gouvernement algérien recevoir des criminels islamistes de ces deux organisations qu'il arme et finance dans l'Azawad pour confisquer l’indépendance des Touaregs arrachée au prix d’énormes sacrifices par le MNLA."
L.M.
Imider : une mobilisation sans précédant... - TAMAZGHA le site berbériste
Un an après, rien n’a pu entammer la détermination des populations décidées à en découdre avec ceux qui exploitent leur Terre.
mercredi 1er août 2012
par Masin
Au sommet du mont d’Aleban, à deux kilomètres d’Imider, une localité située à quelque 200 km au nord-est d’Ouarzazat, des habitants en colère organisent un sit-in depuis déjà une année. Ils protestent contre l’exploitation d’une mine d’argent sur leurs terres depuis 1969 par la Société métallurgique d’Imider (SMI), une filiale du groupe minier Managem géré par la Société nationale d’Investissement (SNI) appelée aussi "Maroc SA", une propriété du roi du Maroc. Si cette entreprise a généré en 2010 un chiffre d’affaires de 74 millions d’euros, ce qui la place parmi les plus importantes mines d’argent en Afrique, les habitants, eux, vivent à l’âge de pierre, dans l’indigence et la pauvreté. Ils n’ont ni routes, ni dispensaires, ni écoles, ni réseau Internet. L’hôpital le plus proche est situé à 200 km.
Pire encore. La surexploitation de la mine a provoqué la pollution de leur environnement immédiat au cyanure et au mercure, deux produits chimiques que la SMI utilise pour le traitement du minerai. C’est la faiblesse et l’interruption par la suite du débit d’eau dans les puits et dans les robinets des habitants qui ont enclenché le mouvement de colère. La baisse du débit en eau atteint plus de 60 %.
En réaction à ces injustices, les habitants commencent par manifester pacifiquement leur colère devant la mine, mais face au silence méprisant de l’entreprise, ils changent radicalement de méthode. Ils coupent l’alimentation en eau de la mine. Leurs revendications sont claires. Ils exigent de partager les profits matériels de la SMI. Ils revendiquent aussi que 75 % des recrutements soient réservés aux habitants de la région touchée par la sécheresse et le chômage et exigent la participation au développement économique et sociale de la région, considérée comme l’une des plus pauvres au Maroc.
Déterminés à lutter pour leurs droits, plusieurs milliers d’hommes, de femmes et d’enfants construisent des abris de fortune au sommet du mont d’Aleban, à 1400 mètres d’altitude, en dépit des conditions climatiques rudes et des intimidations des autorités.
Répression et intimidation :
Face au mouvement de protestation, les autorités ont tenté vainement de corrompre certains habitants en leur promettant des emplois et des privilèges matériels. Mais ils ne sont plus dupes. Ils connaissent le vrai visage des autorités. Déjà en 1996, quelques mois après être entamée, une manifestation similaire a été dispersée par la force. Bilan : un mort et plusieurs dizaines de militants condamnés à de lourdes peines de prison.
Quelques mois seulement après le début de ce sit-in en août 2011, le gouverneur de Tinghir a menacé de "brûler les manifestants" et d’utiliser la force contre eux. Mais, face à leur détermination, les autorités passent de l’intimidation à la répression ouverte. Elles tentent de les discréditer et commencent par arrêter un jeune militant, Mustapha Ouchtobane, en novembre 2011. Il sera condamné à quatre ans de prison ferme par le tribunal d’Ouarzazat, dans un procès expéditif digne des plus terribles des dictatures. Le 12 juillet 2012, cinq autres militants sont également arrêtés par les gendarmes à Tinghir. Le dossier semble monté de toute pièce. Un entrepreneur, connu pour ses liens avec les autorités, les accuse d’avoir vandalisé un projet de rénovation d’une maison des jeunes à Imider. Ils risquent de lourdes peines de prison.
Les autorités jouent "le pourrissement" :
Enfermées dans une impasse sécuritaire, les autorités risquent à nouveau d’user de la force pour déloger les manifestants du mont d’Aleban, au lieu de négocier une issue à cette situation. Les procès intentés aux militants du Mouvement sur la voie de 96 et la lourde peine infligée à Mustapha Ouchtobane n’étaient qu’un prélude. Dans un pays ou seul l’arbitraire est roi, une réaction brutale des autorités contre les manifestants n’est pas à exclure. La vigilance doit être de mise.
Il semble que les autorités et l’administration de la SMI jouaient le "pourrissement". Elles comptaient sur l’essoufflement du mouvement de protestation et la démobilisation des habitants. Peine perdue. Le mouvement continue à gagner du terrain. Les habitants sont plus que jamais déterminés à arracher leurs droits à l’entreprise et à vivre dignement sur leur propre terre. Même les enfants n’ont pas échappé au mouvement. Ils ont manifesté fréquemment à Tinghir et près de la mine, ils ont boycotté l’école et ont observé une année blanche.
Le silence des hautes autorités de l’État et la répression qui frappe les militants du Mouvement sur la voie de 96, une année après le début de ce sit-in, est une infamie et une insulte aux habitants de cette région. Ce silence est synonyme de mépris.
Que faire alors ?
Bien que la spontanéité des rassemblements et l’aspect festif de la lutte des habitants d’Imider ait certains côtés positifs, elle a souvent des inconvénients. Les "sit-inneurs" sont certes déterminés à arracher leurs droits. Mais, la détermination, suffit-elle à elle seule pour faire fléchir une entreprise de la taille de la SMI ? La réponse est bien sûr non. Le combat est loin d’être gagné.
Il est alors urgent que de nouvelles pistes soient explorées afin d’exercer plus de pressions sur cette entreprise et, par ricochet, sur les autorités. L’absence de planification de nouvelles actions laissera au hasard des choix cruciaux, ce qui pourrait avoir des résultats désastreux.
Lhoussain Azergui
mercredi 1 août 2012
Recherche scientifique : Dr. Hamid Ait Abderrahim, le Kabyle qui a atomisé les secrets du nucléaire
Recherche scientifique : Dr. Hamid Ait Abderrahim, le Kabyle qui a atomisé les secrets du nucléaire
01/08/2012 - 13:02
ITALIE (SIWEL) — Un autre chercheur physicien kabyle qui s'est distingué dans le domaine du génie nucléaire, il s’agit du Dr. Hamid Ait Abderrahim, celui qui « a atomisé les secrets du nucléaire », tel qu’on le surnomme en Belgique.
Le Prof. Dr. Hamid Aït Abderrahim est directeur général adjoint du SCK•CEN, le Centre d'Etude de l'Energie nucléaire belge, établi à Mol. En outre, il enseigne avec passion la physique des réacteurs et le génie nucléaire à l’Université Catholique de Louvain (UCL) à l’Ecole Polytechnique de Louvain (EPL).
Pour lui, le propre de l’ingénieur est d’aboutir à des solutions réalistes et fonctionnelles, au départ des moyens disponibles.
A 16 ans, Hamid Aït Abderrahim est littéralement tombé amoureux du nucléaire, lors de la dernière séance du cours de physique de sa cinquième année secondaire, en Algérie, où cette révélation surgit grâce au cours consacré à la radioactivité. En 1979, à l’âge de 18 ans, il arrive en Belgique poursuivant avec pugnacité l’objectif de devenir Ingénieur en énergie nucléaire.
Il obtint son titre d’Ingénieur Industriel en énergie nucléaire, en 1983. Ce fut pour lui l’occasion d’un premier contact avec le centre d’étude de l’énergie nucléaire (SCK•CEN), dans le cadre de son TFE. En 1984, au terme d’études complémentaires en France, il décrochera son DEA (Diplôme d’ Etudes Approfondies), en physique des réacteurs. A partir de 1984, il s’est inscrit pour un doctorat en physique des réacteurs, à Paris, avec son travail de recherche accompli à Mol. Depuis 1998, il est directeur du projet MYRRHA.
01/08/2012 - 13:02
ITALIE (SIWEL) — Un autre chercheur physicien kabyle qui s'est distingué dans le domaine du génie nucléaire, il s’agit du Dr. Hamid Ait Abderrahim, celui qui « a atomisé les secrets du nucléaire », tel qu’on le surnomme en Belgique.
Le Prof. Dr. Hamid Aït Abderrahim est directeur général adjoint du SCK•CEN, le Centre d'Etude de l'Energie nucléaire belge, établi à Mol. En outre, il enseigne avec passion la physique des réacteurs et le génie nucléaire à l’Université Catholique de Louvain (UCL) à l’Ecole Polytechnique de Louvain (EPL).
Pour lui, le propre de l’ingénieur est d’aboutir à des solutions réalistes et fonctionnelles, au départ des moyens disponibles.
A 16 ans, Hamid Aït Abderrahim est littéralement tombé amoureux du nucléaire, lors de la dernière séance du cours de physique de sa cinquième année secondaire, en Algérie, où cette révélation surgit grâce au cours consacré à la radioactivité. En 1979, à l’âge de 18 ans, il arrive en Belgique poursuivant avec pugnacité l’objectif de devenir Ingénieur en énergie nucléaire.
Il obtint son titre d’Ingénieur Industriel en énergie nucléaire, en 1983. Ce fut pour lui l’occasion d’un premier contact avec le centre d’étude de l’énergie nucléaire (SCK•CEN), dans le cadre de son TFE. En 1984, au terme d’études complémentaires en France, il décrochera son DEA (Diplôme d’ Etudes Approfondies), en physique des réacteurs. A partir de 1984, il s’est inscrit pour un doctorat en physique des réacteurs, à Paris, avec son travail de recherche accompli à Mol. Depuis 1998, il est directeur du projet MYRRHA.
Le Projet MYRRHA conçu par le chercheur physicien kabyle, Dr. Prof. Hamid Ait Abderrahim et ses collaborateurs au SCK-CEN de Mol, Belgique, est un système hybride couplant un réacteur de fission nucléaire piloté par un accélérateur de protons : Accelerateur Driven System (ADS). Ce sera donc un nouveau type de réacteur de quatrième génération: le premier de sa génération au monde. Le Prof. H. Ait Abderrahim se propose ainsi de relever le défi en ingéniérisant l'idée théorique émise par le prix Nobel de Physique, l'Italien Carlo Rubbia. dans les années 1990. Ce sera une véritable prouesse technologique. Pour sa réalisation, le gouvernement belge ne lésine pas sur les moyens financiers : dès 2010, il a débloqué un budget de départ s'élevant à 940 millions d'Euros. L'inauguration de l'ADS MYRRHA est prévue pour 2020.
Le projet d'infrastructure belge de recherche en fission nucléaire MYRRHA, situé à Mol, a été reconnu parmi les 50 projets prioritaires du forum stratégique européen sur les infrastructures de recherche (ESFRI). La Commission européenne, à travers son programme "l'Union pour l'innovation", a pour objectif de voir lancer pour 2015 la construction de 60 pc de ces 50 projets prioritaires, principalement financés par les États membres, avec un soutien européen. La construction du réacteur de Mol coûtera près d'un milliard d'euros, dont 40 pc financés par l'Etat fédéral. Le solde sera financé par les partenaires internationaux et l'industrie. Avec sa reconnaissance comme infrastructure prioritaire, MYRRHA bénéficiera, à l'avenir, d'un statut privilégié et d'un accès à un réseau de partenaires européens, dont certains apporteront des financements.
Dahman At Ali
Siwel 1 1303 Aout12
Les islamo-collabos du CIO acceptent le voile de la judoka saoudienne | Riposte Laique
Les islamo-collabos du CIO acceptent le voile de la judoka saoudienne
Posted on 31 juillet 2012 by Pierre Cassen - Article du nº 262
J’avais déjà fait part, dès le lendemain de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres, du premier record olympique battu, celui du nombre de voiles islamiques.
Il y a quatre ans, à Pékin, nous avions vu les premières tentatives, ponctuées de succès, de recouvrir les sportives musulmanes, par la présence d’une sprinteuse du Barhein, qui avait atteint les demi-finales.
Profitant de messages encourageant de la Fédération Internationale de Football (Fifa), qui vient d’autoriser le port du voile dans les compétitions internationales de football, les Saoudiens ont entamé un bras de fer avec le Comité International Olympique (CIO), quant à la présence d’une des deux athlètes sélectionnées, sur les tatamis de judo.
http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/jo-2012-la-judoka-voilee-ne-sera-pas-privee-de-tatami-7433930.html
L’autre sélectionnée, athlète de 800 mètres, en athlétisme, ne devrait pas, à l’instar de la sprinteuse du Barhein il y a 4 ans, avoir de problème pour que les mâles en rut ne puissent pas voir des parties dénudées de son corps livrées à leur regard concupiscent. Mais au judo, pour des raisons de sécurité, le règlement international est strict, on ne doit rien avoir sur la tête, le seul vêtement autorisé est le kimono, avec une ceinture.
Que croyez-vous qu’il arrivât ? Les Saoudiens, par leur fédération, et le père de la judoka (qui ne peut se déplacer qu’avec un accompagnant, qui la tient par la main, des fois que…) menacèrent de retirer leur compétitrice. Comment croyez-vous que le CIO réagit ? En menant des discussions serrées… quant à la manière acceptable de porter le voile ! La Fédération Internationale de Judo, d’un trait de plume, en pleins Jeux Olympiques, a accepté de bafouer ses règles, sous la seule pression de l’islam ! Autrement dit, un nouveau pan vient de tomber, dans le sport international, où l’islam a réussi à faire reculer l’universalisme, en imposant aux instances internationales l’infâme voile islamique sur les tatamis de judo.
Certes, on pourrait ironiser en disant qu’à la place de l’adversaire de la Saoudienne, qui ne fera probablement qu’un seul tour, la combine est facile, pour gagner : au lieu d’empoigner le kimono, agripper le voile, et, profitant du désarroi de l’athlète dénudée, procéder à un balayage rapide, qui devrait conclure le combat en quelques secondes. On pourrait s’amuser en se disant qu’il est grave que des hommes puissent la voir combattre, et que finalement, les Saoudiens prennent quelques libertés avec les textes sacrés. On pourrait ricaner en imaginant le Vatican, dans quatre ans, demander à ce que les judokas sélectionnés combattent en soutane, ou des moines exiger la robe de bure…
Mais l’affaire est autrement plus grave. C’est une trahison supplémentaire de la charte olympique, dont l’article 51 interdit aux athlètes d’afficher une appartenance politique, raciale ou religieuse. C’est surtout un véritable coup de poignard à la cause des femmes, et à toutes les athlètes de pays musulmans qui, telle l’Algérienne Hassiba Boulmerka, infligeait, par la tenue de femme libre affichée, une défaite idéologique aux intégristes.
Il est dommage que les journalistes n’aient pas cru bon d’interroger François Hollande, présent hier à Londres, sur cette question. Les circonvolutions habituelles du président de la République, sur tout sujet sensible, auraient été succulentes à écouter. On attend avec impatience, sur ce nouveau scandale, les réactions de la ministre des Sports, Valérie Fourneyron, et de Najat Belkacem, bien silencieuse sur le droit des femmes quand c’est l’islam qui les remet en cause.
Le Comité International Olympique, présidé par le Belge Jacques Rogge, montre une nouvelle fois, à travers ce peu glorieux épisode, son allégeance aux pétrodollars des pays musulmans, au détriment de l’idéal olympique. Ce n’est même plus une surprise. Il est vrai qu’entre le CIO et l’OCI, il n’y a qu’une simple inversion de lettres.
Pierre Cassen
Posted on 31 juillet 2012 by Pierre Cassen - Article du nº 262
J’avais déjà fait part, dès le lendemain de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres, du premier record olympique battu, celui du nombre de voiles islamiques.
Il y a quatre ans, à Pékin, nous avions vu les premières tentatives, ponctuées de succès, de recouvrir les sportives musulmanes, par la présence d’une sprinteuse du Barhein, qui avait atteint les demi-finales.
Profitant de messages encourageant de la Fédération Internationale de Football (Fifa), qui vient d’autoriser le port du voile dans les compétitions internationales de football, les Saoudiens ont entamé un bras de fer avec le Comité International Olympique (CIO), quant à la présence d’une des deux athlètes sélectionnées, sur les tatamis de judo.
http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/jo-2012-la-judoka-voilee-ne-sera-pas-privee-de-tatami-7433930.html
L’autre sélectionnée, athlète de 800 mètres, en athlétisme, ne devrait pas, à l’instar de la sprinteuse du Barhein il y a 4 ans, avoir de problème pour que les mâles en rut ne puissent pas voir des parties dénudées de son corps livrées à leur regard concupiscent. Mais au judo, pour des raisons de sécurité, le règlement international est strict, on ne doit rien avoir sur la tête, le seul vêtement autorisé est le kimono, avec une ceinture.
Que croyez-vous qu’il arrivât ? Les Saoudiens, par leur fédération, et le père de la judoka (qui ne peut se déplacer qu’avec un accompagnant, qui la tient par la main, des fois que…) menacèrent de retirer leur compétitrice. Comment croyez-vous que le CIO réagit ? En menant des discussions serrées… quant à la manière acceptable de porter le voile ! La Fédération Internationale de Judo, d’un trait de plume, en pleins Jeux Olympiques, a accepté de bafouer ses règles, sous la seule pression de l’islam ! Autrement dit, un nouveau pan vient de tomber, dans le sport international, où l’islam a réussi à faire reculer l’universalisme, en imposant aux instances internationales l’infâme voile islamique sur les tatamis de judo.
Certes, on pourrait ironiser en disant qu’à la place de l’adversaire de la Saoudienne, qui ne fera probablement qu’un seul tour, la combine est facile, pour gagner : au lieu d’empoigner le kimono, agripper le voile, et, profitant du désarroi de l’athlète dénudée, procéder à un balayage rapide, qui devrait conclure le combat en quelques secondes. On pourrait s’amuser en se disant qu’il est grave que des hommes puissent la voir combattre, et que finalement, les Saoudiens prennent quelques libertés avec les textes sacrés. On pourrait ricaner en imaginant le Vatican, dans quatre ans, demander à ce que les judokas sélectionnés combattent en soutane, ou des moines exiger la robe de bure…
Mais l’affaire est autrement plus grave. C’est une trahison supplémentaire de la charte olympique, dont l’article 51 interdit aux athlètes d’afficher une appartenance politique, raciale ou religieuse. C’est surtout un véritable coup de poignard à la cause des femmes, et à toutes les athlètes de pays musulmans qui, telle l’Algérienne Hassiba Boulmerka, infligeait, par la tenue de femme libre affichée, une défaite idéologique aux intégristes.
Il est dommage que les journalistes n’aient pas cru bon d’interroger François Hollande, présent hier à Londres, sur cette question. Les circonvolutions habituelles du président de la République, sur tout sujet sensible, auraient été succulentes à écouter. On attend avec impatience, sur ce nouveau scandale, les réactions de la ministre des Sports, Valérie Fourneyron, et de Najat Belkacem, bien silencieuse sur le droit des femmes quand c’est l’islam qui les remet en cause.
Le Comité International Olympique, présidé par le Belge Jacques Rogge, montre une nouvelle fois, à travers ce peu glorieux épisode, son allégeance aux pétrodollars des pays musulmans, au détriment de l’idéal olympique. Ce n’est même plus une surprise. Il est vrai qu’entre le CIO et l’OCI, il n’y a qu’une simple inversion de lettres.
Pierre Cassen
Photo de otorram sur Netlog
Photo de otorram sur Netlog
J’ai préféré publier sous forme d’article, les écrits, très intéressants, de miss Nath Hamiche. Il aurait été dommage de les noyer dans le flot de commentaires.
Je me demande comment un Kabyle ou un non-Arabe peut accepter l’islam. Doctrine qui prépare un individu pour son propre emprisonnement, son propre asservissement pour ne pas dire esclavage, sa soumission, le reniement de ses ancêtres, de sa culture, de son identité, de sa civilisation, de sa langue, etc.
Pour commencer tout ce qui est islamique (musulman) est en fait lié aux Arabes c’est-à-dire la “culture” arabe, les croyances arabes, la pensée arabe, la littérature arabe, les lieux saints arabes, les traditions arabes, les vêtements arabes, la politique arabe et assurément l’impérialisme et l’hégémonie arabe. Si on examine de près la doctrine musulmane en utilisant la logique et la pensée critique.
Qu’est ce que l’islam ?
Un concept, une idée, un système de croyance ne crée pas de civilisation. Les plus grandes civilisations de l’histoire, sur laquelle repose la civilisation actuelle, n’étaient pas monothéistes, mais plutôt polythéistes. Personne ne parle de civilisation chrétienne, hindoue ou juive.
L’islam est un concept basé sur une croyance en un seul et unique Dieu Allah à qui les musulmans croient. Parler d’une civilisation islamique est complètement dénué de sens spécialement quand nous savons qu’en vérité les conquérants arabes étaient surtout des tribus nomades sans aucune civilisation (voir Ibn Khaldoun). On ne peut pas discuter de science, d’art, de philosophie, de politique, etc. sous l’égide de l’islam arabe. Le prototype de la civilisation arabe est le talibanisme (taliban en Afghanistan ou ce qu’on appelait « tolba » chez nous avant l’invasion par les « tolba » du Moyen Orient). L’islam n’encourage pas la recherche intellectuelle, car elle est jugée dangereuse pour la foi du croyant. La meilleure connaissance qui est acceptée est celle qui est utile pour la pratique de la religion.
Ibn Khaldoun, né en Tunisie 1332 AD, nous rappelle, que les Arabes n’ont pas joué un grand rôle dans le développement initial de la « science islamique » :
« Il est étrange que la plupart des savants parmi les musulmans qui ont excellé dans les sciences religieuses ou intellectuelles, ne sont pas Arabes, même ceux avec de rares exceptions près, et même ceux des savants qui prétendaient descendre d’Arabie, parlaient une langue étrangère, ont grandi sur une terre étrangère, et ont étudié auprès de maîtres étrangers ».
Toutes ces disciplines ne sont pas islamiques d’autant plus que la charia ne permet pas la liberté de pensée ou d’expression. Ce que le terme islamique cache en réalité, dénature et trompe, c’est le fait que tout ce qui est islamique veut, en réalité, dire arabisé.
Qu’est-ce que les musulmans, de différentes nationalités, de différentes cultures, de différentes races et ethnies et de traditions d’origines diverses possèdent en commun ? Ils croient en un homme arabe du nom de Mohamed prétendument un prophète d’Allah.
Qui donc est leur Dieu ? Allah, le nom du dieu suprême du panthéon des 360 dieux et déesses de pierres des Arabes païens de La Mecque dans la péninsule des Arabes des siècles avant la naissance de Mohamed.
Où orientent-ils leur kibla, direction de la prière 5 fois par jour ? A la Mecque, une ville prétendument sainte d’Arabie.
Quel est leur livre saint ? Le Coran un livre écrit en arabe par les Arabes, qu’ils doivent lire et réciter en arabe.
Dans quelle langue prient et supplient-ils ? Dans la langue des Arabes puisque Allah (l’inculte et ignorant) ne comprend que l’arabe, n’accepte pas les prières et les supplications dans des langues autres que l’arabe. Alors que la langue arabe elle-même n’est autre que du syriaque, dialecte de l’assyrien ou l’araméen.
Qu’imitent-ils servilement ? L’Arabe Mahomet et ses traditions arabes la Sunna.
Où vont-ils pour le pèlerinage Hajj et Omra ? A la Mecque ville arabe en Arabie.
Où vont-ils circumambuler [1] 7 fois pendant le pèlerinage à La Mecque ? À la Kaaba un sanctuaire arabe qui a été vénérée par les Arabes païens plusieurs siècles avant la naissance de Mahomet et de son Coran.
Quels vêtements les croyants musulmans de sexes males et femelles portent-ils ? Des vêtements arabes comme dicté par le Coran et la Sunna de Mahomet.
Quelles règles suivent les croyants ? La charia arabe écrite par des Arabes.
Quelles règles et traditions suivent-ils ? Les règles et traditions des Arabes dictées par la Charia de Mahomet.
Quels noms et prénoms les peuples conquis portent-ils ? Des noms et des prénoms arabes.
Quelles expressions pour se saluer, entre eux, utilisent-ils ? Des expressions arabes comme les Arabes.
Quand l’histoire de tous ces peuples conquis commence-t-elle ? Leur histoire commence à partir du jour où ils ont été subjugués par les Arabes parce que tout ce qui s’est passé avant est appelé jâhilîya, [2] peu importe leur passé glorieux.
Les Arabes, avec beaucoup de succès, ont totalement couvert leurs dossiers impérialistes frappés de termes islamiques, pour leur donner des dimensions ésotériques, divines sans attirer l’attention sur leurs conquêtes et leur hégémonie.
Nous sommes envahis par les écrits des érudits occidentaux et des érudits musulmans sur la civilisation islamique, l’art islamique, la culture islamique, la science islamique, l’architecture islamique, etc.
Pour commencer les hordes de bédouins qui venaient de la péninsule arabique au 7e siècle étaient des tribus analphabètes qui n’avaient aucune civilisation. Le lieu saint arabe appelé Kaaba était un bâtiment primitif, exigu et modique construit à partir de pierres empilées sans toit parce qu’ils n’avaient pas de bois pour en construire un. Aucune civilisation ne peut être créée à dos chameaux, les civilisations sont créées par des peuples sédentaires.
Les Arabes ont conquis, tué, asservi et converti des millions d’individus, par la force et autres moyens (djiziya, etc.) les non-Arabes sur 3 continents surmontant plusieurs des plus anciennes civilisations et empires du monde de ce temps, les Byzantins, les Perses Sassanides, les Berbères et les Égyptiens, les Ibères (de la Péninsule Ibérique), les Indiens, les Chinois et autres.
Les soi-disant sciences islamiques étaient entièrement fondées sur les connaissances basées et élaborées sur des civilisations anciennes grecque, romaine, perse, indienne, chinoise, assyrienne, égyptienne, amazighe, etc. dont les écrits étaient invariablement traduits en arabe par les peuples conquis et plus tard par les indigènes (les autochtones) convertis à l’islam. Quand on étudie la vie des scientifiques et érudits musulmans on constatera que la plupart d’entre eux étaient des mawalis convertis à l’islam et donc non Arabes.
Les plus grands contributeurs tant en sciences qu’en foi islamiques étaient issus de l’Empire perse. La majorité d’entre eux n’étaient pas des croyants fondamentalistes, mais des hommes mondains et séculaires (laïcs) et beaucoup d’entre eux ont été emprisonnés, exilés ou tués parce qu’ils n’obéissaient pas à la charia. D’ailleurs l’islam et les sciences sont antinomiques. En arabe, le mot connaissance est ilm ; la plupart des gens ne réalisent vraiment pas que dans l’islam comme le démontrent clairement les hadiths, la Sounna et le Coran de Mahomet, ilm ne signifie pas l’art ou la science, mais plutôt la connaissance du Coran et la Sunna et rien d’autre.
Les soi-disant arts et architecture islamiques sont des répliques des églises chrétiennes byzantines. Elles aussi ont été conçues et construites par le labeur des peuples sous domination islamique. Il suffit d’observer les coupoles des mosquées musulmanes ; elles sont presque identiques aux églises byzantines.
La musique, la poésie et la philosophie islamiques non d’islamiques que le nom puisque interdits dans la charia. Les musiciens, les poètes et les philosophes sous l’islam arabe étaient des hommes séculaires qui ont exercé sous les règnes de chefs et dirigeants tolérants et illuminés en dépit de la charia.
Actuellement, les États de l’Afrique du Nord se proclament arabes ; la majorité de leurs habitants ne s’interrogent même pas sur une déclaration absurde et totalement balourde et grotesque. Est-il logique ou possible que quelques milliers de conquérants arabes deviennent plus nombreux que les millions des personnes qu’ils ont conquises ?
Que sont devenus ces Égyptiens et ces Berbères autochtones et qu’est-il arrivé aux autochtones ? Ces millions de gens se sont-ils volatilisés pour être remplacés par les Arabes ? Évidemment non ; puisqu’il y a des dossiers et archives historiques qui mentionnent leurs batailles et leur histoire.
Ces peuples ont été conquis et arabisés, jusqu’à nos jours, par une colonisation qui dure depuis plus de 14 siècles. La colonisation arabe est la plus impérialiste la plus néfaste, la plus désastreuse, la plus longue et la moins utile dans l’histoire de l’humanité.
Les peuples conquis ont été forcés de se convertir en vertu de la djiziya (l’impôt onéreux de capitation). Ils avaient le choix entre l’asservissement, l’anéantissement, la décapitation, ou accepter l’islam et vivre comme mawali (c’est-à-dire clients des tribus arabes) ou comme dhimmis et payer la djizya.
Tout ce en quoi ces peuples croyaient, chérissaient et créaient a été arabisé. Les Arabes ont effacé leur histoire, ont interdit la pratique de leur langue et culture, ont détruit ou remplacé leurs temples par des mosquées arabes.
Les peuples conquis ont été forcés de porter des vêtements arabes, d’adopter les coutumes arabes comme prescrites dans la sunna de Mahomet, d’adopter les noms et prénom arabes. Leurs croyances ont été remplacées par l’islam arabe qui les a menés à l’abîme. La même chose a été faite pour les Perses, les Assyriens, les Indiens, les chrétiens, les bouddhistes, et tant d’autres.
Les Arabes n’avaient absolument rien à apporter à la culture des peuples conquis. Les Arabes musulmans comme leur mentor (guide) Mahomet excellaient en pillage, en plagiat, en piratage et en pervertissement, allant jusqu’à revendiquer comme les leurs, les concepts, les préceptes, les pensées, et les inventions de leurs sujets vaincus.
L’impérialisme arabe est le plus long, le plus parasite, le plus dévastateur culturellement et le plus néfaste dans l’histoire de l’humanité.
miss Nath Hamiche
J’ai préféré publier sous forme d’article, les écrits, très intéressants, de miss Nath Hamiche. Il aurait été dommage de les noyer dans le flot de commentaires.
Je me demande comment un Kabyle ou un non-Arabe peut accepter l’islam. Doctrine qui prépare un individu pour son propre emprisonnement, son propre asservissement pour ne pas dire esclavage, sa soumission, le reniement de ses ancêtres, de sa culture, de son identité, de sa civilisation, de sa langue, etc.
Pour commencer tout ce qui est islamique (musulman) est en fait lié aux Arabes c’est-à-dire la “culture” arabe, les croyances arabes, la pensée arabe, la littérature arabe, les lieux saints arabes, les traditions arabes, les vêtements arabes, la politique arabe et assurément l’impérialisme et l’hégémonie arabe. Si on examine de près la doctrine musulmane en utilisant la logique et la pensée critique.
Qu’est ce que l’islam ?
Un concept, une idée, un système de croyance ne crée pas de civilisation. Les plus grandes civilisations de l’histoire, sur laquelle repose la civilisation actuelle, n’étaient pas monothéistes, mais plutôt polythéistes. Personne ne parle de civilisation chrétienne, hindoue ou juive.
L’islam est un concept basé sur une croyance en un seul et unique Dieu Allah à qui les musulmans croient. Parler d’une civilisation islamique est complètement dénué de sens spécialement quand nous savons qu’en vérité les conquérants arabes étaient surtout des tribus nomades sans aucune civilisation (voir Ibn Khaldoun). On ne peut pas discuter de science, d’art, de philosophie, de politique, etc. sous l’égide de l’islam arabe. Le prototype de la civilisation arabe est le talibanisme (taliban en Afghanistan ou ce qu’on appelait « tolba » chez nous avant l’invasion par les « tolba » du Moyen Orient). L’islam n’encourage pas la recherche intellectuelle, car elle est jugée dangereuse pour la foi du croyant. La meilleure connaissance qui est acceptée est celle qui est utile pour la pratique de la religion.
Ibn Khaldoun, né en Tunisie 1332 AD, nous rappelle, que les Arabes n’ont pas joué un grand rôle dans le développement initial de la « science islamique » :
« Il est étrange que la plupart des savants parmi les musulmans qui ont excellé dans les sciences religieuses ou intellectuelles, ne sont pas Arabes, même ceux avec de rares exceptions près, et même ceux des savants qui prétendaient descendre d’Arabie, parlaient une langue étrangère, ont grandi sur une terre étrangère, et ont étudié auprès de maîtres étrangers ».
Toutes ces disciplines ne sont pas islamiques d’autant plus que la charia ne permet pas la liberté de pensée ou d’expression. Ce que le terme islamique cache en réalité, dénature et trompe, c’est le fait que tout ce qui est islamique veut, en réalité, dire arabisé.
Qu’est-ce que les musulmans, de différentes nationalités, de différentes cultures, de différentes races et ethnies et de traditions d’origines diverses possèdent en commun ? Ils croient en un homme arabe du nom de Mohamed prétendument un prophète d’Allah.
Qui donc est leur Dieu ? Allah, le nom du dieu suprême du panthéon des 360 dieux et déesses de pierres des Arabes païens de La Mecque dans la péninsule des Arabes des siècles avant la naissance de Mohamed.
Où orientent-ils leur kibla, direction de la prière 5 fois par jour ? A la Mecque, une ville prétendument sainte d’Arabie.
Quel est leur livre saint ? Le Coran un livre écrit en arabe par les Arabes, qu’ils doivent lire et réciter en arabe.
Dans quelle langue prient et supplient-ils ? Dans la langue des Arabes puisque Allah (l’inculte et ignorant) ne comprend que l’arabe, n’accepte pas les prières et les supplications dans des langues autres que l’arabe. Alors que la langue arabe elle-même n’est autre que du syriaque, dialecte de l’assyrien ou l’araméen.
Qu’imitent-ils servilement ? L’Arabe Mahomet et ses traditions arabes la Sunna.
Où vont-ils pour le pèlerinage Hajj et Omra ? A la Mecque ville arabe en Arabie.
Où vont-ils circumambuler [1] 7 fois pendant le pèlerinage à La Mecque ? À la Kaaba un sanctuaire arabe qui a été vénérée par les Arabes païens plusieurs siècles avant la naissance de Mahomet et de son Coran.
Quels vêtements les croyants musulmans de sexes males et femelles portent-ils ? Des vêtements arabes comme dicté par le Coran et la Sunna de Mahomet.
Quelles règles suivent les croyants ? La charia arabe écrite par des Arabes.
Quelles règles et traditions suivent-ils ? Les règles et traditions des Arabes dictées par la Charia de Mahomet.
Quels noms et prénoms les peuples conquis portent-ils ? Des noms et des prénoms arabes.
Quelles expressions pour se saluer, entre eux, utilisent-ils ? Des expressions arabes comme les Arabes.
Quand l’histoire de tous ces peuples conquis commence-t-elle ? Leur histoire commence à partir du jour où ils ont été subjugués par les Arabes parce que tout ce qui s’est passé avant est appelé jâhilîya, [2] peu importe leur passé glorieux.
Les Arabes, avec beaucoup de succès, ont totalement couvert leurs dossiers impérialistes frappés de termes islamiques, pour leur donner des dimensions ésotériques, divines sans attirer l’attention sur leurs conquêtes et leur hégémonie.
Nous sommes envahis par les écrits des érudits occidentaux et des érudits musulmans sur la civilisation islamique, l’art islamique, la culture islamique, la science islamique, l’architecture islamique, etc.
Pour commencer les hordes de bédouins qui venaient de la péninsule arabique au 7e siècle étaient des tribus analphabètes qui n’avaient aucune civilisation. Le lieu saint arabe appelé Kaaba était un bâtiment primitif, exigu et modique construit à partir de pierres empilées sans toit parce qu’ils n’avaient pas de bois pour en construire un. Aucune civilisation ne peut être créée à dos chameaux, les civilisations sont créées par des peuples sédentaires.
Les Arabes ont conquis, tué, asservi et converti des millions d’individus, par la force et autres moyens (djiziya, etc.) les non-Arabes sur 3 continents surmontant plusieurs des plus anciennes civilisations et empires du monde de ce temps, les Byzantins, les Perses Sassanides, les Berbères et les Égyptiens, les Ibères (de la Péninsule Ibérique), les Indiens, les Chinois et autres.
Les soi-disant sciences islamiques étaient entièrement fondées sur les connaissances basées et élaborées sur des civilisations anciennes grecque, romaine, perse, indienne, chinoise, assyrienne, égyptienne, amazighe, etc. dont les écrits étaient invariablement traduits en arabe par les peuples conquis et plus tard par les indigènes (les autochtones) convertis à l’islam. Quand on étudie la vie des scientifiques et érudits musulmans on constatera que la plupart d’entre eux étaient des mawalis convertis à l’islam et donc non Arabes.
Les plus grands contributeurs tant en sciences qu’en foi islamiques étaient issus de l’Empire perse. La majorité d’entre eux n’étaient pas des croyants fondamentalistes, mais des hommes mondains et séculaires (laïcs) et beaucoup d’entre eux ont été emprisonnés, exilés ou tués parce qu’ils n’obéissaient pas à la charia. D’ailleurs l’islam et les sciences sont antinomiques. En arabe, le mot connaissance est ilm ; la plupart des gens ne réalisent vraiment pas que dans l’islam comme le démontrent clairement les hadiths, la Sounna et le Coran de Mahomet, ilm ne signifie pas l’art ou la science, mais plutôt la connaissance du Coran et la Sunna et rien d’autre.
Les soi-disant arts et architecture islamiques sont des répliques des églises chrétiennes byzantines. Elles aussi ont été conçues et construites par le labeur des peuples sous domination islamique. Il suffit d’observer les coupoles des mosquées musulmanes ; elles sont presque identiques aux églises byzantines.
La musique, la poésie et la philosophie islamiques non d’islamiques que le nom puisque interdits dans la charia. Les musiciens, les poètes et les philosophes sous l’islam arabe étaient des hommes séculaires qui ont exercé sous les règnes de chefs et dirigeants tolérants et illuminés en dépit de la charia.
Actuellement, les États de l’Afrique du Nord se proclament arabes ; la majorité de leurs habitants ne s’interrogent même pas sur une déclaration absurde et totalement balourde et grotesque. Est-il logique ou possible que quelques milliers de conquérants arabes deviennent plus nombreux que les millions des personnes qu’ils ont conquises ?
Que sont devenus ces Égyptiens et ces Berbères autochtones et qu’est-il arrivé aux autochtones ? Ces millions de gens se sont-ils volatilisés pour être remplacés par les Arabes ? Évidemment non ; puisqu’il y a des dossiers et archives historiques qui mentionnent leurs batailles et leur histoire.
Ces peuples ont été conquis et arabisés, jusqu’à nos jours, par une colonisation qui dure depuis plus de 14 siècles. La colonisation arabe est la plus impérialiste la plus néfaste, la plus désastreuse, la plus longue et la moins utile dans l’histoire de l’humanité.
Les peuples conquis ont été forcés de se convertir en vertu de la djiziya (l’impôt onéreux de capitation). Ils avaient le choix entre l’asservissement, l’anéantissement, la décapitation, ou accepter l’islam et vivre comme mawali (c’est-à-dire clients des tribus arabes) ou comme dhimmis et payer la djizya.
Tout ce en quoi ces peuples croyaient, chérissaient et créaient a été arabisé. Les Arabes ont effacé leur histoire, ont interdit la pratique de leur langue et culture, ont détruit ou remplacé leurs temples par des mosquées arabes.
Les peuples conquis ont été forcés de porter des vêtements arabes, d’adopter les coutumes arabes comme prescrites dans la sunna de Mahomet, d’adopter les noms et prénom arabes. Leurs croyances ont été remplacées par l’islam arabe qui les a menés à l’abîme. La même chose a été faite pour les Perses, les Assyriens, les Indiens, les chrétiens, les bouddhistes, et tant d’autres.
Les Arabes n’avaient absolument rien à apporter à la culture des peuples conquis. Les Arabes musulmans comme leur mentor (guide) Mahomet excellaient en pillage, en plagiat, en piratage et en pervertissement, allant jusqu’à revendiquer comme les leurs, les concepts, les préceptes, les pensées, et les inventions de leurs sujets vaincus.
L’impérialisme arabe est le plus long, le plus parasite, le plus dévastateur culturellement et le plus néfaste dans l’histoire de l’humanité.
miss Nath Hamiche
lundi 30 juillet 2012
Devant la recrudescence de la violence à Vughni : At Kouffi se mobilise contre l’insécurité
Devant la recrudescence de la violence à Vughni : At Kouffi se mobilise contre l’insécurité
30/07/2012 - 16:33
VUGHNI-Boghni (SIWEL) — Après l’assassinat d’un citoyen du village At Kouffi, dans la daïra de Vughni, (Boghni), il y a de cela 15 jours, une grande mobilisation dans ce village, a eu lieu, depuis l’annonce du décès de D. Kader, qui a succombé à ces blessures. Selon le comité de village d’Ath Kouffi, ce crime serait l’œuvre d’un groupe armé non identifié qui sème la terreur depuis quelques jours dans cette localité.
Une des marches organisées en Kabylie contre l'insécurité. PH/Siwel
« Devant cette état de consternation générale, le comité de village d’Ath Kouffi est plus que jamais déterminé à ne pas baisser les bras et à défendre bec et ongles et sans relâche cette affaire jusqu’à ce que les auteurs et la pègre de lâches qui l’ont assassiné soient arrêtés à la hauteur du crime ainsi commis », lit-on dans une déclaration signée par le comité de village.
Le comité d’Ath Kouffi souhaite l’arrestation et le jugement de ces gangsters assassins, l’octroi du statut de victime de terrorisme à la victime et l’instauration et rétablissement de la sécurité dans la région de Boghni.
« Désormais, l’heure est à la lutte contre la criminalité pour sauvegarder notre dignité et se libérer des jougs des assassins dès lors que personne n’est à l’abri de la violence », ajoutent-ils tout en dénonçant l’absence de sécurité dans cette ville face à une population laissée pour compte et à des groupes armés qui ont fait de cette ville le « vieux far-west ».
Des citoyens ont relevé le fait que la région de Kabylie est « la plus quadrillée par l’armée et les services dits de sécurité », mais « elle vit au rythme de l’insécurité ». Selon d’autres, seuls les autorités concernées peuvent apporter une réponse à cette interrogation, si ce n’est « une volonté pour instaurer le marasme et la violence dans la région ».
tt/aai
SIWEL 30 1633 JUIL12
30/07/2012 - 16:33
VUGHNI-Boghni (SIWEL) — Après l’assassinat d’un citoyen du village At Kouffi, dans la daïra de Vughni, (Boghni), il y a de cela 15 jours, une grande mobilisation dans ce village, a eu lieu, depuis l’annonce du décès de D. Kader, qui a succombé à ces blessures. Selon le comité de village d’Ath Kouffi, ce crime serait l’œuvre d’un groupe armé non identifié qui sème la terreur depuis quelques jours dans cette localité.
Une des marches organisées en Kabylie contre l'insécurité. PH/Siwel
« Devant cette état de consternation générale, le comité de village d’Ath Kouffi est plus que jamais déterminé à ne pas baisser les bras et à défendre bec et ongles et sans relâche cette affaire jusqu’à ce que les auteurs et la pègre de lâches qui l’ont assassiné soient arrêtés à la hauteur du crime ainsi commis », lit-on dans une déclaration signée par le comité de village.
Le comité d’Ath Kouffi souhaite l’arrestation et le jugement de ces gangsters assassins, l’octroi du statut de victime de terrorisme à la victime et l’instauration et rétablissement de la sécurité dans la région de Boghni.
« Désormais, l’heure est à la lutte contre la criminalité pour sauvegarder notre dignité et se libérer des jougs des assassins dès lors que personne n’est à l’abri de la violence », ajoutent-ils tout en dénonçant l’absence de sécurité dans cette ville face à une population laissée pour compte et à des groupes armés qui ont fait de cette ville le « vieux far-west ».
Des citoyens ont relevé le fait que la région de Kabylie est « la plus quadrillée par l’armée et les services dits de sécurité », mais « elle vit au rythme de l’insécurité ». Selon d’autres, seuls les autorités concernées peuvent apporter une réponse à cette interrogation, si ce n’est « une volonté pour instaurer le marasme et la violence dans la région ».
tt/aai
SIWEL 30 1633 JUIL12
La confédération MAK d’At Dwala accuse le régime algérien et les islamistes de mener le même combat en Kabylie
La confédération MAK d’At Dwala accuse le régime algérien et les islamistes de mener le même combat en Kabylie
30/07/2012 - 01:23
AT DWALA (SIWEL) — la confédération d’At Dwala du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK) « dénonce et condamne fermement la violation des libertés les plus fondamentales par le pouvoir algérien et appelle toutes les forces vives de la Kabylie à agir dans l’union afin de déjouer efficacement tous les complots et les manœuvres mis en place par un régime diabolique, profondément raciste et qui assume désormais sa volonté de faire de ce pays un Etat théocratique.»
Affiche du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie.PH/site officiel du MAK
Dans une déclaration parvenue à notre rédaction, la Confédération d'At Dwala du mouvement autonomiste kabyle revient sur les derniers actes d'inquisition perpétrés à l'encontre d'un membre de leur localité « violemment pris à partie par les " services de sécurité algériens " pour avoir transgressé le jeûne en buvant de l’eau »par les forces de sécurité algériennes.
La déclaration indique que « Le gouvernement algérien, par le biais de la DGSN, au lieu de rendre justice à la victime, après avoir tenté d’étouffer l’affaire, a fait dans la négation des faits, rappelant en cela la réaction infâme d’un individu de triste mémoire, l’innommable Zerhouni, alors ministre de l’intérieur, suite à l’assassinant de Guermah Massinissa dans les locaux de la gendarmerie de la même localité »
Le président de la confédération, Yugurten Bouakiz, note que « le vendredi 27 juillet, 3 jeunes ont été arrêtés par les services de sécurité et déférés devant la justice au sud ouest de Boumerdes pour le même motif que M. Rebaine » et que « Désormais, l’Etat algérien ne diffère quasiment plus en rien de la république islamique d’Iran. Il ne lui manque plus que les pendaisons publiques et la lapidation pour parachever sa mutation. ». Yugurten Bouakiz, apporte au non de son mouvement, « son soutien indéfectible aux victimes de l’inquisition » et « exige l’arrêt de toute poursuite judiciaire contre ces jeunes non jeûneurs et le jugement des vrais coupables, c’est à dire les corps de sécurité ».
La confédération du MAK d’At Dwala termine sa déclaration par un appel à « toutes les forces vives de la Kabylie à agir dans l’union afin de déjouer efficacement tous les complots et les manœuvres mis en place par un régime diabolique, profondément raciste et qui assume désormais sa volonté de faire de ce pays un Etat théocratique » et affirme qu' il « devient urgent que la Kabylie toute entière se mobilise pour sauver ce qu’il reste de nos valeurs ancestrales de tolérance et de laïcité où chacun est libre de pratiquer ou non la religion qu’il aura librement choisi »
Le président de la confédération d'At Dwala a conclu en appelant « le peuple kabyle à se mobiliser avec le MAK pour l’avènement d’une Kabylie libre et autonome où les libertés individuelles et collectives seront consacrées, conformément à nos valeurs de liberté et de démocratie. »
zp
SIWEL 300123 JUIL 12
30/07/2012 - 01:23
AT DWALA (SIWEL) — la confédération d’At Dwala du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK) « dénonce et condamne fermement la violation des libertés les plus fondamentales par le pouvoir algérien et appelle toutes les forces vives de la Kabylie à agir dans l’union afin de déjouer efficacement tous les complots et les manœuvres mis en place par un régime diabolique, profondément raciste et qui assume désormais sa volonté de faire de ce pays un Etat théocratique.»
Affiche du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie.PH/site officiel du MAK
Dans une déclaration parvenue à notre rédaction, la Confédération d'At Dwala du mouvement autonomiste kabyle revient sur les derniers actes d'inquisition perpétrés à l'encontre d'un membre de leur localité « violemment pris à partie par les " services de sécurité algériens " pour avoir transgressé le jeûne en buvant de l’eau »par les forces de sécurité algériennes.
La déclaration indique que « Le gouvernement algérien, par le biais de la DGSN, au lieu de rendre justice à la victime, après avoir tenté d’étouffer l’affaire, a fait dans la négation des faits, rappelant en cela la réaction infâme d’un individu de triste mémoire, l’innommable Zerhouni, alors ministre de l’intérieur, suite à l’assassinant de Guermah Massinissa dans les locaux de la gendarmerie de la même localité »
Le président de la confédération, Yugurten Bouakiz, note que « le vendredi 27 juillet, 3 jeunes ont été arrêtés par les services de sécurité et déférés devant la justice au sud ouest de Boumerdes pour le même motif que M. Rebaine » et que « Désormais, l’Etat algérien ne diffère quasiment plus en rien de la république islamique d’Iran. Il ne lui manque plus que les pendaisons publiques et la lapidation pour parachever sa mutation. ». Yugurten Bouakiz, apporte au non de son mouvement, « son soutien indéfectible aux victimes de l’inquisition » et « exige l’arrêt de toute poursuite judiciaire contre ces jeunes non jeûneurs et le jugement des vrais coupables, c’est à dire les corps de sécurité ».
La confédération du MAK d’At Dwala termine sa déclaration par un appel à « toutes les forces vives de la Kabylie à agir dans l’union afin de déjouer efficacement tous les complots et les manœuvres mis en place par un régime diabolique, profondément raciste et qui assume désormais sa volonté de faire de ce pays un Etat théocratique » et affirme qu' il « devient urgent que la Kabylie toute entière se mobilise pour sauver ce qu’il reste de nos valeurs ancestrales de tolérance et de laïcité où chacun est libre de pratiquer ou non la religion qu’il aura librement choisi »
Le président de la confédération d'At Dwala a conclu en appelant « le peuple kabyle à se mobiliser avec le MAK pour l’avènement d’une Kabylie libre et autonome où les libertés individuelles et collectives seront consacrées, conformément à nos valeurs de liberté et de démocratie. »
zp
SIWEL 300123 JUIL 12
Feu de forêt à Tizi-Ouzou : 196.5 hectares détruits par les flammes
Feu de forêt à Tizi-Ouzou : 196.5 hectares détruits par les flammes
30/07/2012 - 16:22
TIZI-OUZOU (SIWEL) — Les feux de forêts ont causé d’énormes dégâts durant le week-end dernier dans la wilaya de Tizi-Ouzou où pas moins de 2170 arbres fruitiers ont été brûlés, selon la direction de la protection civile.
Des centaines d'hectares sont partis en fumée dans la région. PH/Siwel
L’oliveraie est la plus touchée avec pas moins de 1970 oliviers détruits par les flammes durant cette période. Egalement un total de 200 figuiers brûlés est enregistré par les mêmes services.
Les premiers incendies ont été enregistrés dans la localité des At Wizgan (Bouzguène), plus exactement au village Ait Ikhlef.
Par ailleurs, une vingtaine de communes sont concernées par ces incendies. Au totale, 30 feux de forêt ont été enregistrés par la protection civile qui précise, « faire face aux flammes et la colonne mobile a été mise à contribution ».
Ces incendies détruisant 196,5 ha de chêne de liège, du chêne vert et du chêne zen, a précisé la même source.
A rappeler que les militaires en position en Kabylie depuis quelques années participent grandement à ce massacre des forêts de Kabylie, sous prétexte « de la lutte contre le terrorisme ».
Seuls le MAK et le GPK ont dénoncé cet état de fait.
tt/aai
SIWEL 30 1622 JUIL12
30/07/2012 - 16:22
TIZI-OUZOU (SIWEL) — Les feux de forêts ont causé d’énormes dégâts durant le week-end dernier dans la wilaya de Tizi-Ouzou où pas moins de 2170 arbres fruitiers ont été brûlés, selon la direction de la protection civile.
Des centaines d'hectares sont partis en fumée dans la région. PH/Siwel
L’oliveraie est la plus touchée avec pas moins de 1970 oliviers détruits par les flammes durant cette période. Egalement un total de 200 figuiers brûlés est enregistré par les mêmes services.
Les premiers incendies ont été enregistrés dans la localité des At Wizgan (Bouzguène), plus exactement au village Ait Ikhlef.
Par ailleurs, une vingtaine de communes sont concernées par ces incendies. Au totale, 30 feux de forêt ont été enregistrés par la protection civile qui précise, « faire face aux flammes et la colonne mobile a été mise à contribution ».
Ces incendies détruisant 196,5 ha de chêne de liège, du chêne vert et du chêne zen, a précisé la même source.
A rappeler que les militaires en position en Kabylie depuis quelques années participent grandement à ce massacre des forêts de Kabylie, sous prétexte « de la lutte contre le terrorisme ».
Seuls le MAK et le GPK ont dénoncé cet état de fait.
tt/aai
SIWEL 30 1622 JUIL12
MATOUB L'IMMORTEL (VIDEO2).flv - YouTube
MATOUB L'IMMORTEL (VIDEO2).flv - YouTube
Ajoutée par 15mAAT le 26 janv. 2010
Mon souhait et de partager avec vous, vidéos et discussions instructives sur notre eternel MATOUB Lounes notre envoyé du ciel, parmi tant d'autres Kabyles ou qu'ils soient le Djurdjura veille sur eux, ils ont versé leur sang pour nous permettre un jour de relever la tête vers les cieux de les voir parmi les étoiles et tout simplement nous faire un sourire et nous faire comprendre que le seigneur et du côté de la vérité et du juste combat pour la liberté.
Le vide qu'ils ont laissé, à nous de le comblé pour que notre pays malade et qui semble inguérissable et cela depuis plusieurs siècles, trouve enfin sa place parmi les peuples justes et libres, car nous aussi nous avons droit à notre rayon de soleil.
Ajoutée par 15mAAT le 26 janv. 2010
Mon souhait et de partager avec vous, vidéos et discussions instructives sur notre eternel MATOUB Lounes notre envoyé du ciel, parmi tant d'autres Kabyles ou qu'ils soient le Djurdjura veille sur eux, ils ont versé leur sang pour nous permettre un jour de relever la tête vers les cieux de les voir parmi les étoiles et tout simplement nous faire un sourire et nous faire comprendre que le seigneur et du côté de la vérité et du juste combat pour la liberté.
Le vide qu'ils ont laissé, à nous de le comblé pour que notre pays malade et qui semble inguérissable et cela depuis plusieurs siècles, trouve enfin sa place parmi les peuples justes et libres, car nous aussi nous avons droit à notre rayon de soleil.
A nous et nos enfants la relève pour que notre Algérie soit fière de ses hommes et que les virus soient bannies à jamais. Notre pays est-il malade de ses ressources ? Car de quoi voler ?, mais si il était pauvre certains ne déterreraient-ils pas les morts pour voir sils n'ont pas étaient ensevelis avec quelques trésors ? Le change de devise à qui profite-il ? Un pour dix voir un pour douze, mais à ceux qui se servent à la brouette, notre richesse nationale et devenue leur richesse personnel, sinon pourquoi les ouvriers nen profiteraient-ils pas ? Que de gagner un salaire de misère sans même être assurés, un pays dilapidé par qui pour qui ? Nous le savons tous !
La Kabylie !!! Des arbres calcinées par qui pourquoi ? Des commissariats dont nous pouvons toujours appeler au secours sans qu'ils ne bougent, raison simple ont nous surveille, nous sommes encerclés.
Le pire c'est que depuis notre indépendance, si durement arrachée notre pays semble plus que jamais invivable, par l'injustice, et la corruption. Des mosquées dans certains villages tout les cinq cents mètres, alors que les hôpitaux sont là juste pour faire mieux misère, ou alors le Allah des barbus suffit à nos maux, puisque ses envoyés du diables sont là pour nous meurtrir chaque jour un peu plus. Qui peut atténuer nos souffrances, qui peut faire abattre sur nous la paix, qui peut chasser de notre pays les assassins, qui peut nous aider à changer ce pouvoir qui ne pense qu'à ses poches, qui peut crier pour nous démocratie, liberté et justice....... Ne compter que sur soit, et dans ce cas "SOIT" c'est nous tous; sommes-nous à la hauteur ??? Ou alors attendre que pousse des dents à la poule ??? Dans l'histoire il est écrit que seul le peuple peut faire trembler n'importe quel pouvoir et tous les meurtriers, mais pour cela il faut des sacrifices; la paix vaut-elle le sang ? pour moi OUI car ma vie ne vaut pas grand chose, mais la leur aïe, aïe, aïe.
Mais l'intolérable c'est de voir nos femmes Kabyles habillées en afghanes, des hommes en robes blanches ou noirs avec des barbes a balayés les trottoirs, à ces gens qui veulent faire peur qui leurs fera peur ??? Si ce n'est nous, comme le disait MATOUB. Qui peut obliger quiconque à prier contre sa volonté, qui peut obliger un tiers à choisir une religion contre son gré.
La religion c'est l'esprit et le cœur, donc c'est personnel, chacun avec sa conscience ; alors chaque personne a le droit de vivre en paix quelques soient ses convictions.
Voila la démocratie que nous avons gagné par notre indépendance ceux qui ont donnés leur vie doivent se retourner dans leurs tombes.
Nos enfants à l'école jusqu'à leur bac en arabe en quoi cela leur sert-ils ? A tenir les murs ? Ou à se vanter de parler arabe en plein Tizi ? Et notre langue alors ? Je pourrais écrire ma tristesse pendant des jours et des mois, mais peut-être comme des personnes de mon âge, la vision de notre pays nous fait frémir de tristesse et de douleur. Amicalement Ramdane.
Algérie : La chasse aux non-jeûneurs commence ! - YOU
C'EST VOUS QUI LE DITESAlgérie : La chasse aux non-jeûneurs commence !
En Algérie, après une semaine du début du mois de Ramadhan, le jeûne musulman, la chasse aux non-jeûneurs par les services de sécurité a commencé.
A Tizi-Ouzou en Kabylie, un jeune homme, Slimane Rebaine âgé de 36ans, a été tabassé par la police car il a été surpris entrain de boire de l’eau le 26 juillet. Les policiers qui effectuaient une ronde dans la ville d’Ath Douala, se sont précipités sur le non-jeûneur et ils l’ont violenté. Un échange de propos entre la victime et les policiers a nourri la colère des policiers d’avantage ce que les a poussé à le conduire au commissariat où il a été malmené.
La Maison des Droits de l’Homme et du Citoyen Tizi-Ouzou (MDHC-TO), une structure légale de la Ligue Algérienne pour la Défense des Droits de l’Homme (LADDH), a réagi avec un communiqué de presse signé par son coordinateur M. Arezki Abboute et rendu publique le 27 juillet où elle a dénoncé l’interpellation et le passage à tabac du citoyen Rebaine Slimane « Une fois de plus, mais également une fois de trop, des policiers se sont érigés en "pourfendeurs du vice et en gardiens de la vertu" dans la wilaya de Tizi-Ouzou. » a écrit la MDHC-TO.
Toujours en Kabylie, et à la wilaya de Boumerdes cette fois, trois jeunes ont été arrêtés par les services de police le vendredi 27 juillet au sud-ouest de la wilaya de Boumerdes et cela pour non-observation du jeûne du Ramadan. Les services de police ont surpris les trois jeunes en train de fumer dans une maison abandonnée dans un des villages des Issers. Les trois jeunes ont été conduits au commissariat puis présentés devant le procureur général qui a ordonné les placés en détention provisoire.
En Algérie, après une semaine du début du mois de Ramadhan, le jeûne musulman, la chasse aux non-jeûneurs par les services de sécurité a commencé.
A Tizi-Ouzou en Kabylie, un jeune homme, Slimane Rebaine âgé de 36ans, a été tabassé par la police car il a été surpris entrain de boire de l’eau le 26 juillet. Les policiers qui effectuaient une ronde dans la ville d’Ath Douala, se sont précipités sur le non-jeûneur et ils l’ont violenté. Un échange de propos entre la victime et les policiers a nourri la colère des policiers d’avantage ce que les a poussé à le conduire au commissariat où il a été malmené.
La Maison des Droits de l’Homme et du Citoyen Tizi-Ouzou (MDHC-TO), une structure légale de la Ligue Algérienne pour la Défense des Droits de l’Homme (LADDH), a réagi avec un communiqué de presse signé par son coordinateur M. Arezki Abboute et rendu publique le 27 juillet où elle a dénoncé l’interpellation et le passage à tabac du citoyen Rebaine Slimane « Une fois de plus, mais également une fois de trop, des policiers se sont érigés en "pourfendeurs du vice et en gardiens de la vertu" dans la wilaya de Tizi-Ouzou. » a écrit la MDHC-TO.
Toujours en Kabylie, et à la wilaya de Boumerdes cette fois, trois jeunes ont été arrêtés par les services de police le vendredi 27 juillet au sud-ouest de la wilaya de Boumerdes et cela pour non-observation du jeûne du Ramadan. Les services de police ont surpris les trois jeunes en train de fumer dans une maison abandonnée dans un des villages des Issers. Les trois jeunes ont été conduits au commissariat puis présentés devant le procureur général qui a ordonné les placés en détention provisoire.
Agression du jeune Slimane Rebaine par la police : la confédération du MAK des At Dwala réagit
Agression du jeune Slimane Rebaine par la police : la confédération du MAK des At Dwala réagit
29/07/2012 - 17:30
AT DWALA (SIWEL) — Dans un communiqué rendu public, la confédération du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie des At Dwala estime que « le Pouvoir raciste d’Alger et les islamistes : même combat ».
Le communiqué, signé par Yugurten Bouakiz, président de la confédération, rappelle que le 25 juillet 2012, à At Dwala, des policiers ont tabassé un citoyen kabyle du nom de Rebaine Slimane. Ce dernier a été violemment pris à partie par les " services de sécurité algériens " pour avoir transgressé le jeûne en buvant de l’eau. Il estime que «Le gouvernement algérien, par le biais de la DGSN, au lieu de rendre justice à la victime, après avoir tenté d'étouffer l'affaire, a fait dans la négation des faits, rappelant en cela la réaction infâme d'un individu de triste mémoire, l'innommable Zerhouni, alors ministre de l’intérieur, suite à l’assassinant de Guermah Massinissa dans les locaux de la gendarmerie de la même localité.».
Poursuivant le récit, le MAK des At Dwala ajoute que le vendredi 27 juillet, 3 jeunes ont été arrêtés par les services de sécurité et déférés devant la justice au sud ouest de Boumerdes pour le même motif que M. Rebaine : non observation du jeûne du Ramadhan.
Pour la confédération du MAK, « l’Etat algérien ne diffère en rien avec la république islamique d’Iran. Il ne lui manque plus que les pendaison publiques et la lapidation pour parachever sa mutation ».
Contre cela, le MAK via sa confédération d’At Dwala « dénonce et condamne fermement la violation des libertés les plus fondamentales par le pouvoir algérien, à savoir les libertés de culte et de conscience pourtant « garanties » par la « constitution ». Tout en apportant son soutien indéfectible aux victimes de l’inquisition, le MAK « exige l’arrêt de toute poursuite judiciaire contre ces jeunes non jeûneurs et le jugement des vrais coupables, c'est à dire les corps de sécurité ».
La confédération MAK d’ At Dwala appelle, par ailleurs, « toutes les forces vives de la Kabylie afin de déjouer efficacement tous les complots et les manœuvres mis en place par un régime diabolique, profondément raciste en se mobilisant avec le MAK pour l’avènement d’une Kabylie libre et autonome où les libertés individuelles et collectives seront reconnues et effectivement consacrées ».
aai
SIWEL 29 1730 JUIL12
29/07/2012 - 17:30
AT DWALA (SIWEL) — Dans un communiqué rendu public, la confédération du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie des At Dwala estime que « le Pouvoir raciste d’Alger et les islamistes : même combat ».
Le communiqué, signé par Yugurten Bouakiz, président de la confédération, rappelle que le 25 juillet 2012, à At Dwala, des policiers ont tabassé un citoyen kabyle du nom de Rebaine Slimane. Ce dernier a été violemment pris à partie par les " services de sécurité algériens " pour avoir transgressé le jeûne en buvant de l’eau. Il estime que «Le gouvernement algérien, par le biais de la DGSN, au lieu de rendre justice à la victime, après avoir tenté d'étouffer l'affaire, a fait dans la négation des faits, rappelant en cela la réaction infâme d'un individu de triste mémoire, l'innommable Zerhouni, alors ministre de l’intérieur, suite à l’assassinant de Guermah Massinissa dans les locaux de la gendarmerie de la même localité.».
Poursuivant le récit, le MAK des At Dwala ajoute que le vendredi 27 juillet, 3 jeunes ont été arrêtés par les services de sécurité et déférés devant la justice au sud ouest de Boumerdes pour le même motif que M. Rebaine : non observation du jeûne du Ramadhan.
Pour la confédération du MAK, « l’Etat algérien ne diffère en rien avec la république islamique d’Iran. Il ne lui manque plus que les pendaison publiques et la lapidation pour parachever sa mutation ».
Contre cela, le MAK via sa confédération d’At Dwala « dénonce et condamne fermement la violation des libertés les plus fondamentales par le pouvoir algérien, à savoir les libertés de culte et de conscience pourtant « garanties » par la « constitution ». Tout en apportant son soutien indéfectible aux victimes de l’inquisition, le MAK « exige l’arrêt de toute poursuite judiciaire contre ces jeunes non jeûneurs et le jugement des vrais coupables, c'est à dire les corps de sécurité ».
La confédération MAK d’ At Dwala appelle, par ailleurs, « toutes les forces vives de la Kabylie afin de déjouer efficacement tous les complots et les manœuvres mis en place par un régime diabolique, profondément raciste en se mobilisant avec le MAK pour l’avènement d’une Kabylie libre et autonome où les libertés individuelles et collectives seront reconnues et effectivement consacrées ».
aai
SIWEL 29 1730 JUIL12
dimanche 29 juillet 2012
Un paradoxe nommé eau potable - La Dépêche de Kabylie
COMMENT... TAIRE ?
Un paradoxe nommé eau potable
par M. O. Benmokhtar:
Les années passent et se ressemblent pour certains villages de la wilaya de Tizi-Ouzou, pour qui l’été est synonyme de soif. C’est le cas de la dire pour les communes du versant nord de la wilaya. Tigzirt, Boudjima, Makouda… attendent toujours l’eau du barrage de Taksebt qui n’arrive toujours pas. Le raccordement de ces contrées à ce barrage est annoncé pour le moisde septembre prochain. La population espère, toutefois, que cette fois sera la bonne. Le projet est à la traîne depuis déjà des années. En attendant, ces municipalités doivent passer l’été et le Ramadhan avec, en puisant dans les puits et on achetant l’eau des citernes qui revient très cher. Cela dit, d’autres villages souffrent aussi de ce problème de pénurie d’eau à travers les quatre régions de la wilaya. A Maâtkas, l’eau est servie une fois par semaine. A Ait Yahia Moussa, l’attente pour qu’une goutte d’eau coule des robinets peut aller jusqu’à 20 jours. Pourtant, ce versant sud de la wilaya est raccordé au barrage Koudiet Acerdoune. Un problème se pose parfois malgré la disponibilité de ce précieux liquide, il s’agit de la vétusté du réseau. Une vétusté qui fait que les conduites éclatent régulièrement du fait qu’elle supporte mal la forte pression de l’eau. On assiste, en parallèle, à un autre phénomène. Il s’agit de celui relatif aux fuites d’eau importantes. Des fuites qui peuvent durer plusieurs jours avant leur prise en charge. Certains estiment qu’il fallait refaire le réseau AEP avant le raccordement des villages aux barrages Koudiet Acerdoune et Taksebt, connus pour leur fort débit. La charrue avant les bœufs, qui a fait que des régions ont soif tandis que d’énormes quantités d’eau partent dans la nature chaque jour.
Un paradoxe nommé eau potable
par M. O. Benmokhtar:
Les années passent et se ressemblent pour certains villages de la wilaya de Tizi-Ouzou, pour qui l’été est synonyme de soif. C’est le cas de la dire pour les communes du versant nord de la wilaya. Tigzirt, Boudjima, Makouda… attendent toujours l’eau du barrage de Taksebt qui n’arrive toujours pas. Le raccordement de ces contrées à ce barrage est annoncé pour le moisde septembre prochain. La population espère, toutefois, que cette fois sera la bonne. Le projet est à la traîne depuis déjà des années. En attendant, ces municipalités doivent passer l’été et le Ramadhan avec, en puisant dans les puits et on achetant l’eau des citernes qui revient très cher. Cela dit, d’autres villages souffrent aussi de ce problème de pénurie d’eau à travers les quatre régions de la wilaya. A Maâtkas, l’eau est servie une fois par semaine. A Ait Yahia Moussa, l’attente pour qu’une goutte d’eau coule des robinets peut aller jusqu’à 20 jours. Pourtant, ce versant sud de la wilaya est raccordé au barrage Koudiet Acerdoune. Un problème se pose parfois malgré la disponibilité de ce précieux liquide, il s’agit de la vétusté du réseau. Une vétusté qui fait que les conduites éclatent régulièrement du fait qu’elle supporte mal la forte pression de l’eau. On assiste, en parallèle, à un autre phénomène. Il s’agit de celui relatif aux fuites d’eau importantes. Des fuites qui peuvent durer plusieurs jours avant leur prise en charge. Certains estiment qu’il fallait refaire le réseau AEP avant le raccordement des villages aux barrages Koudiet Acerdoune et Taksebt, connus pour leur fort débit. La charrue avant les bœufs, qui a fait que des régions ont soif tandis que d’énormes quantités d’eau partent dans la nature chaque jour.
samedi 28 juillet 2012
L'Anavad dénonce une « véritable milice islamique des mœurs » suite à l'arrestation du non-jeûneur d'At Dwala
L'Anavad dénonce une « véritable milice islamique des mœurs » suite à l'arrestation du non-jeûneur d'At Dwala
28/07/2012 - 09:46
PARIS (SIWEL) — Dans un communiqué envoyé à notre rédaction, le Gouvernement Provisoire Kabyle est revenu sur l'arrestation d'un non-jeûneur à At Dwala. Il estime que « la police algérienne, s'est transformée en Kabylie en véritable milice islamique des mœurs, sur le modèle iranien».
PH/DR
Dans ce communiqué signé par Mekhlouf Idri, le porte parole du Gouvernement Provisoire Kabyle, l'Anavad a dénoncé auprès de la communauté internationale ces « pratiques d'un autre âge » et a assuré que «le peuple kabyle tolérant et laïque ne se laissera pas dicter sa conduite par une inquisition islamique aux ordres d’un régime théocratique algérien » avant de rappeler que le pouvoir algérien « a fait maintes fois la démonstration qu’il agit en parfaite collusion avec le terrorisme islamiste qu’il a lui-même implanté dans les maquis, kabyles notamment. »
L'Anavad conclut en appelant à « une mobilisation de la population contre ces bavures policières » avant d'alerter « les ONG de défense des Droits de l’Homme sur ces violations répétées ».
mld
SIWEL 281118 JUIL 12
28/07/2012 - 09:46
PARIS (SIWEL) — Dans un communiqué envoyé à notre rédaction, le Gouvernement Provisoire Kabyle est revenu sur l'arrestation d'un non-jeûneur à At Dwala. Il estime que « la police algérienne, s'est transformée en Kabylie en véritable milice islamique des mœurs, sur le modèle iranien».
PH/DR
Dans ce communiqué signé par Mekhlouf Idri, le porte parole du Gouvernement Provisoire Kabyle, l'Anavad a dénoncé auprès de la communauté internationale ces « pratiques d'un autre âge » et a assuré que «le peuple kabyle tolérant et laïque ne se laissera pas dicter sa conduite par une inquisition islamique aux ordres d’un régime théocratique algérien » avant de rappeler que le pouvoir algérien « a fait maintes fois la démonstration qu’il agit en parfaite collusion avec le terrorisme islamiste qu’il a lui-même implanté dans les maquis, kabyles notamment. »
L'Anavad conclut en appelant à « une mobilisation de la population contre ces bavures policières » avant d'alerter « les ONG de défense des Droits de l’Homme sur ces violations répétées ».
mld
SIWEL 281118 JUIL 12
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